Grèce : une situation politique au bord du chaos

La majorité d'Alexis Tsipras est désormais double : une, à droite, pour l'austérité et une, à gauche, pour le reste de son action. Mais sa marge de manœuvre est étroite et des élections anticipées semblent inévitables.
La Vouli, parlement grec.

La position politique d'Alexis Tsipras est donc désormais très complexe. Mercredi 16 juillet au soir, l'assemblée grecque, la Vouli, a adopté, comme l'exigeaient les créanciers, le premier train de « réformes » ou plutôt de mesures récessives, par 229 voix contre 64. Parmi les 64 voix opposées au texte, quelques 39 proviennent des rangs du parti du premier ministre, Syriza. L'ancien ministre des Finances, Yanis Varoufakis, a, cette fois, voté contre les textes présentés. A la différence de lundi, lors du vote sur l'accord, où il s'était abstenu.

Ambiguïté de la position d'Alexis Tsipras

Reste que la réalité est la même : Alexis Tsipras ne peut faire passer les textes imposés par les créanciers sans l'appui du centre et de la droite. Il n'a pas, sur ces dossiers, de majorité propre. Ceci veut-il dire qu'il a de facto changé de majorité ? Pas réellement non plus. Car les « frondeurs » de Syriza qui ont refusé de voter pour les lois imposées par les créanciers, se sont par ailleurs engagés à ne pas renverser le gouvernement si une motion de défiance est déposée. Mieux même, ils ont indiqué vouloir voter les lois autres que les mesures d'austérité. Parallèlement, les trois partis de centre et de droite (To Potami, Pasok et Nouvelle Démocratie, ND) ont refusé toute participation à un gouvernement dirigé par Alexis Tsipras. Du coup, la position du gouvernement Tsipras est très ambiguë. Un pied dans le mémorandum, un pied en dehors.

Une action divisée en deux parties distinctes

Progressivement, on comprend la position du premier ministre. Son idée est de diviser son action en deux parties. La première « sous tutelle » concerne les mesures imposées par les créanciers. Elles ne sont pas issues de son choix, mais il est contraint par les circonstances de les appliquer. C'est le sens de sa formule lors de son interview à ERT lundi : « je ferai appliquer ce plan auquel je ne crois pas. » Pour ces mesures, le soutien de l'intégralité de Syriza n'est pas nécessaire, elle n'est même pas souhaitable pour montrer à l'opinion que le parti reste un parti d'opposition à l'austérité. En faisant voter ces textes par une opposition de droite unie, il accrédite l'impression générale en Grèce que ces partis sont les « chevaux de Troie » de Bruxelles et Berlin. La deuxième partie de son action sera les lois de réformes conformes au programme de Syriza, notamment la lutte contre l'oligarchie et le démantèlement du clientélisme. Sur ce point, il peut continuer à compter sur « sa » majorité et, dans l'avenir à s'en revendiquer.

Mieux vaut une austérité « de gauche » ?

La dernière justification avancée pour maintenir cette situation est qu'il vaut mieux que ce soit un gouvernement « de gauche » qui gère le mémorandum a minima plutôt qu'un gouvernement technique ou conservateur qui, comme dans le passé, prendrait ses ordres directement à Bruxelles. Le gouvernement peut ainsi insister sur ce qu'il a obtenu par sa « capitulation » : le maintien de la loi sur l'urgence humanitaire et la réouverture des banques lundi prochain. Enfin, pour justifier son maintien, le gouvernement Tsipras peut arguer que sa survie est une provocation aux yeux des créanciers qui ont tout fait pour le faire chuter et lui faisant accepter l'inacceptable. Du coup, il est possible que la minorité de Syriza vote contre les lois austéritaires aussi parce qu'elle sait que ce vote ne met pas en danger le gouvernement (il suffit que 45 des 146 députés de Syriza votent avec la droite pour former une majorité).

Une élection anticipée en septembre ?

Reste évidemment que cette position demeure largement rhétorique. Compte tenu de l'accord signé lundi, la marge de manœuvre propre du gouvernement Tsipras est extrêmement réduite. Toute loi « dans les matières concernées » devra obtenir l'approbation des créanciers. Or, ces « matières concernées » seront sans doute très larges. Rapidement, on va pouvoir constater que l'aspect « protecteur » du gouvernement est aussi mince que sa capacité d'initiative. En Grèce, il ne fait plus aucun doute que cette situation politique bancale débouchera sur de nouvelles élections. Une date circule même déjà, celle du 13 septembre.

Rupture entre Alexis Tsipras et Syriza ?

