Faillites bancaires : accord à l'arraché avant la réunion du Conseil européen

Les ministres européens des Finances ont trouvé dans la nuit de mercredi à jeudi un compromis pour restructurer ou liquider les banques en difficultés tout en épargnant les contribuables, un succès obtenu "de haute lutte" à quelques heures d'un sommet européen.
Copyright Reuters

Il s'agissait d'un point de blocage pour l'obtention d'u accord européen sur la résolution bancaire après une première réunion marathon de plus de 18h la semaine dernière à Luxembourg. Après plus de six heures de discussions, les ministres des Finances européens sont parvenus à un accord sur le degré de flexibilité laissé à chaque Etat dans la résolution des crises bancaires.

Entrée en vigueur en 2018

"C'est un succès, un succès arraché de haute lutte", a réagi à la sortie de la réunion le ministre français des Finances, Pierre Moscovici, jugeant que cet accord était "très important pour la stabilité financière de l'Union européenne". L'Allemand Wolfgang Schäuble a salué "une avancée importante" en ce sens. C'est "un jalon majeur dans nos efforts pour briser le cercle vicieux entre les banques et les dettes des Etats", a renchéri l'Irlandais Michael Noonan, qui présidait la réunion.

"Si une banque a des problèmes, nous aurons désormais un ensemble unique de règles dans toute l'Europe pour décider qui paie la facture", a souligné de son côté le Néerlandais Jeroen Dijsselbloem, par ailleurs président de l'Eurogroupe. Ces nouvelles règles devraient entrer en vigueur à partir de 2018.

Deux groupes de pays s'opposaient

Pour éviter de faire payer les contribuables quand une banque doit être restructurée ou liquidée, les Européens s'étaient déjà mis d'accord pour faire payer, dans l'ordre: les actionnaires, puis les créanciers les moins bien assurés, puis, le cas échéant, les détenteurs d'obligations dits "seniors" et en dernier recours les déposants, au-delà de la somme de 100.000 euros. 

Mais deux groupes de pays s'opposaient. Dans le premier se trouvaient la France et le Royaume-Uni, qui voulaient pouvoir bénéficier d'une certaine flexibilité au cas par cas. Paris souhaitait par exemple pouvoir protéger, dans certaines circonstances, les déposants individuels et les PME. D'autres pays comme l'Allemagne, les Pays-Bas et la Finlande, défendaient au contraire les règles les plus strictes possibles, pour éviter l'incertitude qui risque de faire fuir investisseurs et déposants.

Un recours à l'argent public sera toujours possible

Au final, les Etats qui souhaiteront de la flexibilité devront imposer des pertes d'abord aux créanciers et actionnaires à hauteur de 8% minimum du passif des banques. Autrement dit, pour une banque dont le passif est de 100 milliards d'euros, créanciers et actionnaires se verront imposer au moins 8 milliards d'euros de pertes. Une fois cette condition remplie, pourra intervenir un fonds national "de résolution" et si nécessaire, seront sollicitées "des ressources, soit nationales, soit européennes", avec la possibilité de "recapitalisation directe par le MES", le fonds de secours de la zone euro, a expliqué Pierre Moscovici. Ce deuxième niveau d'intervention ne pourra pas dépasser 5% du passif de la banque.

Même si le recours à l'argent public est donc encore possible pour les pays qui voudront faire jouer la flexibilité, notamment à travers le MES, il s'agit d'"un changement majeur", a souligné Jeroen Dijsselbloem, car "on passera de l'argent public, celui du contribuable, à celui du secteur financier lui-même, qui va devoir dans une très large mesure régler ses propres problèmes". L'intervention possible du MES, et donc des contribuables européens, parfois pour sauver les banques d'autres pays, n'était pas du goût de tout le monde, notamment de l'Allemagne. Mais, a souligné Pierre Moscovici, "il ne paraissait pas cohérent d'un côté de mettre en place un mécanisme direct de recapitalisation des banques par le MES et de l'autre côté, d'exclure le MES du jeu de la flexibilité".

