Après l'échec du plan de sauvetage de l'industrie automobile au Sénat, jeudi soir, la Maison-Blanche a indiqué qu'elle était prête à puiser dans les 700 milliards du plan Paulson (Tarp), initialement prévu pour sauver Wall Street. L'échec au Sénat avait déclenché une forte chute des Bourses mondiales hier les marchés s'inquiétant des répercussions possibles de la faillite de General Motors et peut-être également de Chrysler.C'est toute l'industrie automobile mondiale qui vit un séisme, avec des chutes comprises entre 30 et 15 % selon les continents. Lors d'une rencontre avec quelques journalistes, Carlos Ghosn, le patron de Renault-Nissan, s'est dit hier très inquiet devant une crise qui est « bien pire que ce que l'on avait imagin頻. Les constructeurs européens demandent une aide de 40 milliards d'euros. pages 2-3

latribune.fr

25 Déc 2008, 1:26

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