STRONG>La dette de la Grèce est désormais classée en catégorie « spéculative » par les trois grandes agences de notationFitch a dégradé vendredi soir la notation financière de la Grèce d'un cran à BB+, avec perspective négative. Déjà notée Ba1 et BB+ par Moody's et S&P, la Grèce est donc désormais classée dans la catégorie « spéculative » par les trois plus grandes agences de notation. Ce qui pourrait déclencher des mouvements de vente de la part des gestionnaires d'actifs, dont certains fonds ne peuvent accepter de titres spéculatifs. « Malgré les efforts significatifs entrepris pour réduire le déficit, la consolidation budgétaire devra être poursuivie sur plusieurs années » et « le fardeau de la dette grecque implique que la solvabilité du pays est hautement vulnérable à des chocs adverses », souligne Fitch. Un ex-banquier suisse dit vouloir remettre des données bancaires à WikiLeaks Rudolf Elmer a promis qu'il allait transmettre au site WikiLeaks deux CD contenant les noms de quelque 2.000 clients de banques ayant peut-être cherché à échapper au fisc, selon une interview accordée à un journal allemand. Parmi ces clients figureraient, selon lui, des personnalités de premier plan du monde des affaires, des artistes, et environ une quarantaine d'hommes politiques. Ces données impliqueraient des multimilliardaires, des groupes internationaux et des fonds spéculatifs de plusieurs pays, dont les Etats-Unis, l'Allemagne et la Grande-Bretagne.Le Trésor américain finit de se désengager de Citigroup Le Trésor américain a annoncé vendredi son intention de vendre aux enchères d'ici la fin mars ses bons de souscription dans Citigroup, les derniers titres qu'il détient dans la banque. L'investissement total de l'Etat fédéral dans Citigroup s'était élevé à 45 milliards de dollars en 2008. Il a récupéré non seulement cette mise initiale, mais également 12 milliards de dollars supplémentaires en dividendes et intérêts.Un bénéfice en hausse de 48 % en 2010 pour JP MorganLa banque américaine JP Morgan Chase a dégagé un bénéfice net annuel de 17,4 milliards de dollars, en hausse de 48 %. Par action, le bénéfice ressort à 3,96 dollars alors que les analystes prévoyaient en moyenne 3,84 dollars. Au quatrième trimestre, le bénéfice a progressé de 47 % sur un an à 4,8 milliards de dollars.

latribune.fr

16 Jan 2011, 23:23

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