FORUM : les medias doivent-ils publier les études sur les prix de l'immobilier ?

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14 Avr 2010, 15:20

Vos nombreux commentaires le prouvent: les internautes reprochent aux medias de publier les études, parfois contradictoires d'un jour sur l'autre.

En l'absence de moyens matériels pour vérifier la cohérence statistique des chiffres, faut-il choisir de ne pas publier l'information? Vaut-il mieux ne rien publier, ou, au contraire publier toutes les études, afin que le lecteur se fasse une opinion? Faut-il rendre compte de ces études en pointant les contradictions et en prenant les précautions d'usage? Faut-il attendre les chiffres des notaires, plus fiables mais délivrées trois mois plus tard? Donnez votre avis.

Note de la rédaction de latribune.fr: nombre d'internautes mentionnent les statistiques et analyses publiées par Jacques Friggit, économiste spécialiste du secteur immobilier. Les courbes immobilières qu'il publie apportant un point de vue différent des autres études, la rédaction de La Tribune a tenté de le joindre à plusieurs reprises afin de publier une interview et répondre à l'attente de nos lecteurs. Malheureusement, il n'a jamais souhaité donner suite.

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Commentaires 26

Reponse à écrit le 01/06/2010 à 19:13

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à la rédaction. La question que vous posez est intéressante, merci de la poser. 1) Je suis surpris de ce que vous vous interdisez d'écrire par crainte de problèmes judiciaires; cela revient presque, si l'on exagère un peu, à s'interdire les commentai...

Tobi à écrit le 09/05/2010 à 12:20

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Ce qu'on peut reprocher aux média c'est de publier sans restriction, sans analyse contradictoire. Ils laissent trop souvent penser qu'on lit la vérité. Ce qu'on est en droit d'attendre, c'est le travail du journaliste. Il prévient son lecteurs des bi...

Pour les spéculateurs à écrit le 28/04/2010 à 18:20

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Toutes ces manipulations mensongères sont indécentes et ne servent que les intérêts des spéculateurs. Ces informations aléatoires, reprises par une Presse en quête de sensationnel, ne font qu'aggraver la situation. Tant que l'on traitera "l'immobilie...

REPONSE DE LA REDACTION à écrit le 28/04/2010 à 11:35

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Bonjour, Avant tout, merci pour vos contributions et vos remarques constructives. Comme le suggérait l'un d'entre vous, nous ferons attention à l'avenir, à bien mentionner les sources dès le titre ou l'introduction afin que l'internaute n'ait pas l'...

claude60 à écrit le 25/04/2010 à 6:55

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@ Rédaction LaTribune.fr Suite à votre question, il est vrai que vous avez reçu très peu de commentaires. Pour autant, j'apprécierais que vous nous fassiez part de votre point de vue et de vos intentions à cet égard, pour vos futures publications. ...

CitizenInsane à écrit le 22/04/2010 à 22:27

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Bonjour, tout d'abord merci de signaler que vous prenez en compte les analyses de J.Friggit que nous avons cesse de mentionner. Pour moi, la question n'est pas tellement la cohérence des statistiques, mais si, toutes choses étant égales par aille...

immo à écrit le 20/04/2010 à 5:18

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L'administration fiscale accepte pour toute contestation d'une évaluation, les résultats du min: marché immobilier des notaires. Certes, ceux-ci ne sont pas publiés aussi souvent que ceux fournis par les agences immobilières mais une publication une ... L'administration fiscale accepte pour toute contestation d'une évaluation, les résultats du min: marché immobilier des notaires. Certes, ceux-ci ne sont pas publiés aussi souvent que ceux fournis par les agences immobilières mais une publication une fois par trimestre permet un certain recul et une analyse du marché. De plus, bien que ce fichier soit encore perfectible, il fournit un certain nombre de données (type de bien: maison, appartement...situation du bien: quartier et c'est important dans les grandes villes,..., nombre de mètres carrés, année de construction... ). Ces données sont importantes dans la détermination du prix d'un bien. Certaines font sans aucun doute défaut tel que celles relatives à l'état du bien (un appartement habitable de suite est vendu à un prix supérieur à un appartement à refaire...). Mais, déjà, ce fichier est établi à partir des prix stipulés dans les actes et non à l'occasion de négociations qui n'aboutissent pas toujours à une vente ou au prix initial. Entre l'avant contrat et la vente, des informations peuvent parvenir à l'acquéreur (ex. zone inondable...) et mener à une renégociation du prix. En revanche, il ne faut pas oublier l'incidence des honoraires des agences immobilières qui sont de plus en plus rarement inclus dans le prix pour des raisons fiscales (honoraires à la charge de l'acquéreur pour éviter les droits d'enregistrement sur ces sommes).Pour conclure, acheter ou vendre un bien immobilier surtout pour y vivre, est un acte important qui engage souvent le budget d'une famille sur plusieurs années (jusqu'à 20-25 ans). Des études fiables sont indispensables. C'est pourquoi une comparaison sur les deux dernières années entre les résultats du fichier des notaires et les indications des agences immobilières serait, dans un premier temps, intéressante. L'INSEE doit également disposer d'informations. Enfin, dans le cadre des zones de solidarité suite à la tempête Xynthia, il est proposé aux propriétaires, l'acquisition de leur bien à une valeur avant tempête. A partir de quels outils l'état détermine cette valeur? Sans doute pas une évaluation du services des domaines....

