À la suite notamment de l'affaire Enron, la loi Sarbanes-Oxley (SOX) du 31 juillet 2002 impose aux groupes cotés en Bourse à New York et à leurs filiales étrangères de mettre en place des procédures permettant à leurs employés de signaler des malversations comptables ou financières. Les filiales françaises n'y ont pas coupé, à l'instar de Shell France ou de Coca-Cola France. Le dispositif est très encadré par la Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil).
Le « Whistleblowing » made in USA
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