L'auto américaine au bord du gouffre

Une faillite de GM n'est " pas impossible ", assure Merrill Lynch. La banque précise même que le numéro un américain de l'automobile pourrait avoir besoin rapidement de 15 milliards de dollars (9,5 milliards d'euros) d'argent frais. L'action a d'ailleurs perdu en deux mois plus de 50 % de sa valeur.La semaine dernière, c'était Chrysler qui faisait l'objet de rumeurs boursières sur un possible dépôt de bilan. Quant à Ford, il vient d'abandonner son objectif d'un retour aux profits en 2009. Aux prises avec un marché intérieur en chute libre, les Big Three doivent repenser leurs gammes, sans dépenser trop.
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