Seulement, une élection ne règle pas tout. La clé de ce scrutin va résider dans le positionnement futur de Syriza. Mercredi, le comité central du parti a désavoué Alexis Tsipras en rejetant l'accord de lundi. Ceci signifie-t-il que le parti est prêt à la rupture avec le premier ministre sur une ligne plus dure. Dans ce cas, le « nouveau Syriza » devrait placer comme objectif le Grexit « organisé et préparé » pour mettre fin aux memoranda et à l'austérité. Yanis Varoufakis, l'ancien ministre des Finances, encore très populaire, pourrait être son nouveau leader. Que fera alors Alexis Tsipras ? Quittera-t-il la vie politique ou décidera-t-il de maintenir sa doctrine du « moindre mal » avec sa propre formation ? Bref, y aura-t-il réorientation de Syriza ou rupture ? Et dans ce cas, que pèsera le parti favorable au Grexit ?

Et si Alexis Tsipras tenait encore Syriza ?

Il ne faut cependant pas exclure la possibilité qu'Alexis Tsipras tienne encore son parti et qu'il parvienne à faire accepter la poursuite de la situation actuelle en avançant les arguments cités plus haut. Un autre argument peut venir servir les intérêts du premier ministre et il a été avancé par le porte-parole de Syriza, Nikos Filis, mercredi : il a prévenu qu'en cas de chute du gouvernement, il sera difficile d'avoir encore dans l'avenir un gouvernement de gauche en Grèce. Or, Alexis Tsipras reste très populaire en Grèce et est auréolé aux yeux de beaucoup par le prestige d'une résistance de six mois, aussi vaine fût-elle. Bref, seul une Syriza menée par Alexis Tsipras pourrait maintenir la gauche au pouvoir, défendront les partisans du premier ministre. Une Syriza pro-Grexit ou divisée ramènerait au pouvoir les partis du centre et de droite. Mais, dans le cas où la ligne Tsipras l'emporte, la minorité pro-Grexit fera-t-elle sécession ? Rien n'est sûr, mais elle sera sans doute en danger, car Alexis Tsipras constituera alors sans doute une liste de députés plus « conformes » à sa ligne. Le premier ministre pourrait aussi s'engager à explorer le Grexit si le mémorandum se durcit ou en cas de désaccord avec la troïka. Bref, on n'y voit encore peu clair.

Quel impact de l'accord sur le reste du paysage politique grec ?

Un scrutin à l'automne permettra aussi d'évaluer l'impact politique du coup de force des créanciers. Les partis favorables à la rupture comme le parti communiste (KKE) ou les néo-nazis d'Aube Dorée seront-ils les grands gagnants de ce scrutin ? Les partis de centre et de droite, reçus en grande pompe à Bruxelles, bénéficieront-ils de ce soutien ? Fusionneront-ils pour peser plus lourd face à Syriza et obtenir le « bonus » de 50 députés offerts à la formation arrivée en tête ? C'est peu probable, mais ce seront les autres inconnues de l'élection. Mais il n'est en rien évident que la situation politique de la Grèce soit plus claire et plus gérable à l'issue du scrutin. Si un gouvernement est finalement impossible à constituer, le pays entrera dans une nouvelle phase de conflit avec ses créanciers. Mais dans ce cas, ces derniers auront en grande partie récolté ce qu'ils auront semés avec tant d'abnégation pendant six mois. En détruisant systématiquement une option alternative modérée par des exigences économiquement absurdes, ils ont créé les conditions d'un chaos politique.

Commentaires 113
à écrit le 19/07/2015 à 22:01
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A en croire Jacques Sapir, faire repartir les banques et l’économie pourrait couter bien plus cher que 80 millions d’euros (Sapir parle de 150 milliards d’euros). Il faudra que la confiance revienne pour que les affaires reprennent ce qui prendra des...

à écrit le 18/07/2015 à 9:37
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Il faut arrêter avec cette histoire d'ambiguité de TSIPRAS . Ce brave gars dont le courage est indéniable n'a pas eu vraiment le choix . Avant de s'épancher sur la position du gouvernement GREC , reconnaissons d'abord le fait premier : L'Europe de Ma...

à écrit le 18/07/2015 à 8:48
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..." au bord du chaos ..." comme vous y allez , mr Godin ... réformes votées ...à 76 % des députés ,par la Vouli ...( et aussi à 78 % par Syriza ).. et tous c'a , avec dse sondages donnants 70 % de satisfaits en Grece ... celà me semble plustot tr...

à écrit le 18/07/2015 à 3:54
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Je pense que Tsipras évolue rapidement et qu'il surprendra favorablement. je m'explique,. Tout d'abord sous la pression des derniers mois, Tsipras de leader syndicaliste révolutionnaire se mue de plus en plus en chef d'Etat. Je pense que le chaos des...

le 18/07/2015 à 10:38
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Vous oubliez une chose essentielle dans votre analyse: en niant une fois de plus le "non " au référendum GREC , l'Europe (celle de Maastricht) a confirmé, une fois encore ,mais cette fois de la façon la plus intolérable et ignoble possible le fait qu...

le 18/07/2015 à 11:58
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La fumette, ça va ? Ah non, sans doute encore quelqu'un qui carbure au bon vieux déni, ça fait le même effet !!!