Il était temps

Les ministres étaient sous pression pour trouver un accord avant jeudi. D'une part, parce que s'ils avaient échoué, le calendrier parlementaire aurait été trop serré pour que le texte soit adopté définitivement avant mai 2014, date des élections européennes. Par ailleurs, un échec aurait entaché le sommet des chefs d'Etat et de gouvernement qui doit s'ouvrir jeudi après-midi à Bruxelles, et qui doit notamment faire le point sur les avancées réalisées en matière d'union bancaire.

 

Commentaires 64
à écrit le 14/09/2013 à 0:14
Signaler
Cet article de la <a href="http://www.rmrsyndics.com">faillite</a> bancaire est très intéressante! J'aime bien des idées que les ministres européens des Finances ont trouvé dans la nuit. Nous avons besoin d'un compromis pour restructurer ou liquider ...

à écrit le 28/06/2013 à 14:39
Signaler
Il est temps de libéraliser la création de nouvelles banques de crédit et de favoriser la concurrence. Les vieilles vont alors pouvoir s'effondrer tranquillement.

à écrit le 28/06/2013 à 2:48
Signaler
C'est une plaisanterie... Alors que la maison brûle... de nouvelles règles applicables à partir de 2018 ! A quels gogos va-t-on faire croire que les comptes bancaires ne seront pas javelisés avant 2018, vos comptes bancaires ! Truands !!! Dans peu de...

à écrit le 27/06/2013 à 20:41
Signaler
Il serait bien que La Tribune nous rappelle quelles sont les banques françaises qui sont considérées "en difficulté" (c'est-à-dire au bord de la faillite). Je conseille de lire le "journal" que tient le journaliste Pierre Jovanovic et sur lequel il ...

à écrit le 27/06/2013 à 20:33
Signaler
Il serait bien que La Tribune nous rappelle quelles sont les banques françaises systémiques (cad au bord de la faillite) ; le journaliste économique Pierre Jovanovic tient un "blog- journal" sur lequel il mentionne le nom de ces banques françaises. I...

le 28/06/2013 à 2:50
Signaler
Le CREDIT AGRICOLE (n°1 mondial), BNP PARIBAS, SG... et d'autres à moindre degré. Pour le seul CREDIT AGRICOLE on dépasse allègrement le PNB française

à écrit le 27/06/2013 à 18:19
Signaler
Plus besoin de mettre une cagoule et de braquer un flingue sur la tête du guichetier. Il suffit au banquier indélicat par ses erreurs et les risques prix d'aller mettre la main dans la poche des autres! Les déposants qui n'ont pas d'autre possibilité...

à écrit le 27/06/2013 à 17:51
Signaler
Nous sommes ici au coeur du mensonge néolibéral (qui n'a rien à voir avec le libéralisme) ils disent vouloir moins d'état et dans les faits ils imposent des règles qui défient toutes la tradition économique :ponctionner les dépôts c'est du jamais vu ...

à écrit le 27/06/2013 à 17:36
Signaler
Au secours monsieur Hollande! ,faites nous un vrai "Glass Steagall act" comme tous vos amis vous le demandent depuis un an ,une séparation physique des banques de dépôt et d'affaire ,pour sécuriser nos dépôts .Vous entrerez alors dans l'Histoire com...

à écrit le 27/06/2013 à 15:33
Signaler
les banques: les ennemis des états

le 27/06/2013 à 19:11
Signaler
Mais non ... Les Etats sont les premiers complices des Banques ... Les Banques ont cherché pour plus de 2000 milliards d euros " d aides " en 2012 aupres de la BCE . Ces 2000 milliards sortent directement des photocopieuses de la BCE : On appelle...

