
Dans une interview accordée à la chaîne de télévision allemande WDR, le président de l'Eurogroupe, Jean-Claude Juncker, a affirmé qu'une sortie de la Grèce de la zone euro serait "gérable dans les conditions actuelles" . Il a toutefois précisé que cette issue "n'était pas souhaitable parce qu'elle comporterait des risques importants, surtout pour les gens modestes en Grèce". Interrogé sur le fait de savoir s'il pouvait catégoriquement exclure cette possibilité, Jean-Claude Juncker a répondu : "dans tous les cas, pas avant l'automne, et pas non plus après". Dans une précédente interview, accordée en juillet à la presse allemande, le Premier ministre du Luxembourg s'était montré plus catégorique, soulignant qu'une sortie de la Grèce de la zone euro ne faisait pas partie de ses "hypothèses de travail", et avait sévèrement critiqué ceux qui faisaient la promotion de cette idée.
"Réapprendre à nous aimer"
M. Juncker s'en est également pris à l'Allemagne, régulièrement critiquée en Europe pour son intransigeance dans la gestion de la crise de la zone euro. "Les Allemands, beaucoup d'Allemands", ainsi qu'une partie de la presse allemande, "parlent de la Grèce comme si c'était un peuple qu'on peut ne pas respecter. Or, ce n'est pas le cas", a-t-il ajouté. "Nous devons réapprendre à nous aimer", a conclu M. Juncker. Parmi les personnes visées par Juncker, le ministre allemand de l'Economie Philip Rösler a il y a peu réitéré ses doutes concernant la possibilité pour la Grèce de se maintenir dans la zone euro, ajoutant qu'une sortie de ce pays n'avait, de son point de vue, "plus rien d'effrayant depuis longtemps".
Une aide cruciale d'ici septembre
Au bord de la faillite, la Grèce s'est vu accorder deux plans d'aide d'un montant total de plus de 240 milliards d'euros, accompagnés d'un programme draconien d'ajustements budgétaires. Un programme qui a toutefois pris du retard. Les experts du FMI, de l'Union européenne et de la Banque centrale européenne, connus sous le nom de "Troïka", ont commencé mi-juillet l'examen du programme économique du nouveau gouvernement. Leur rapport, attendu "mi-septembre" par Berlin, déterminera si la Grèce recevra la prochaine tranche de 31,5 milliards de crédit prévue dans le cadre du deuxième plan d'aide en deux ans adopté en faveur de ce pays en février.
C'est ce que propose NDA président de Debout la République depuis plusieurs années maintenant !
Il est temps de virer tous ces Nuls qui dirigent l'Europe depuis trop d'années et qui la conduisent dans le MUR !
J'ajouterais que par la même occasion, en finir avec les lunes européennes fédéralistes pour se tourner vers une Europe des Nations me paraît être la meilleure solution.
Exit Bruxelles, la Commission, Barroso, Van Rompuy etc...
Le pouvoir aux Nations souveraines sur fond de coopérations entre Etats sur autant de domaines que nécessaires.
Pour les Fondus de Bruxelles de l'UE de la BCE du FMI de la Troïka
la situation actuelle par Olivier Delamarche Bfm Business...
Attachez vos ceintures l'impact va être violent...!!!
qu'en Déplaise a des internautes comme Montastruc Européiste extrémistes la zone Euro l'Espagne la grèce l'Italie la France...THE END.............
le même jour , dans les mêmes termes , sous la surveillance de l'ONU . Evidemment il y aura des vagues . Et alors ? Ce sera l'évènement du siècle , et la création de l'Etat le plus puissant et le plus riche de la planète !
pourquoi tourner autour du pot ?
La situation actuelle est ingérable pour de multiples raisons dont l'incurie manifestée par les dirigeants politiques d'avant-hier, dhier et d'aujourd'hui.
La déflagration est inscrite dans les faits, la messe est dite.
Préparez vous ... ça va secouer sur les marchés ! maintenant que même les politiques leur donne leur blanc seing. Les grecs vont recommencer à envoyer leurs euros en Suisse ou en allemagne. Les espagnols vont commencer à faire la meme chose. Et le jeu de domino va continuer et certains gros hedge funds vont remporter la mise à la rentrée.
Leur pari aura été gagné par le manque. et nos hommes politiques auront montré qu'ils ne sont que des marionnettes. Incapables de gérer une "crise" provenant d'un pays qui represente 2% du PIB europeen.....quel challenge !