à écrit le 18/07/2015 à 1:53
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Tsipras est un veritable animal politique, qui a pris goût au devant de la scène. par ailleurs face à lui c'est le vide politique, personne pour l'affronter. Enfin biberonne aux idéaux marxistes, il a ce côté autocratique, et je suis certain qu'il n...

à écrit le 17/07/2015 à 20:37
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Une fois de plus Romaric, vous vous êtes trompé. Il n'y aura pas de nouvelles élections mais un remaniement pour écarter ceux qui refusent de se coucher et de tourner leur chemise. Votre soumission à Syriza vous empêche de voir la réalité. Je me dema...

le 18/07/2015 à 8:51
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bien d'accord avec vous ...; et il va finir par se faire saquer ( Godin ) car son entetement doit faire perdre de l'audience .

le 18/07/2015 à 13:18
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Votre soumission à Syriza ? Qui peut prévoir ce qui va advenir ? L'Europe est en pleine tempête ! Qui pourrait en être étonné devant ces dénis de démocratie qui se succédent avec une force sans cesse grandissante ? Les espoirs comme les dangers les...

le 18/07/2015 à 18:58
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@jojoduchato :"" l'Europe est en pleine tempete " ah oui ??? et depuis quand ? vous voulez peut etre parler des Anglais ? mais : auraient ils dus en faire partie ? quand aux autres , vous qui etes un defenseur de la démocratie ( ce qui vous honore...

le 19/07/2015 à 0:55
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A gegemalaga ! Parce que l'Europe n'a pas nié le résultat du référendum GREC peut-être ? Et d e la façon la plus ignoble qui soit ! Et encore, faut sans doute bien relativiser le pourcentage de "non" qui aurait, sans doute, été nettement plus él...

à écrit le 17/07/2015 à 19:35
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Une Communauté comme celle de la zone euro requérant une solidarité financière entre ses membres, les plus forts devant aider les plus faibles à traverser de mauvaises passes temporaires et accidentelles, bien d'accord! Mais une fois, qu'un membre, ...

le 18/07/2015 à 14:20
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Il me semble que vous avez "quelques" lacunes sur la situation concréte de la Gréce. Puis-je vous suggérer quelques références pour vous aider à y voir plus clair ? 1) le site okeanews.fr 2) Comité d'annulation de la dette du tiers monde :htt...

à écrit le 17/07/2015 à 19:29
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Encore un excellent article de Romaric Godin, bien documenté, qui nous permet d'y voir clair. Bravo! Tsipras me fait de plus en plus penser à Gorbatchev qui voulait changer l'Empire de l'intérieur et Varoufakis l'équivalent de Boris Eltsine lui aussi...

le 17/07/2015 à 19:47
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De plus en plus je comprends comment certaines personnes peuvent se faire entraîner dans des sectes ou des extrémites devant de tels commentaires

le 18/07/2015 à 8:55
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@ Nantes44 : c'a doit etre sa petite amie ... en tout cas , pour le moins , une groupie ... mais , comme vous dites : les sectes ont du bon temps devant elles !

à écrit le 17/07/2015 à 18:24
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On ne comprend rien à l'attitude de Tsipras si on ne connaît ni l'histoire grecque dans le temps long, ni l'Orient. Tsipras fait le dos rond dans l'intérêt de la nation grecque, comme le firent les dirigeants hellènes devant la conquête romaine, deva...

le 17/07/2015 à 19:32
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Excellent... je souhaite que vous ayez raison...

le 18/07/2015 à 9:00
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ah bon , donc , c'a vient bien ...des Pheniniens ...! ( en tous cas , vous avez ravi Rosetta ).

à écrit le 17/07/2015 à 17:25
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Entre-temps, des changements impressionnants ont lieu dans la société grecque. Mon cas n'est pas isolé. Militant écologiste et de gauche (eurocommuniste), depuis 35 ans, je me sentais depuis toujours Grec et Européen, aussi Grec qu' Européen....

le 17/07/2015 à 20:42
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Pourtant, en tant que communiste, vous êtes parfaitement à votre place dans l'ue de 2015. Système a-démocratique, tyrannie financière, vols bancaires, non respect des urnes, renseignements sur ses propres populations... Oui, vous devriez vraiment êtr...

le 17/07/2015 à 20:42
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Pourtant, en tant que communiste, vous êtes parfaitement à votre place dans l'ue de 2015. Système a-démocratique, tyrannie financière, vols bancaires, non respect des urnes, renseignements sur ses propres populations... Oui, vous devriez vraiment êtr...

le 18/07/2015 à 0:52
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@lapinbleu : côté compréhension de texte, vous vous révélez vraiment médiocre. Première règle pour bien commenter un texte : le lire avec attention, de préférence du début à la fin. Vous avez sauté les 2 premières syllabes d'un mot ayant une importan...

