
Huit cadres du secteur privé sur dix (83%) souhaitent pouvoir télétravailler "à l'avenir": sept sur dix (72%) "au moins un jour par semaine", 11% "à titre occasionnel", selon une enquête de l'Association pour l'emploi des cadres (Apec) publiée jeudi.
Parmi les cadres désireux d'un télétravail régulier, près de la moitié (47%) veulent télétravailler "deux à trois jours par semaine", tandis qu'un sur dix aimerait télétravailler "un jour par semaine" (13%) et la même proportion "quatre à cinq jours par semaine" (12%), d'après cette enquête.
Les cadres du privé "aspirent ainsi à un modèle hybride, mêlant télétravail et présentiel, escomptant gagner par ce biais en temps et en sérénité", note l'Apec. Mais le télétravail en mode "confiné a révélé aux cadres le risque d'isolement et le besoin d'un environnement adapté pour télétravailler dans de bonnes conditions".
La recherche d'un nouvel équilibre, dès le recrutement
"Imposé à haute dose", comme en période de confinement, le télétravail "séduit moins": en septembre, six cadres sur dix (58%) associaient encore "spontanément une image positive" au télétravail, contre neuf cadres sur dix (90%) avant le premier confinement. Les principaux points positifs retenus sont "l'amélioration de la qualité de vie" et "l'amélioration de la productivité". Mais à l'automne, les cadres étaient "deux fois plus nombreux" (34% contre 17%) à évoquer des "risques" dus au télétravail, comme l'isolement (19%) ou "la surcharge de travail" (16%).
La possibilité de télétravailler est cependant devenue "un critère important dans la recherche d'emploi" pour sept cadres sur dix (69%). Elle l'est encore davantage pour les moins de 30 ans (76%). Car l'envie de télétravail est plus forte chez les plus jeunes: 87% des cadres de moins de 30 ans veulent télétravailler, contre 77% des plus de 50 ans.
"Le télétravail représente désormais un facteur d'attractivité, au même titre que le package salarial ou les mesures d'équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle", indique Gilles Gateau, directeur général de l'Apec. Il devient "un élément différenciant" entre les employeurs, "un moyen de fidéliser" les salariés, explique-t-il.
Lors du premier confinement, "les cadres ont dû s'adapter dans l'urgence", rappelle l'Apec. Aujourd'hui, 62% d'entre eux seraient "intéressés par une formation sur les bonnes pratiques" du télétravail. Un souhait qui concerne 68% des cadres managers et 74% des cadres des fonctions ressources humaines.
Cette enquête réunit les résultats de deux sondages réalisés en ligne - en février-mars, puis en septembre-octobre - auprès d'échantillons représentatifs des cadres du privé (3.171 cadres interrogés la première fois, 2.025 cadres la deuxième).
C'est le problème d'avoir des idéologues à la tête de notre économie, les gars ils ne pensent pas, ils prêchent un temps qui n'existe plus depuis plus de deux siècles maintenant mais comme ils possèdent tout ils arrivent encore à entretenir l'illusion, enfin chez les citoyens européens bien évidemment, parce que vu les chiffres désatreux de l'UE. Nos voisins du monde eux rigolent bien et eux aussi ont encore plus intérêt à faire semblant !
C'est le problème d'avoir des idéologues à la tête de notre économie, les gars ils ne pensent pas, ils prêchent un temps qui n'existe plus depuis plus de deux siècles maintenant mais comme ils possèdent tout ils arrivent encore à entretenir l'illusion, enfin chez les citoyens européens bien évidemment, parce que vu les chiffres désatreux de l'UE. Nos voisins du monde eux rigolent bien et eux aussi ont encore plus intérêt à faire semblant !
la constitution européenne de 2005 qui aurait pu partiellement régler ce problème ayant été rejetée notre responsabilité est collective.
si vous voyagez échangez avec les autres pays vous ne pourriez affirmer cela:
à la différence du patronat Français, parfois patriarcale, les autres patronats européens surtout dans les pays du nord et de l' est, font confiance à leurs salariés, les font participer aux prises de décisions, au capital et à la co-gestion de leur entreprise avec bien sûr un contrôle sur les résultats, bien sûr tout n' est pad idyllique mais c' est déjà une avancée comparée à notre pays..
chez nous rien de tout cela...et surtout pas....les avantages salariaux ou en nature d' un autre temps de cadres dirigeants ou autres qui persistent uniquement en FRANCE ou certains pays latins (Italie, Espagne) choqueraient .
bref c' est l' organisation volontaire pyramidale des entreprises privées françaises qui est responsable des petits chefs qui servent bien les grands chefs (relais d info etc...) idem pour la fonction publique.
la constitution européenne de 2005 qui aurait pu partiellement régler ce problème ayant été rejetée notre responsabilité est collective.
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à la différence du patronat Français, parfois patriarcale, les autres patronats européens surtout dans les pays du nord et de certains de l' est, font confiance à leurs salariés, les font participer aux prises de décisions, au capital et à la co-gestion de leur entreprise avec une attente sur les résultats, bien sûr tout n' est pas idyllique mais c' est déjà une avancée comparée à notre pays..
chez nous rien de tout cela...et surtout pas....les avantages salariaux ou en nature d' un autre temps de cadres dirigeants ou autres qui persistent uniquement en FRANCE ou certains pays latins (Italie, Espagne) choqueraient .
bref c' est l' organisation volontaire pyramidale des entreprises privées françaises qui est responsable des petits chefs qui servent bien les grands chefs (relais d info etc...) idem pour la fonction publique.