Après une longue nuit de négociations qui s'est terminée jeudi à quatre heures du matin, la direction de Renault et les syndicats ont abouti à un projet d'accord social pour accompagner la fermeture de l'usine belge de Vilvorde. Ce pré-accord prévoit notamment la mise en chômage technique pendant deux ans des salariés qui n'auraient pas retrouvé d'emploi. Ceux-ci, qui resteront sous contrat Renault, seront payés à la fois par le constructeur et par l'Etat belge. L'accord final devrait être paraphé lundi. La facture finale de la fermeture du site pourrait dépasser les 2,8 milliards de francs provisionnés par Renault. Le tribunal de Nanterre a, par ailleurs, partiellement rejeté le plan social du constructeur concernant 272 suppressions de postes à son siège social en France. Renault devra procéder à une nouvelle consultation du comité d'établissement de Boulogne-Billancourt. Voir Marché

latribune.fr

25 Sept 2008, 23:46

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