à écrit le 17/07/2015 à 15:41
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Que Tsipras croie ou pas au plan n'est pas la question. Le principal (même s'il a raison de ne pas y croire, puisque les mêmes causes vont produire les mêmes effets) est qu'il le fasse appliquer. Comme on le lui demande. Avec, sans ou contre ses ami...

à écrit le 17/07/2015 à 14:08
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Il est essentiel qu'il y ait un gouvernement qui mette en pratique les lois votées afin que le pays, pour le moins, puisse "flotter". La composition du parlement est un problème grec, peu importe les arrangements pourvu que les textes nécessaires à u...

le 19/07/2015 à 0:34
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Et la je suppose que l'on chante l'hymne Grec ? Vous devriez consulter le site okeanews.fr et celui du CADTM avant de vous engager plus avant ! Je pense qu'il y a pas mal de choses qui vous ont échappé sur la situation de la Gréce et les gens q...

à écrit le 17/07/2015 à 13:37
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Les socialistes viennent de valider en masse un plan d'ultra austérité. Cette fois, vu ce que Hollande a osé imposer aux Grecs, le PS ne pourra plus jamais être contre des mesures ultra-libérales en France. Même les frondeurs ont approuvé l'accord ! ...

le 17/07/2015 à 14:33
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Raquel Garrido lors de l'émission des grandes gueules: "Si Tsipras avait le couteau sous la gorge, Merkel tenait le couteau et Hollande surveillait la porte." Raquel Garrido est dans la vie l'épouse de Alexis Corbière, le bras droit de Jean-Luc ...

le 17/07/2015 à 17:36
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Mais, lors de ces privatisations massives, il restera aussi quelques miettes pour les entreprises francaises. Naturellement, l'Allemagne, le grand vainqueur, aura les véritables joyaux de la richesse nationale grecque (par exemple les 42 aéroports, l...

le 19/07/2015 à 9:36
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C'est malheureusement la terrible réalité ! En d'autres circonstances , c'est à dire avec une politique offensive de la France pour infléchir les politiques Européennes ( c'est bien de rêver!) ont aurait pu trouver des excuses à ce vote . On aurait p...

à écrit le 17/07/2015 à 12:05
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On se demande bien à quoi sert encore la classe politique grecque, qui n'a plus la main sur le destin de la Grèce: la logique (et les économies..) voudrait qu'elle soit remplacée par un groupe nommé par la "troïka"..il est vrai qu'il vaut mieux que l...

le 17/07/2015 à 12:42
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Et moi je me demande à quoi sert la classe politique tout court. Croyez-vous que F. Hollande ait encore la main sur le destin de la France ?

le 17/07/2015 à 13:04
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Vos avez aison. Dans le même ordre d'idées on se demande ecore à quoi sert Hollande alors qu'avec ses discours qui n'engagent à rien, jouant sur tous les tableaux par peur de prendre une posiiton claire (surtout si, dans le concret, cette position fr...

le 17/07/2015 à 14:17
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L'Allemagne a perdu des guerres mais aussi celles provoquées par la France républicaine, @Réponse de à Bili Hari, Napoléon n'a rien fait de bien et 1870 fut un chaos, ce n'est pas un argument. Il est quand même heureux si l'on peut dire que les guerr...

à écrit le 17/07/2015 à 10:08
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Écrit avec la main de Besancenot ??

le 17/07/2015 à 13:10
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Non, avec celle de l'intelligence. Mais je vous accorde qu'il n'est manifesement pas donné à tout le monde de le comprendre et d'avoir l'élémentaire honnêteté de l'appréciér. Il est vrai que quand on vit depuis des années aux crochets des Grecs ...

le 17/07/2015 à 14:50
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En tout cas, en ayant oublié pas mal de règles de grammaire et d'orthographe... ça fait mal aux yeux...

à écrit le 17/07/2015 à 8:57
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il faut arrêter cette complaisance !!!!! On ne peut pas toujours aider un pote qui ne veut pas ! Il faut savoir le laisser sur le bord de la route dans l'intérêt du groupe ......

le 17/07/2015 à 10:03
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ça donne envie d'être pote avec vous...

