GEORGES PAUGET, directeur général du Crédit Agricolegricole et président de la Fédération bancaire française : « Au FMI, ils sont bien gentils mais il faudrait d'abord qu'ils apprennent à faire des calculs. En ce qui concerne les ?stress tests?, ils ont fait comme si les normes comptables américaines étaient égales aux normes comptables européennes. Si je prends leurs analyses, on enlèverait au Crédit Agricolegricole plusieurs centaines de milliards de notre bilan? Ils en tirent donc des conclusions fausses. »RICHARD LEPEU, directeur financier du groupe Richemont : « L'an dernier, nos chiffres étaient très bons. C'est comme si aujourd'hui nous revenions au niveau de ventes de 2007. Notre chance, c'est d'avoir des marques qui sont très fortes avec lesquelles on peut encore réaliser de belles performances. »GILLES PÉLISSON, PDG d'Accor : « Je suis assez convaincu qu'il faudra faire des affaires différemment. Celui qui se dit : vivement qu'on revienne à l'univers 2006-2007, sera forcément déçu, et va rater le redémarrage. Ce sera à nous d'inventer des modèles économiques nouveaux, peut-être beaucoup plus fondés sur la valeur réelle, et moins sur le marketing. »Ils ont dit su

latribune.fr

28 Mai 2009, 1:42

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