Stock-options : le faux pas

Semoncée par le président de la République, qui s'étonnait hier matin que certaines banques aient « du mal à comprendre» l'incompatibilité entre aides publiques et rémunérations annexes, la Société Généralecute; Générale a tenté d'apaiser l'ire des politiques. Dans un communiqué, la banque a déclaré que ses plus hauts dirigeants renonceraient à exercer leurs stock-options, attribuées en janvier et mars 2009. Du moins tant que la Société Généralecute; Générale bénéficiera d'un appui en fonds propres de l'état. Ils ne pouvaient de toute façon pas exercer ces options avant 2012. Les stock-options et actions gratuites attribuées à 4.800 collaborateurs restent d'actualité. La banque a déjà touché 1,7 milliard d'euros de l'état, et devrait obtenir un montant équivalent prochainement. Des sommes destinées à être remboursées. page 13 et éditorial page 7
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