à écrit le 17/07/2015 à 8:35
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La Grèce va inexorablement dans le mur. Accepter un tel plan de l'Eurogroupe et n'avoir aucune certitude sur (au minimum) la restructuration de la dette, c(est du suicide collectif. A moins que la partie ne continue et que la Grèce sorte d'ici quelqu...

le 17/07/2015 à 10:54
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restructuration il y aura. C'est dit par plusieurs Etats, ca fait partie du texte du Conseil de la zone Euro, et l'UE demande au FMI de se re-impliquer en 2016... ce qui necessite une restructuration (le FMI ne peut plus s'engager sans restructuratio...

le 17/07/2015 à 17:52
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Ce n''etait pas vraiment difficile de comprendre que, depuis 5 ans, la Grèce est le cobaye de la grande expérience néolibérale qui sera par la suite étendue dans l'ensemble de l'UE. Votre tour arrive en galopant.

à écrit le 17/07/2015 à 7:36
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Méfions nous des analyses à chaud de la problématique grecque. Le dossier est loin d'être clos car s'il y a renégociation de la dette comme cela semble maintenant acquis, Tsipras retrouvera quelques marges pour redresser la situation économique, soci...

le 18/07/2015 à 10:26
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Le probléme c'est que les réformes économiques et sociales sont dictées à la virgule prés et au centime prés par les Eurocrates . Nulle marge de manoeuvre efficiente pour les gouvernements Grecs ou autres ! On sait que les mesures qui vont continuer ...

à écrit le 17/07/2015 à 0:26
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Il faut se méfier des analyses savantes et complexes s'agissant de la Grèce, bien que l'évolution de la situation depuis quinze jours soit porteuse de bien des contradictions et de confusion d'un coté comme de l'autre. Tsipras a théoriquement perdu s...

à écrit le 17/07/2015 à 0:23
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D'articles en articles contradictoires sur la stratégie politique de Tsipras, Romaric Godin a finalement chopé un sérieux mal de tête. Il est au bord du KO journalistique.

le 17/07/2015 à 12:10
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Vous êtes sévère avec notre Romaric: n'a-t-il pas, récemment déclaré, je crois sur le plateau de "C dans l'air", lier son destin à la Tribune, à celui de Tsipras dans le gouvernement (en est-ce encore un?) grec? :)

à écrit le 16/07/2015 à 23:59
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Les créanciers sont des méchants OK mais les fonctionnaires grecs sont des égoistes vis à vis des autres grecs ,ils devraient montrer l'exemple et faire preuve d'abnégation dans un pays qui souffre ,d'abords leurs petits avantages avant la patrie et...

le 19/07/2015 à 15:42
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et allez! encore une petite tirade contre les fonctionnaires planqués! ha! pensée unique quand tu nous tiens !

à écrit le 16/07/2015 à 23:54
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sur l'accord de début de semaine , combat de poker entre la Grèce et l'Allemagne il est très intéressant de constater deux éléments qui ont été essentiels dans la discussion 1) L'Allemagne était prête au Grexit théorie inverse de ce qu'avaitdit Va...

à écrit le 16/07/2015 à 23:51
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Mr Godin raisonne à la Française ,un grec raisonne à l'orientale plutôt comme un jésuite donc quelque chose peut être à la fois blanc et noir et pas gris et donc la raisonnement linéaire de Mr Godin en droite ligne de Descartes ne s'applique pas à At...

le 17/07/2015 à 20:19
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"…en droite ligne de Descartes ne s'applique pas à Athènes ." Alors il faut que vous appliquez le dessous Descartes !

à écrit le 16/07/2015 à 23:43
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Il faut le vouloir quand on veut s'en sortir , alors on trouve les solutions , ce n'est pas plus compliqué que ça

à écrit le 16/07/2015 à 23:00
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Voilà ce qui arrive lorsqu'on trompe le peuple pour se faire élire. Le goudron et les plumes ne sont pas loin.

à écrit le 16/07/2015 à 22:59
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Si la dépense publique, les déficits publics et sociaux à vau l'eau étaient la solution pour une économie robuste et en croissance la France serait la première puissance économique du monde. Si une politique d'austérité peut être récessive au début,...

le 17/07/2015 à 4:04
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Rien a ajouter, si ce n'est que nous pouvons allonger la liste des pays qui ont fait austerité + reformes et s'en sont sortis (suede, espagne, irlande, portugal, pays baltes, pologne, etc...) et la liste des pats qui ne reforment pas et qui s'enfonce...

le 17/07/2015 à 11:34
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L'austérité ça n'est pas augmenter la TVA sur les produits alimentaires et réduire une population a la famine sauf les insiders clientélistesCe n'est pas non plus augmenter les impots des entreprises.L'austérité c'est dégager ceux qui ne foutent rien...

le 17/07/2015 à 14:03
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@grouik : la TVA c'est une réponse de court terme pour faire rentrer vite un peu d'argent. Evidemment ce n'est efficace que s'il n'y a pas trop de fraude à la TVA... ce qu semble aussi être hélas une spécialité grecque. Il est bien clair qu'une réfor...

