Mieux vaut travailler en Île-de-France, en Bretagne ou dans le Grand Sud plutôt qu'en Franche-Comté ou dans le Nord-Pas-de-Calais, selon une étude réalisée par l'Agence des organismes de sécurité sociale (Acoss). Car si, depuis le début de 2009, aucune zone, à l'exception de la Corse, portée par la construction, n'échappe aux destructions d'emplois, l'ampleur du marasme est très inégale d'une région à l'autre.Principales victimes de la crise, les territoires de tradition industrielle du Nord-Est, notamment liés à l'automobile, qui ont subi de plein fouet la dégringolade de l'intérim. À l'inverse, les départements qui ont misé sur le tertiaire tirent mieux leur épingle du jeu. Page 4

latribune.fr

12 Août 2009, 1:38

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