« Il y a un problème de considération, c'est vécu comme ça sur pas mal d'années, sur pas mal d'incidents. C'est un problème peut-être un peu personnel entre la magistrature et le président de la République. Il faut que, institutionnellement, il y ait une discussion à la chancellerie et que les syndicats représentatifs puissent donner leur point de vue et leur expérience. Je représente les juges d'instruction, finalement peu de monde, mais ce sont aussi ceux qui sont exposés et pointés du doigt assez facilement. »
Entendu sur BFM Business
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