à écrit le 16/07/2015 à 22:27
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Ce qui ressort de cet article de Romaric Godin, c'est que la gestion politique et économique extrémiste du gouvernement grec a conduit la Grèce au bord du chaos. Il y a une limite à mettre toujours la faute sur les autres. La prochaine étape, c'est ...

le 16/07/2015 à 23:22
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"à mettre toujours la faute sur les autres" ... "gestion calamiteuse de Tsipras et de son parti Syriza." Joli.. : magnifique contradiction. Cette situation est logique vu la "solidarité" européenne. Les anglo-saxons ont bien manoeuvré en divisant pou...

le 17/07/2015 à 12:24
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@Yvan: . Aux Etats unis, lorsqu'un Etat fait faillite, l'Etat Fédéral ne vient pas se porter caution. On peut vouloir un systeme féderalisé ou une solidarité existe, mais la solidarité ne saurait consister a financer sans droit de regard sur les dépe...

à écrit le 16/07/2015 à 22:17
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Le probléme est que non seulement on a un retour des politiques d'austérité dont des gens comme Stiglitz disent quelles sont contre-productive (il confirme la réalité !)mais ce qui est grave aussi c'est que l'on reprend les solutions économiques des...

le 17/07/2015 à 12:26
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Krugman n'a pas completement tort...mais lui ne comprend rien non plus aux dynamiques politiques européennes. Il n'et donc clairement pas le mieux placé pour parler de l'Europe (lui le grand visionaire qui prédisait que l'Europe Centrale ne rejoindra...

à écrit le 16/07/2015 à 20:59
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La "dette" c'est le capital. Ne pas la rembourser c'est faire la révolution. Mais il y a encore en Grèce des classes sociales qui ont intérêt à faire perdurer le système. C'est pour cela qu'il ne se passera rien. La dette sera simplement étalée dan...

le 16/07/2015 à 23:17
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"des classes sociales qui ont intérêt à faire perdurer le système" Celles qui ont évidemment plus de cent millions. Sinon, lesquelles..??

le 17/07/2015 à 15:29
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On ne rembourse pas la dette et les donateurs s'en vont. On mange quoi le lendemain en Grèce ? Les pierres du Parthénon ? Que vous etes stupide ! Mon fils de dix ans trouvait déjà (avant le réferendum) que Tsipras et Varoufakis n'étaient pas très int...

à écrit le 16/07/2015 à 20:49
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Merci pour cet éclairage. Pourquoi les créanciers seraient-ils contre le gouvernement Tsipras ? Après toute cette "tragédie", il faut convenir que la Grèce a quand même obtenu un soutien financier non négligeable, ce qui est un gage de confiance. ...

à écrit le 16/07/2015 à 19:39
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Merci Mr Godin pour vos analyses, c'est la seule source d'information avec laquelle je me sens en phase (avec le Guardian). Les commentaires de certains lecteurs sont pitoyables, tellement ils refusent la démocratie lorsqu'elle ne va pas dans leur se...

le 16/07/2015 à 22:14
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L'argent donné aux banques ... inexact il a été prêté et remboursé avec intérêt. La référence à la fraude fiscale me fait penser que vous êtes pour l'amnistie comme pour la Grèce. Trichez, volez vous ne serez pas inquiété ?

le 16/07/2015 à 22:43
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@Vert de Rage. Votre voisin Mr M vit à crédit depuis des années, mais trouve des combines pour échapper à ses banquiers et continue de dépenser toujours plus à crédit (son dernier coup : payer un voyage à sa belle mère qui est juste retraitée coiff...

le 16/07/2015 à 23:47
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Entièrement d'accord avec vous sur l'ensemble. Les réponses à votre commentaire sont encore la preuve, s'il en fallait, de la totale absence de réflexion de certains. Comparer un état et un ménage familial ....quelle misère intellectuelle. Ne doutons...

le 17/07/2015 à 8:03
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@Francoisdes. Heureusement que Peaudane et moi avant un minimum de réflexion. Les lecteurs jugeront ou est la malhonnêteté intellectuelle.

le 17/07/2015 à 15:38
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@Nantes44 : Ne vous fatiguez pas d'avantage, j'espère que vous commencer à comprendre Mme Lagarde quand elle a réclamé "Adults in the room" pour discuter sur le cas grec.

à écrit le 16/07/2015 à 19:30
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Syriza, comme le Front National, sont des parties leurres pour occuper les peuples pendant que d'autres instaurent la dictature!

le 16/07/2015 à 22:16
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C'est une erreur d'analyse de l'UPR (avec lequel je partage pourtant la plupart des analyses). Une chose est de dire que Syriza (ou le Front de Gauche, Podemos etc) est un parti qui ne désire pas sortir de l'Euro et encore moins de l'UE (essentielle...

