la question pratiqueCe type de contrats s'adresse à tous les types d'épargnants, que l'on soit novice ou expert. Et, contrairement aux idées reçues, souscrire une assurance-vie sur Internet n'est absolument pas risqué. Premièrement, ces contrats sont comme tous les autres régis par le Code des assurances, et tous les assureurs et les courtiers sont contrôlés régulièrement.Envisageons le pire des scénarios : la faillite de la société qui commercialise le produit. Il faut savoir que le capital de l'épargnant ne risquerait absolument rien, car les sommes sont détenues chez l'assureur, et non chez le distributeur. D'ailleurs, il ne faut jamais oublier que c'est auprès de l'assureur que les versements sont effectués et que les chèques sont libellés à son ordre?En cas de problème avec le distributeur, la compagnie d'assurances continuerait donc à gérer les sommes confiées en direct avec l'assuré. Quoi qu'il advienne ensuite, sachez que les caractéristiques du contrat (frais, garanties?) ne pourront pas être modifiées, sauf en faveur de l'épargnant. L'autre crainte des épargnants concerne la sécurisation des opérations en ligne. Là encore, les technologies actuelles sont éprouvées, et les transactions financières sont parfaitement fiables.solides atoutsMais surtout, l'assurance-vie sur Internet dispose de solides atouts. Outre des frais réduits, ces contrats sont souvent conçus en architecture ouverte, afin de diversifier les investissements et donc de limiter les risques. Ils proposent également au moins un fonds en euros offrant les mêmes garanties que sur des contrats classiques, avec, souvent, des offres de taux de rendement plus attractives? Et si l'internaute a besoin d'être guidé ou conseillé, il peut à tout moment entrer en contact avec le distributeur (mail, téléphone, voire visioconférence ou chat). nMême en cas de faillite du distributeur, le contrat continuera d'être géré en direct par l'assureur.bernard le braspDG deACMN VIE

latribune.fr

02 Sept 2009, 1:47

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