Les frappes aériennes françaises menées en Syrie contre Daech auraient causé la mort de djihadistes français. La France justifie ces interventions par la Charte des Nations unies qui reconnaît « un droit naturel de légitime défense, individuelle ou collective » en cas « d'agression armée ». Mais un État peut-il tuer ses ressortissants au nom de l'antiterrorisme ?
Pour en débattre, Jean-Dominique Merchet, journaliste à l'Opinion, spécialiste des questions de défense, Eduardo Rihan Cypel, député, secrétaire national à la défense au PS et Geneviève Garrigos, présidente d'Amnesty International France.
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