laurence dourronAnalyste banque au quotidien chez Testé Pour Vous.En réalisant l'étude, avez-vous constaté du mieux dans la transparence des plaquettes tarifaires ? C'est certain. Depuis quelques années, la terminologie employée et la lisibilité des tarifs s'améliorent. On voit apparaître dans les plaquettes des sommaires, des explications, des glossaires? notamment chez les Banques Populaires. Mais tout n'est pas encore parfait. Passer des coups de fil est encore nécessaire pour comprendre le mode de tarification de certains services, par exemple sur les découverts et les opérations à l'étranger.Un usager bancaire peut-il facilement comparer ? Difficilement, car le vocabulaire employé et l'ordre des services proposés ne sont pas uniformisés d'un établissement à l'autre, voire d'une caisse régionale à l'autre. Saluons tout de même l'initiative de la Société Généralecute; Générale, qui indique par un code couleur les tarifs qui ont évolué par rapport à l'année précédente (à la baisse comme à la hausse).Les tarifs sont-ils désormais facilement accessibles ? Pas encore. Sur les 80 établissements qui changent de tarifs au 1er janvier, près de la moitié d'entre eux ne les affichaient pas sur leur site Internet début octobre. Les nouvelles conditions étaient pourtant prêtes, puisque la loi oblige les banques à informer leurs clients trois mois à l'avance.propos recueillis par A. P.Comprendre certains tarifs nécessite encore de téléphoner à la banque.flashinterview

latribune.fr

15 Déc 2009, 1:43

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