L'envolée de la dette publique britannique n'est plus le seul motif d'inquiétude des marchés financiers. Les derniers sondages laissent entrevoir l'absence d'une franche majorité aux prochaines élections générales, ce qui fait redouter l'impossibilité de prendre rapidement les bonnes décisions budgétaires. La livre sterling est en berne. La note du pays risque d'être dégradée. Les conservateurs, hier donnés favoris, tentent de se remettre en selle en brandissant le spectre d'une attaque spéculative contre le pays s'ils ne remportent pas une nette victoire dans quelques semaines. Pages 2, 3 et 4

latribune.fr

02 Mars 2010, 23:20

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