LE RÉPUBLICAIN LORRAIN : Orange : « Nous avons choisi de ne pas licencier »L'opérateur télécoms a préféré ne pas investir dans de nouvelles machines pour conserver ses 353 postes produisant les factures à Nancy (Meurthe-et-Moselle). Une mesure qui n'aurait pas été prise avant la vague de suicides, estime le quotidien.MIDI LIBRE : « On a perdu trois semaines que l'on ne rattrapera pas »En Languedoc-Roussillon, pour de nombreux professionnels du tourisme, la saison a débuté par trois semaines de mauvais temps. « On a perdu trois semaines que l'on ne rattrapera pas », s'inquiètent-ils. Selon Gaby Ruiz, vice-président de la Fédération nationale des plages et restaurants : « Les chiffres d'affaires ont chuté parfois jusqu'à 70 %. » Didier Arino, directeur du cabinet Protourisme, milite pour une diversification du secteur afin d'éviter la « météo-dépendance », surtout pour l'avant et l'après-saison. À l'instar de ces villes « qui n'attendent pas le client : La Grande-Motte et son tourisme d'affaires sans cesse en hausse, ou Sète avec ses offres culturelles et ses animations nombreuses ».LA PROVENCE : Les déchets des Alpes-Maritimes finissent à SeptèmesDepuis près d'un an, et la fermeture du site de La Glacière, à Villeneuve-de-Loubet (Alpes-Maritimes), 100.000 tonnes de déchets ménagers des habitants de Cannes, Grasse, etc., finissent leur vie à Septèmes (Bouches-du-Rhône), s'inquiète le quotidien marseillais. C'est plus de la moitié de ce que la décharge de Septèmes, depuis son extension en 2007, est capable d'absorber. Et c'est « un scandale », selon les associations écologistes : accueillir des déchets venus d'autres départements que les Bouches-du-Rhône, la loi ne le prévoyait que de façon « exceptionnelle ».

latribune.fr

25 Juin 2010, 23:20

Partager :