La Bourse reste un plus ! C'est l'avis de 72% des PME sondées. En effet, la cotation en bourse reste un atout indéniable dans le cadre d'une recherche de financements. Près de 80% des entreprises estiment par ailleurs que l?entrée en Bourse à répondu aux attentes des actionnaires.
Aujourd'hui, même si les effets de la conjoncture inquiètent les dirigeants, seuls 16 % des sondés aimeraient sortir de la cotation et 10 % seulement envisagent de changer de segment de cotation. Au total, 82% des entreprises considèrent la cotation continue « utile » ou « indispensable ». 45% seraient toutefois favorables à une cotation au fixing 1 à 2 fois par jours, tandis que 47% y sont défavorables.
Les dirigeants de sociétés cotées ont fait part de plusieurs attentes : si 51% considèrent que les réglementations boursières sont adaptées, 72% sont tout de même favorables à des allégements réglementaires et 47,7% à des allègements budgétaires.
Ils attendent par ailleurs de la Bourse plus de services, dont plus de promotion et de communication pour les valoriser auprès d?investisseurs nationaux et internationaux et davantage d'attention envers les petites et moyennes valeurs.
Pour Bruno Beauvois, secrétaire général de la SFAF, « ce qui est frappant, c'est le pourcentage très important d'émetteurs (près de 80%) qui considère que la Bourse a répondu à leurs attentes, compte-tenu de la période de très grande volatilité sur les marchés »
« Contre toutes attentes, la réglementation des MidCaps cotées et notamment le maintien des normes IFRS ne semblent pas poser trop de problèmes aux émetteurs, contrairement au rôle du listing sponsor qui reste incompris et qui mérite d'être redéfini " précise Marie-Agnès Nicolet, présidente du Club des Marchés financiers.
Plan d'urbanisme à Paris : les professionnels dénoncent « une aberration », le premier adjoint d'Hidalgo leur répond
Il n'y a actuellement aucun commentaire concernant cet article.
Soyez le premier à donner votre avis !