à écrit le 16/07/2015 à 18:54
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M Godin J'ai lu le Monde pendant des années pour être informée mais c'est fini depuis un certain temps. Ce journal représentait pour moi la clairvoyance maintenant il représente pour moi le dégoût. Mais jamais je n'aurai pensé lire la Tribune pour êt...

le 16/07/2015 à 20:14
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Oui tout à fait moi aussi je fais le même constat concernant Le Monde et La Tribune. C'est ainsi... M. Godin vous faites depuis déjà plusieurs mois un travail remarquable, loin de toute idéologie, avec le soucis de dire la vérité, d'expliquer et d'é...

le 16/07/2015 à 23:09
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Gaudin n est pas tout à fait un journaliste plutôt un essayiste. Son argumentation est dirigée. Pour avoir des informations objectives mefiez vous. Par contre il faut reconnaître qu il ouvre un débat nourri et pour cela bravo à la tribune.

à écrit le 16/07/2015 à 18:54
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L'absurdité vient de Syriza : 5 mois de non négociation et de non réformes. La prouesse de constituer un front de 18 pays contre soi. La destruction de la confiance qui conduit à un plan de surveillance contre les 80 milliards que les contribuables e...

le 16/07/2015 à 21:19
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Vous n'avez manifestement pas bien suivi le déroulement de la crise. Il a été montré très clairement que l'eurogroup mené par Schaüble n'avait qu'un seul but: le grexit. A défaut, un troisième sauvetage était acceptable à condition qu'il soit profon...

le 16/07/2015 à 22:46
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Il est de plus en plus clair que l'argent envoyé en Grèce toutes ces années est allé , pour l'essentiel, aux banques , à la finance en général . Il a servi princpalement à payer les intérêts des emprunts (essentiel cela ! ) . Et que dire du renfloue...

le 17/07/2015 à 12:37
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@Sola31: l'Eurogroupe n'est pas une entité homogène. A l'intérieur vous avez:1/ des pays qui ne veulent plus preter un centime a la Grece et qui ont deja accepté qu'il ne reverrait pas tout leur argent et ne veule juste pas accroitre leur perte 2/ d...

à écrit le 16/07/2015 à 18:48
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"Du coup, la position du gouvernement Tsipras est très ambiguë. Un pied dans le mémorandum, un pied en dehors." Il n'y aucune ambiguïté pour moi, ce gouvernement a trahi son peuple purement et simplement et ce n'est pas en lui trouvant des justifi...

à écrit le 16/07/2015 à 18:19
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Opinion dans Die Welt, le quotidien des conservateurs allemands. A méditer.. http://www.welt.de/wirtschaft/article144074601/Fuer-Europa-gibt-es-erstmal-keinen-besseren-Partner-als-Tsipras.html

le 16/07/2015 à 22:48
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Intox pour vendre à ces vieux lecteurs ce plan délirant et voué à l'échec.

à écrit le 16/07/2015 à 18:19
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Bravo Monsieur Godin pour cet article! Cependant, on ne peut pas voter contre ces mesures d'austerite et rester dans ce gouvernment ou rester Presidente du Parlement. Je pense a Monsieur Lafazánis et a Madame Konstantopoulou. La coherance voudrai...

à écrit le 16/07/2015 à 18:18
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Les prédictions passées de R.Godin s'étant révélées totalement fausses, on peut s'attendre à ce que ses nouvelles analyzes le soient autant.

à écrit le 16/07/2015 à 18:18
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Yanis Varoufakis, l'ancien ministre des Finances, encore très populaire, pourrait être son nouveau leader. C'est du grand n'importe quoi, et pourquoi pas ne dire que Lafazanis est 'babacool' ! Varoufakis a une politque identique a celle que voudra...

à écrit le 16/07/2015 à 18:16
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Il y' a des choses dont on entend pas parler ... telles que les bases de l'OTAN en Grèce, les ronds de jambes de TSYPRAS devant Vladimir ... ont dus inquiéter les américains dans l'histoire... quant au plan financier, il...

le 17/07/2015 à 12:41
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La BCE a lancé un QE de grande ampleur au cas ou vous seriez pas au courant. Mais ceci dit c'est toujours drole de voir les gens tres serieusement appeler pour qu'il ya it plus d'inflation et en meme temps hurler parce que leur pouvoir d'achat se f...

à écrit le 16/07/2015 à 18:14
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Cher Monsieur, je vous remercie pour vos analyses ,(et vos synthèses)! , concernant la GRECE. Je suis très attaché au principe d'honneteté, et je prends vos textes comme une référence. merci encore . C.G.

à écrit le 16/07/2015 à 17:33
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Vivement le Grexit...

à écrit le 16/07/2015 à 17:30
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Franchement, il est bon ce Romaric Godin.

le 16/07/2015 à 19:37
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Oui, il est prêt à toutes les circonvolutions mentales pour soutenir Tsipras, même quand ce dernier se dédit totalement. Un vrai fan ! Mais très intéressant article effectivement, dans lequel il nous explique que pour rester au pouvoir les marxis...

