L'once d'or se négociait à 400,20 dollars mercredi après-midi à New York. Un seuil qui n'avait pas été franchi depuis août 1993. Ce sursaut est lié à plusieurs facteurs. Les mines d'or, qui avaient pris pour habitude de vendre leur production à l'avance, ont ralenti le mouvement. La demande est toujours supérieure à l'offre, et les banquiers suisses, de nature très prudente, recommandent d'inclure une légère proportion d'or (2 % à 5 %) dans le portefeuille de leurs clients. Les indécisions concernant le budget américain et la baisse du dollar ont aussi provoqué des achats spéculatifs. Voir Evenement

latribune.fr

25 Sept 2008, 23:49

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