à écrit le 27/06/2013 à 15:00
Signaler
et le reste

à écrit le 27/06/2013 à 14:55
Signaler
Les profits demeurent privatisés pour un petit nombre de citoyens et les dettes demeurent socialisées pour un grand nombre de citoyens...Cette règle Européenne est mise en place pour les prochaines faillites on se dit maintenant que le cas de Chypre ...

le 27/06/2013 à 17:07
Signaler
Nous voilà arrivés au stade souhaité par cette bande de technocrates jamais responsables de rien : ils manquent des liquidités ? problème résolu (pour ces bandits) puisque c'est l'épargnant qui va casquer. Moralité retirons tous notre argent des b...

le 27/06/2013 à 17:54
Signaler
sont vraiment nuls

à écrit le 27/06/2013 à 14:21
Signaler
Tous des voleurs ces banquiers et ces politiques, en prison comme en Islande. Ce matin dans la Tribune Pour éviter de faire payer les contribuables quand une banque doit être restructurée ou liquidée, les Européens s'étaient déjà mis d'accord pour fa...

le 27/06/2013 à 17:52
Signaler
que nos actions risquent alors autant tout retirer , je ne place pas pour ma banque !!!!

à écrit le 27/06/2013 à 13:42
Signaler
Et la separation des banques ...oubliee Creancier+act 8% mini....et ensuite haircut + argent du contribuable.....un peu desequilibre non? Les primes aux dirtigeants bien sur seront payes....comme d hab...

à écrit le 27/06/2013 à 13:06
Signaler
Bon, après le ratage de communication concernant le raclage des comptes des déposants des banques chypriotes, l'Europe se reprend. Elle institutionnalise la ponction des actionnaires (penser aux détenteurs de parts des banques type BPCE, BRED...) et ...

à écrit le 27/06/2013 à 12:49
Signaler
«Si la population comprenait le système bancaire, je crois qu'il y aurait une révolution avant demain matin.». Henry Ford. Qu'est ce que le peuple ne comprend pas ????? Merci

le 27/06/2013 à 15:36
Signaler
le système bancaire mondiale sur youtub est instructif à souhait http://www.youtube.com/watch?v=7Ggaw1fzENo

à écrit le 27/06/2013 à 12:25
Signaler
Trois points ont été oubliés. 1 - La taille des banques. Le slogan méprisant « too big to fail », qui signifie : « je fais ce qui me plait et les contribuables paieront la casse » aurait dû être étudié et ses conséquences auraient dû en être tirées....

le 27/06/2013 à 13:44
Signaler
Votre proposition est intéressante et aurait effectivement le mérite de respecter le principe de responsabilité. Pour le moment, le Conseil Européen nous présente comme une avancée une mesure qui aboutit à faire payer surtout ceux qui n'y sont pour r...

le 27/06/2013 à 17:16
Signaler
C'est cela l'europe ! Et ils s'étonnent que nous ne soyons pas des pro-européens ? Les braves ne sont jamais responsables de rien : leurs principes je joue je perds tu casques

à écrit le 27/06/2013 à 12:16
Signaler
C'est très boen et très logique : quand une banque fait faillite, les propriétaires de ladite banque sont les premiers à payer; parfaitement logique. Les états n'ont AUCUNE raison de participer à u sauvetage de banques privées, de préteurs privés. Pr...

le 27/06/2013 à 12:38
Signaler
faudrait retourner en primaire pour la dictee

à écrit le 27/06/2013 à 12:13
Signaler
Il est urgent et vital de sortir de l?UE/Euro/Otan. Comprendre pourquoi l?Europe nous mène droit dans le mur avec des arguments indiscutables et sourcés : http://www.u-p-r.fr/conferences-en-ligne

le 27/06/2013 à 17:17
Signaler
Votre site n'est pas sécurisé....

à écrit le 27/06/2013 à 11:45
Signaler
Cela porte un nom: Vol en bande organisée. Cela est répréhensible et sanctionnée par des lois mentionnées dans le code pénal: Article 311-1 : Le vol est la soustraction frauduleuse de la chose d'autrui. Article 311-9 : vol en bande organisée : quinz...

le 27/06/2013 à 12:17
Signaler
Dans ce cas, le vol est commis par la banque qui a fait faillite, et par ses employés. Quand à la dictature, il n'y a aucun rapport : consultez un dictionnaire svp pour compenser votre ignorance !!!

le 27/06/2013 à 12:32
Signaler
mieux le FN au pouvoir avec sa branche ultra bien sur

le 27/06/2013 à 13:09
Signaler
Attention, votre surnom porte au raccourci..........Surtout au niveau de la tête. Mais si par malheur cela vous arrivait, cela ne serait pas une grande perte vu que ce qui est sensé s'y trouver vous fait cruellement défaut.

le 27/06/2013 à 13:44
Signaler
Louis XIX n'est pas Louis XVI... Et pourquoi une telle attaque gratuite ?

