
La pandémie a fait des ravages sur le marché du travail. Selon la dernière note de conjoncture de l'Insee publiée ce mardi 15 décembre, plus de 700.000 emplois seraient détruits cette année. Dans le détail, près de 600.000 postes de salariés ont été détruits et 100.000 emplois non salariés ont disparu. Les vagues d'épidémie et de confinement ont été désastreuses pour l'emploi.
"L'emploi avait chuté fortement au premier semestre avec près de 700.000 destructions d'emplois. Entre juin et septembre, 400.000 emplois ont été crées dans les services marchands et non-marchands. Il devrait y avoir un nouveau recul de l'emploi salarié au dernier trimestre avec 300.000 emplois en moins. Au total 600.000 emplois salariés ont été détruits" a déclaré Olivier Simon lors d'un point presse.
Sur l'ensemble de l'année, les statisticiens anticipent un recul du produit intérieur brut d'environ 9%. "La crise est encore conditionnée par la situation sanitaire à rebours des crises antérieures. La situation est très évolutive. L'Allemagne par exemple se reconfine avec un régime assez strict" a expliqué le chef du département de la conjoncture, Julien Pouget. Notre prévision de perte d'activité est d'environ 8% sur l'ensemble du quatrième trimestre par rapport au quatrième trimestre...
En Belgique, les coiffeurs multiplient les actions pour demander la réouverture des salons. D'autant qu'en France, ces derniers ont pu rouvrir fin novembre, en même temps que tous les commerces non-essentiels. Alors, certains Belges n'hésitent pas à franchir la frontière pour aller se faire coiffer, au grand dam des professionnels du secteur. Et la publicité parue dans le dernier numéro du bulletin communal de Quiévrain, n'a pas calmé leur colère. En effet, comme le rapporte la DH, un salon de coiffure français s'est offert un petit encart dans l'édition de décembre. "Non seulement, je trouve ça honteux de fermer les salons de coiffure en Belgique alors que les salons français sont ouverts, mais voilà que Quiévrain se met à faire de la publicité pour un salon de coiffure à la frontière", n'a pas manqué de dénoncer sur Facebook un habitant de la commune.
Ainsi, à condition d’avoir obtenu un accord de branche ou d’entreprise, et donc d'avoir mené des négociations avec les représentants du personnel, un employeur peut imposer six jours de congés payés à ses salariés. Et ce, en respectant un délai de prévenance d’un jour franc seulement (il peut par exemple le prévenir le lundi pour poser ses congés à partir du mercredi), contre quatre semaines en temps normal.Par ailleurs, un employeur peut aussi imposer jusqu’à dix jours de RTT. Cette fois, les conditions sont bien plus souples : l’employeur n’a pas besoin d’obtenir un accord d’entreprise ou de branche. Il peut donc imposer ou modifier de manière unilatérale les dates pour les jours de repos, à condition encore une fois de respecter un délai d’un jour franc. Dans les mêmes conditions, un employeur peut aussi piocher dans les jours mis de côté sur votre compte épargne temps.
- un PIB en recul de 9%, effectifs des fonctionnaires stables ou en légère hausse
- d'innombrables entreprises sont en cessation de payement, pôle emploi va recruter encore plus d'agents pour trouver des emplois dans des sociétés qui n'existent plus ?
- L'état est en train de réaménager des friches industrielles et de construire des bâtiments alors qu'aucune activité n'y pourra être abrité avant de longues années, le temps de faire le ménage dans les différents échelons du gouvernement et de cet état sans oublier les Théodule . . . .
C'est meme pas certain.....
C'est une catastrophe !
Record en 6 ans !
Les morts n'ont désormais plus besoin de rien à la différence des vivants qui vont avoir besoin d'un travail pour faire vivre leur famille. Ils n'ont pas le choix. "On" pourrait peut-être envisager de rouvrir un peu plus l'économie pour éviter une hécatombe programmée.
L'idée, c'est que la mort est une conséquence de la vie, surtout si on est vieux. Encore faut-il avoir eu le temps et les moyens de vivre décemment.