Caillebotte et frères

?php $cleengFullBodyContent = array ( 'price' => 0.49, 'itemType' => 'article', 'shortDescription' => 'Caillebotte et frères', 'url' => 'https://latribune.fr/journal/edition-du-1005/culture/1156481/caillebotte-et-freres.html', 'pageTitle' => 'Caillebotte et frères | La Tribune', 'shortUrl' => NULL, 'contentId' => 620804948, ); $cleengPageId = "620753"; $cleengBody = "Paris se veut fraternel ce printemps. Les frères Dufy (Raoul et Jean) ont élu domicile au musée Marmottan. Les Caillebotte se sont installés au musée Jacquemart-André. L\'occasion d\'un joli face-à-face entre les tableaux de Gustave et les photos de Martial retirées pour cette rétrospective.C\'est surtout leur existence que déroulent les frères Caillebotte dans leurs oeuvres. « Issus d\'un milieu aisé, unis depuis la mort de leur frère René, Gustave (1848-1894) et Martial (1853-1910) ont longtemps vécu ensemble », confie Nicolas Sainte Fare Garnot cocommissaire de l\'exposition avec Serge Lemoine. L\'aîné se passionne pour la peinture. Le cadet pour la faïence. Il lui faut attendre d\'être marié pour s\'intéresser à la photographie.Tous deux travaillent sur les mêmes sujets. Ils s\'intéressent notamment à Paris. La ville est alors en pleine mutation du fait des travaux orchestrés par le baron Haussmann. Ce qui inspire à Gustave des vues vertigineuses du VIIIe arrondissement, et à Martial des photos en plongée du quartier de l\'Opéra où il s\'est installé après son mariage.Ils partagent également le goût du jardinage qu\'ils pratiquent dans leur propriété du Petit-Gennevilliers à Yerres. Et se retrouvent aussi pour faire de la voile. En témoignent les parterres de fleurs foisonnants de Gustave, de plus en plus épurés au fil des années, et les photos de famille saisies par Martial dans les jardins de leur maison de campagne. Mais à y regarder de plus près, c\'est incontestablement l\'aîné qui se révèle le plus radical dans sa manière de travailler. Empruntant à la photographie sa capacité de distordre la profondeur, Gustave fait scandale en représentant un homme minuscule à l\'arrière-plan d\'un tableau figurant une femme à sa lecture. On ne s\'étonnera donc pas que l\'histoire de l\'art ait retenu son seul prénom. Y. Y. « Dans l\'intimité des frères Caillebotte », au musée Jacquemart-André jusqu\'au 11 juillet. www.musee-jacquemart-andre.com. Catalogue : éditions Flammarion, 240 pages, 39 euros. "; include_once($_SERVER["DOCUMENT_ROOT"]."../inc/cleeng/CleengLayer.php"); ?
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