à écrit le 27/06/2013 à 11:29
Signaler
"Au final, les Etats qui souhaiteront de la flexibilité devront imposer des pertes d'abord aux créanciers et actionnaires à hauteur de 8% minimum du passif des banques." (créancier = déposants a solde créditeur particuliers et entreprise ) exemp...

le 27/06/2013 à 12:15
Signaler
Avant la fin de l'année le bon sens près de chez vous risque d'avoir chaud aux fesses...et peut-être même disparaitre !

le 27/06/2013 à 17:19
Signaler
Fort bien dit

à écrit le 27/06/2013 à 10:39
Signaler
L escroquerie bancaire en bande organisée bat son plein ... Les " déposants " vont payer . Si vous pensiez qu en mettant votre argent dans une Banque , vous en restiez propriétaire , vous avez compris à présent que tel n est pas le cas . En effe...

le 27/06/2013 à 11:07
Signaler
Nous ne sommes que de simples créanciers d'organismes qui se servent des fonds déposés pour jouer au casino de la grande finance. Quand ils gagnent (en créant des bulles financières) c'est pour eux. Quand ils perdent c'est pour nous sous une forme ou...

à écrit le 27/06/2013 à 10:33
Signaler
Quelqu'un peut-il m'expliquer ? Sur 100 milliards : 8 mds pour les actionnaires et créanciers, 5 mds d'argent public. Et pour les 87 mds restant ?

le 27/06/2013 à 11:12
Signaler
Les 87 mds restants à la charge des déposants au dessus de 100 000 ?. Voir l'exemple de Chypre avec les conséquences désastreuses pour les particuliers, PME etc...

le 27/06/2013 à 11:58
Signaler
Les entreprises surtout ! Les lobbies bancaires sont très forts : comment renverser le logique libérale quand elle n'est pas en votre faveur ? Sous la menace de dégâts économiques plus lourds encore pour les Etats. Et en faisant des clients, qui ne ...

le 27/06/2013 à 12:23
Signaler
8%, c'est un minimum, donc cela peut pas être plus. L'important, c'est que l'intervention publique soit limitée à 5% (maximum ici) . Il faudrait aussi liquider les bonus des financiers de la banque, et même récupérer les bonus des années précédentes,...

à écrit le 27/06/2013 à 10:22
Signaler
ceci implique que les banques n'achèteront plus d'obligations d'Etat, et c'est bien ainsi, les Etats devront gérer leur budget comme un budget d'une famille !!!

le 27/06/2013 à 11:15
Signaler
je suis d'accord avec vous, mais ceux sont les états eux memes via MIF et autre qui obligent les banques a avoir dans leur bilan des obligations d' etat, cela est hallucinant! Et puis je pense que cela va dissuader les investisseurs a acheter des ac...

le 27/06/2013 à 12:23
Signaler
Je ne vois pas le rapport. Votre commentaire est totalement inexpliqué et saugrenu.

à écrit le 27/06/2013 à 10:05
Signaler
Je ne comprends pas pourquoi les actionnaires devraient être épargnés. Les actionnaires sont les propriétaires de la banque, si la banque fait faillite, elle se doit d'honorer ses dettes, rembourser tout ce qu'elle doit et qui n'est pas à elle avant ...

le 27/06/2013 à 11:43
Signaler
Je partage votre avis : 8% de pertes laissées aux actionnaires, ce n'est rien ! Dans 99% des cas, si une banque fait faillite, c'est qu'il y a mauvaise gestion de la part des dirigeants, rarement parce que les circonstances économiques sont difficile...

le 27/06/2013 à 12:25
Signaler
Oui; ce vol est arrivé dans la plupart des sauvetages bancaires des années 2007-2013 : les banques centrales et les états ont injecté des sommes massives, et les actionnaires ont été protégés, tout comme les traders qui ont continué à toucher d'énorm...

