British Airways-Iberia prêt à embarquer de nouvelles compagnies

?php $cleengFullBodyContent = array ( 'price' => 0.49, 'itemType' => 'article', 'shortDescription' => 'British Airways-Iberia prêt à embarquer de nouvelles compagnies', 'url' => 'https://latribune.fr/journal/edition-du-1105/industrie-services/1157716/british-airways-iberia-pret-a-embarquer-de-nouvelles-compagnies.html', 'pageTitle' => 'British Airways-Iberia prêt à embarquer de nouvelles compagnies | La Tribune', 'shortUrl' => NULL, 'contentId' => 438075862, ); $cleengPageId = "620940"; $cleengBody = "International Airlines Group (IAG), la compagnie aérienne née en janvier de la fusion entre Iberia et British Airways, « se prépare à la consolidation » du marché aérien et « a la capacité » de mener des acquisitions. Rencontrant ce mardi un groupe de journalistes européens, Willie Walsh, son patron, précise qu\'il ne mène actuellement aucune négociation en vue d\'une acquisition. Particulièrement, il dément être en discussions avec TAP, la compagnie aérienne portugaise, contrairement aux informations du « Sunday Times » ce dimanche. Trahissant cependant son intérêt, il ajoute aussitôt : « on ne choisit pas forcément quand des opportunités se présentent et il n\'est pas possible de dire ?désolé, nous ne serons prêts que dans un an?. Nous avons la capacité de procéder à des acquisitions ». Il est également clair que Willie Walsh suit ce dossier de près : « TAP n\'est pas encore à vendre et il y a des élections prochainement au Portugal [des législatives le 5 juin, NDR] ». La compagnie aérienne portugaise n\'est en effet que l\'une des entreprises promises à la privatisation dans le cadre du plan de secours du FMI au Portugal. Ce sera au prochain gouvernement de mettre en place la vente de TAP. IAG sera-t-il candidat ? « Nous verrons ».Rejet du gouvernementPour l\'ancien patron de British Airways, désormais à la tête du troisième groupe aérien d\'Europe (55 millions de passagers par an et 200 destinations), la consolidation du secteur est aussi la seule façon de grandir. Les aéroports britanniques sont pleins, et il n\'y a pas de capacité d\'expansion. C\'est vrai en particulier à Heathrow, où une troisième piste d\'atterrissage ne sera pas construite à la suite du rejet du gouvernement. « Le Royaume Uni regrettera cette décision, estime Willie Walsh. J\'aimerais me développer dans ce pays mais il n\'y en a pas la capacité. » Selon lui, la saturation, doublée des taxes britanniques plus élevées que la moyenne dans le secteur aérien, réduit les investissements étrangers. « Pour British Airways, la réponse logique était de s\'étendre ailleurs, via une consolidation ». Il note par exemple que l\'aéroport de Madrid possède la place et les infrastructures pour se développer.Enfin, Willie Walsh tire de nouveau la sonnette d\'alarme sur les prix du pétrole. Estimant que le baril à 100-120 dollars sera la nouvelle norme, la facture de carburant d\'IAG va progresser de 33 % en 2011, à 5,2 milliards d\'euros (dont 10 % venant de sa hausse de trafic). Pour un groupe qui, malgré une récente amélioration, demeure dans le rouge (perte opérationnelle de 102 millions d\'euros au premier trimestre), c\'est un vrai défi. Selon Willie Walsh, c\'est un défi pour tout le secteur. « Cela risque de ralentir la progression qui était prévue. » "; include_once($_SERVER["DOCUMENT_ROOT"]."../inc/cleeng/CleengLayer.php"); ?
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