
Le ministre délégué grec à la Sécurité sociale, Dimitris Stratoulis, figure de l'aile radicale du parti Syriza, a prévenu vendredi que le gouvernement d'Alexis Tsipras pourrait être contraint d'organiser des élections anticipées si les créanciers d'Athènes n'assouplissent pas leur position.
"Propositions extrêmes"
"Les créanciers veulent imposer des mesures dures. S'ils ne font pas machine arrière sur ce paquet visant à faire chanter le gouvernement, nous devrons rechercher des solutions alternatives, des élections", a-t-il dit.
Alexis Tsipras, qui s'est une nouvelle fois entretenu au téléphone avec Angela Merkel et François Hollande dans la soirée de jeudi, informera le Parlement grec de l'avancée des négociations ce vendredi à 15h00 GMT.
Le Premier ministre grec a déclaré à ses ministres qu'il ne pouvait pas accepter les "propositions extrêmes" qui lui ont été soumises mercredi à Bruxelles par l'Union européenne et le Fonds monétaire international.
Remboursement reporté à fin juin
La Grèce a annoncé au Fonds monétaire international qu'elle reportait à la fin du mois un remboursement de 300 millions d'euros initialement prévu ce vendredi. Athènes compte regrouper en une seule échéance payable le 30 juin ses quatre remboursements dus ce mois-ci -- 1,6 milliard d'euros au total --, repoussant ainsi le risque d'une faillite imminente.
Voici qui explique les crédits généreusement accordés par les banques allemandes à la Grèce.
C'est bête, mais grâce à la Troïka et ses fabuleux mémorandums, il y a moins de policiers, moins d'infirmières et moins d'inspecteurs fiscaux !
En parlant de civilisation, je crois qu'un grand pas a été franchi quand on a cessé de condamner un peuple globalement (Carthage anéantie, son sol salé pour empêcher l'herbe de repousser, "Tuez les tous, Dieu reconnaîtra les siens", et la liste est longue) pour estimer que chacun est responsable de ses propres actes, et seulement de ses actes, d'où la création de tribunaux. Alors vos échappées hellénophobes, vous pouvez vous les garder pour vous.
Si le problème actuel est résolu fin juin (ce que je pense), je doute que la Grèce puisse revenir d'ici peu sur le marché international des capitaux (sauf FMI et BCE).
Cordialement
Tout simplement, on brade, on sabre dans le budget de l'Etat-providence, on diminue même de moitié le nombre des wagons dans les rames du métro, et il faut toujours plus d'ëfforts", toujours plus...
Tout simplement, les Portugais, après plus d'un demi-siècle de dictature, et avec un temperament bien plus doux (saudade) que le nôtre, n'ont pas la culture de la révolte.
Il n'y eut même pas d'indignés...
Je leur souhaite de tout mon coeur de la découvrir, cette culture de la révolte.
Et, parfois, les "moutons enragés" s'avèrent les adversaires les plus redoutables
La grèce connait une hausse du chômage, le retour de la récession, une fuite des capitaux, des banques hyper fragiles prêtent à faire faillite à tout moment, elle n'a pas accès aux marchés ( Oat grec est à 12 % vs 2.2 % au portugal etc..)
Comme un bon élève travailleur le Portugal récolte les fruits de son travail tandis que la, Grèce récolte les mauvaises herbes de sa nonchalance.
Ca sert à quoi les indignés, la grèviculture etc..? En france quand on voit la grêviculture de la sncf, ratp, sncm, port de marseille , sea france et j'en passe tous en faillite c'est intolérable, ça coûte cher et ça sert à rien !
Les indignés en Espagne non plus n'ont servis à rien, heureusement que les Espagnols ont le PPE et j'espèrent qu'ils ne commeteront pas la folie de voter PODEMOS sinon destin catastrophique à la SYRIZA comme en Grèce ! CQFD.
La grèce connait une hausse du chômage, le retour de la récession, une fuite des capitaux, des banques hyper fragiles prêtent à faire faillite à tout moment, elle n'a pas accès aux marchés ( Oat grec est à 12 % vs 2.2 % au portugal etc..)
Comme un bon élève travailleur le Portugal récolte les fruits de son travail tandis que la, Grèce récolte les mauvaises herbes de sa nonchalance.
Ca sert à quoi les indignés, la grèviculture etc..? En france quand on voit la grêviculture de la sncf, ratp, sncm, port de marseille , sea france et j'en passe tous en faillite c'est intolérable, ça coûte cher et ça sert à rien !
Les indignés en Espagne non plus n'ont servis à rien, heureusement que les Espagnols ont le PPE et j'espèrent qu'ils ne commeteront pas la folie de voter PODEMOS sinon destin catastrophique à la SYRIZA comme en Grèce ! CQFD.
ce sont deux Pays méditerranéens et la population en nombre est voisine.
Pour le reste, le Portugal était un foyer des juifs et des maranes (et donc fructueuse connection commerciale avec l'Angleterre, il a aussi été le refuge des derniers Templiers, dont on connaît les capacités financières. C'est devenu rapidement un Empire riche sur plusieurs continents. Ensuite, le Portugal a été un des premiers pays à vouloir éradiquer le christianisme, avec la France (d'où les apparitions de Fatima, puis en réaction l'arrivée de Salazar). Le pays a été epargné par deux guerres mondiales ! L'industrie naissante a été épargnée. Les dépenses militaires sont peu importantes depuis 1974.
La Grèce, restée profondément chrétienne orthodoxe (donc plus patriote et hostile au mondialisme, en tout cas jusqu'à récemment) a subi presque tous les guerres récentes, le pays est reste dévasté en 1945 par les troupes de l'Axe, et a été encore en guerre jusqu'en 1949. L'industrie a dû presque repartir de zéro après ça. Les dépenses militaires ont toujours été énormes à cause de la menace turque. La Grèce a encore une flotte aérienne de centaines d'avions, la plus grosse d'Europe pour un petit pays de cette taille. Bon, il n'y a pas que des effets négatifs, elle en a retiré une forte expérience dans la réparation et son Hellenic Space Industry s"est développé jusqu'à comprendre plus d'un millier d'employés. Elle répare les avions de l'OTAN, elle fabrique des drones et tout récemment les tuyères du nouvel avion furtif de chez Dassault (le Neuron).
Maintenant, attendons de voir les "élections au Portugal, pour voir si le peuple est réellement satisfait de ses gouvernements européistes.