à écrit le 27/06/2013 à 10:04
Signaler
jusqu'à quand vu la vitesse à laquelle la France creuse ses pertes , qui plus est sans aucun espoir d'amélioration puisque le libre échange sans harmonisation et la mise en concurrence dans tous les domaines imposés par Bruxelles s'intensifie !!!

à écrit le 27/06/2013 à 10:01
Signaler
Créanciers , actionnaires et déposants au dessus de 100000e perdront 8% de leur avoir si risque de faillite de leurs banques......à moins que j'ai compris de travers la volonté Allemande sur la règle des 8%!! bref après Chypre le tour à qui?????

à écrit le 27/06/2013 à 9:59
Signaler
les créanciers sont les gens qui ont de argent sur le compte,donc en cas de faillite c'est 8% de pris sur nos compte

le 27/06/2013 à 12:26
Signaler
Vous confondez créanciers et déposants; consultez un dictionnaire.

à écrit le 27/06/2013 à 9:58
Signaler
Dans l'attente du texte définitif, il semble bien qu'une fois de plus, tout ceci ne soit qu'un écran de fumée supplémentaire. Deux choses sont précises: une perte de 8% des actionnaires et un renflouement de 5% du MES (ces 5% viennent du fait que le ...

le 27/06/2013 à 17:26
Signaler
Bonne question, quid des 87%? De plus la garantie des 100 000 euros n'existe que sur le papier. puisque le fond de garantie des dépôts ne dispose en caisse que de 2 milliards d'euros soit 20 000 épargnants, autant dire rien. Après c'est l'état qui ...

à écrit le 27/06/2013 à 9:58
Signaler
on ne sert pas à grand chose, on est bien payé et en plus qu' est-ce qu'on se marre !!!!!

à écrit le 27/06/2013 à 9:54
Signaler
Ah les copains avec ce nouveau coup des maîtres j'arnaque je me sens mieux je sens bien que si il y a un problème dans une banque les peuples européens n'auront rien à renflouer. Je vais me coucher tranquille !

à écrit le 27/06/2013 à 9:37
Signaler
placez votre argent en Suisse ou à Andorre, qui sont hors UE, tant que vous le pouvez. (Et déclarez le évidemment!!). Au moins, vous échapperez à ces ponctions scélérates en cas de problème majeur.

le 27/06/2013 à 11:20
Signaler
Vous croyez que si une banque comme BNP venait à faire faillite, il n'y aurait pas de répercussions sur vos comptes en Suisse ou en Andorre. A mon avis vu les sommes en jeu, vous vous mettez le doigt dans l'oeil. La seule solution était de séparer le...

à écrit le 27/06/2013 à 9:03
Signaler
Tout le monde reprend en boucle le même communiqué de presse, mais CONCRETEMENT, qu'est-ce qui a été décidé ? Que risquent les épargnants français ? Par ailleurs, si on épargne les contribuables, c'est pour mettre à contribution les déposants ! C'es...

à écrit le 27/06/2013 à 8:53
Signaler
Un bon point qui aura des incidences sur le role des banques don't le lien avec les etats devient encore plus evident.

à écrit le 27/06/2013 à 8:50
Signaler
L'ennui avec les compromis, c'est qu'appliqué a quelque chose de financier, qui est de l'ordre des mathématiques, ca peut donner des résultats étranges. Si chacun a une valeur différente a proposer pour 9x7 et qu'on opte pour un compromis, le résulta...

le 27/06/2013 à 12:27
Signaler
??? Incompréhensible.

à écrit le 27/06/2013 à 8:45
Signaler
Les actionnaires paieraient au minimum 8% du passif : avant c'était entre 0% et 100%, maintenant c'est entre 8% et 100%, on est loin de la "règle unique" qui devait redonner "la confiance".

à écrit le 27/06/2013 à 8:38
Signaler
Nouvelle étape dans la construction européenne : l'Union Bancaire http://www.leconomiste.eu/decryptage-economie/50-nouvelle-etape-dans-la-construction-europeenne-l-union-bancaire.html

Votre email ne sera pas affiché publiquement.
Tous les champs sont obligatoires.

-

Merci pour votre commentaire. Il sera visible prochainement sous réserve de validation.