à écrit le 16/07/2015 à 17:29
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elle est belle la démocratie greque. Avec 11.000.000 Grecs 300 députés à comparer avec la France 66.000.000 550 députés hé hé

le 16/07/2015 à 18:04
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Haroun, ils n'ont qu'une chambre basse (la vouli), nous en France, on a un système bicaméral (Sénat + assemblée nationale qui comptent 348 sénateurs et 577 députés)...sans compter les attachés parlementaires et autres fonctionnaires associés.. ...

le 16/07/2015 à 18:30
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Si pour vous même la démocratie coute trop cher...

le 16/07/2015 à 18:33
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" la Chambre des représentants (United States House of Representatives), la chambre basse, composée de 435 représentants. Ces 535 membres sont élus au suffrage universel direct. Les élections ont lieu lors de l'Election Day, le mardi suivant le...

le 17/07/2015 à 9:11
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Le pluralisme des opinions est une bonne chose pour le bon fonctinonnement de la gouvernance démocratique tout comme un ratio representatif bas (1 élu par nombre x de citoyen). J'en veux l'exemple de nos voisins suisses qui en moyenne un élu pour 150...

à écrit le 16/07/2015 à 17:29
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Un chaos politique ne serait pas pour déplaire la Troïka, elle pourrait ainsi mettre en avant qu'un gouvernement de gauche n'est pas viable et installer des technocrates bruxellois, ce dont Schaüble rêve depuis un certain temps, puisque pour lui la...

à écrit le 16/07/2015 à 17:26
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Ils ne veulent pas des demandes des créanciers mais ne peuvent pas vivre sans l'argent de l'Europe. Une annulation de la dette ne sert à rien tant qu'ils ne peuvent pas payer leurs dépenses courantes (et assurer la liquidité de leur système bancaire)...

le 16/07/2015 à 17:40
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La Grèce est en excédent primaire. A l'heure actuelle, c'est le poids insoutenable de la dette qui l'empêche de sortir la tête de l'eau. Donc votre remarque n'a pas lieu d'être.

le 16/07/2015 à 18:00
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Ahhhh la bonne blague de l'excédent primaire... Tenez, un article de votre idole le Godin : http://www.latribune.fr/actualites/economie/union-europeenne/20140424trib000826772/comment-bruxelles-a-cree-l-illusion-de-l-excedent-primaire-grec.html ...

le 17/07/2015 à 12:43
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@Bobbygre: NON. La Grece ETAIT en excendent primaire sur la deuxieme moitié de 2014. Depuis le debut de l'année, elle est DE NOUVEAU en déficit primaire.

le 17/07/2015 à 12:47
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@Etienne: creusez un peu plus le sujet et vous verrez qu'il ya eu un modeste excedent primaire sur la deuxieme moitié de 2014...lequel a disparu sur les premiers mois de 2015 (du fait de rentrée fiscale en baisse sur la taxe fonciere dont Syriza avai...

à écrit le 16/07/2015 à 17:25
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" Mais dans ce cas, ces derniers auront en grande partie récolté ce qu'ils auront semés avec tant d'abnégation pendant six mois. En détruisant systématiquement une option alternative modérée par des exigences économiquement absurdes, ils ont créé les...

le 16/07/2015 à 17:49
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Votre prophète Gaudin vous aveugle. C'est le gouvernement grec qui a détruit toute option alternative en mettant une ligne rouge et en refusant toute evolution de la société grecque pourtant évidente (retraite et tva). Il accepte mais dans la doule...

à écrit le 16/07/2015 à 17:23
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Il faut que l'UE (et/ou les USA) fasse une petite intervention en Grèce pour forcer un changement de régime et faire élire (attention, l'expression "faire élire" en dit long) des dirigeants pro-Europe et pro-OTAN et imposer l'austérité, bien entendu....

le 16/07/2015 à 17:52
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Que reviennent les colonels... ou alors l'armée allemande!

le 16/07/2015 à 18:09
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La réalité est différente, mon cher collègue, il en va de soi: 1/Certains gouvernements créditeurs ne veulent PAS preter un seul centime de plus, soutenu en cela par leur opinion publique. 2/ La plupart des gouvernements des pays créditeurs n'ont...

le 16/07/2015 à 18:22
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bonjour, pour savoir ce qui est intéressant ,ou non, il me semble qu'il faut y réfléchir à 2 fois! Pour moi, ce qu'il se passe en GRECE depuis le début de 2015, et meme avant, est passionant; il est question de Démocratie , avec un grand D !!! Cela e...

à écrit le 16/07/2015 à 17:11
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Comme toujours analyse impeccable...Merci Romaric.

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