max à écrit le 19/04/2010 à 17:04

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les AI font la pluie et le beau temps Leur unique but ............... faire signer un compromis sans connaitre la réalité du bien et encaisser la commission . A eviter à tout prix .

claude60 à écrit le 19/04/2010 à 10:48

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Votre sondage, avec seulement 289 réponses, c'est sur que c'est décevant. [quote] Face aux chiffres discordants sur les prix de l?immobilier, les medias doivent-ils ... - Publier uniquement ceux , incontestables mais tardifs, des notaires ? ...

claude60 à écrit le 17/04/2010 à 14:28

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Merci à la Rédaction de La Tribune d?ouvrir ce débat, qui concerne tous les médias. Le simple fait de publier un tel article constitue un élément nouveau qui, je le pense, recueillera l?appréciation de vos lecteurs. Avant de répondre à votre ques... Merci à la Rédaction de La Tribune d?ouvrir ce débat, qui concerne tous les médias. Le simple fait de publier un tel article constitue un élément nouveau qui, je le pense, recueillera l?appréciation de vos lecteurs. Avant de répondre à votre question, il y a lieu de considérer plusieurs facteurs : . Les nombreux témoignages de lecteurs faisant part aux médias de leur insatisfaction quant à la fiabilité des chiffres / statistiques fournis. . A ce titre, vous avez publié ce meme 14 avril l?article « Prix de l?immobilier en France : qui a raison ? », analysant, comparant les éléments de discordance et leurs sources. C?est un document plus qu?intéressant, qui doit servir de base à la réflexion (et l?un de vos respectables confrères vient de se livrer à un travail similaire). . Ceci confirme la perception de plus en plus forte par les médias de l?état d?esprit des lecteurs, confrontés à une pluie d?informations souvent contradictoires (soit au fil du temps, soit au sein de la meme source), lecteurs « frustrés » par l?absence d?une synthèse par un « spécialiste » digne de ce nom. . Et je ne pourrais clore cette liste sans mentionner les avis fortement divergeants de deux personnalités de la FNAIM (l?un en titre, l?autre ex.) qui ont fait l?objet de plusieurs articles. Pour tenter de formuler une réponse adéquate, je proposerais : . OUI, dans le contexte économique actuel, il me parait plus que nécessaire de publier les informations dont vous disposez, de citer leurs sources, et d?en faire clairement la distinction de vos propres commentaires. . OUI, s?il vous est possible de vérifier cohérences ou contradictions, vous avez le devoir de les publier. . OUI, lorsque les chiffres notaires paraissent, il vous appartient non seulement de les commenter, mais aussi de les comparer avec les publications antérieures, car il vous serait alors possible de vérifier la cohérence statistique (certes avec 3 mois de retard) qui ainsi conforterait, ou discréditerait certains discours précédents. Il ne vous est pas interdit de souligner les contradictions à postériori. Ensuite, dans le souci d?apporter aux lecteurs un éclairage plus indépendant sur la vision à court et moyen terme des experts de l?immobilier, il me paraitrait opportun d?organiser un débat constructif entre eux, sous votre modération. Outre la présence de la FNAIM, celle de la Chambre des Notaires et de Présidents de réseaux immobiliers, ainsi que d?économistes éminents serait également souhaitable, et si je puis me permettre, celle de M. Buzy-Cazaux dont les déclarations récentes appellent une confrontation (amiable) entre les intervenants. Cette démarche pourrait etre précieuse, tant pour les vendeurs qui restent campés sur leurs positions, que pour les acheteurs dans l?attentisme, ainsi que pour le débloquage du marché, et revet un caractère urgent qui conditionnera les décisions futures. Le sondage que vous venez de lancer, de par le contenu de ses trois questions, ne me semble pas totalement adapté. En conclusion, je me contenterai de faire écho aux remarques d?un autre lecteur au sujet du libellé des gros titres, qui peut etre de nature à fortement influencer dans un sens, comme dans l?autre. En vous remerciant de m?avoir permis de m?exprimer, Cordialement

personne à écrit le 17/04/2010 à 10:38

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Il faut publier une étude comparée des toutes les études.

