34.000 milliards de dollars évaporés

Dans une étude récente, Patrick Artus, directeur des études économiques de Natixis, évalue la perte de richesses mondiales à 34.000 milliards de dollars depuis le début de la crise, en 2007. Ce montant considérable représente 54 % du PIB mondial. Des pertes qui proviennent d?abord de la chute des actions (26.000 milliards), de celle de l?immobilier américain et britannique (4.000 milliards), des obligations d?entreprise et des pays émergents et également des pertes bancaires. Un tel « effet de richesse négatif » devrait conduire à une remontée de l?épargne et à une baisse de l?investissement, phénomènes que l?on ne constate que de façon marginale aujourd?hui, hors secteur du logement, selon l?économiste.
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