manolo à écrit le 17/04/2010 à 6:43

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Il était temps !!! ca fait des années que les médias répètent sans réfléchir les arguments des agents immobiliers, des notaires et des banques, qui sont toujours à la hausse, même dans la grande baisse de 91 à 98. Reprenez les articles vous allez rir...

manolo à écrit le 17/04/2010 à 6:43

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Revax à écrit le 17/04/2010 à 3:21

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Toutes les informations sont bonnes à prendre, il faut les publiés. Mais ce que l'on demande à un journaliste c'est un esprit critique, de l'objectivité et de la mémoire ! Quand C21 publie des chiffres pour un département où ils n'ont qu'une seule ...

zoro à écrit le 16/04/2010 à 13:26

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il me semble qu'il y a de plus en plus de manipulations des chiffres ,bien souvent contradictoires .Qui a intèrêt à faire monter les prix ? dixit la tradition :quand le batiment va tout va bien!! la rumeur rien que la rumeur ,on voit où celà nous a ...

VINCI à écrit le 16/04/2010 à 8:12

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Les journalistes sérieux ne peuvent pas prendre en compte tous les arguments des professionnels ;oui les prix ont atteint des sommets ,oui il y a du chômage,oui les taux sont bas oui les salaires n augmenteront pas en rapport !Alors faut-il acheter ...

EOLE à écrit le 16/04/2010 à 7:52

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Seul les chiffres enregistrés au moment des actes sont valables pour se donner une idée ;mais il doit s'agir de la totalité des ventes et non pas quelques chiffres qui peuvent arranger les uns ou les autres ;cela demande hélas du temps et la réalité ...

retour du mouton à écrit le 16/04/2010 à 6:10

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Il me semble qu'il pourrait y avoir deux catégories de papiers. - Le premier ne nécessite pas un travail énorme de la rédaction. Il dit quelque chose du genre : "Le Fnaim affirme que les prix remontent. Rappelons que ce syndicat professionnel des age...

CATHERINE à écrit le 15/04/2010 à 14:59

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Il me semble indéniable qu'il faille prendre en considération des chiffres des notaires puisque toutes les transactions sont enregistrées par eux. Le seul inconvénient résiden dans le fait que la synthèse est diffusée avec retard (après les ventes ef...

plop à écrit le 15/04/2010 à 10:23

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Excellente initiative (et mieux vaut tard que jamais) ! Le rôle de la presse est plus de confronter des points de vue, des idées, voire des statistiques, que de jouer le rôle de porte-parole d'un lobby-annonceur ! Faites réfléchir votre audience bon...

Vacherin à écrit le 15/04/2010 à 8:46

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On comprend plus rien à ces chiffres!!! A quand des chiffres officiels. En attendant, les vendeurs pensent que ça montent et refusent de négocier.

SImon Ferrier à écrit le 15/04/2010 à 8:44

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Le boulot du journaliste, c'est vérifier l'info. S'il peut pas le faire, il la publie pas.

Mediacenter à écrit le 15/04/2010 à 8:43

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Enfin des jounralistes qui se posent les bonnes questions! Ca change des articles sans aucune distance. LE mieux, c'est de comparer systématiquement les données de chacun et de pointer les écarts. COmme ça, on peut se faire notre propre avis.

JOe à écrit le 15/04/2010 à 8:41

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Pourquoi Friggit ne vaut pas parler à la presse? Il est bizarre ce mec

JP456 à écrit le 15/04/2010 à 8:41

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PErso, je préfère avoir tous les chiffres et me faire ma propre opinion. A l'heure d'Internet, je trouve que les journalistes n'ont pas à faire de la rétention d'information, même s'ils pensent que les chiffres sont faux. S'ils sont faux, qu'ils le p...

PUBLIER mais NEUTRALISER LE TITRE et le CHAPEAU à écrit le 15/04/2010 à 7:38

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oui il faut publier les études, y compris lorsqu'elles comportent des chiffres orientés faussement pour inciter les naifs; Ce qu'il faut impérativement éviter, c'est le gros titre et le chapeau de l'article qui amplifie le chiffre faussement orienté....

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