Grèce : la vraie nature du troisième mémorandum

Le nouveau "plan d'aide" endettera encore davantage la Grèce sans lui permettre de réellement sortir de l'ornière. Il n'a pour fonction que de "couvrir" les non-dits sur la dette des dirigeants européens.
Sans accord sur la dette, le "plan d'aide" est voué à l'échec.

Le rapport du FMI sur la viabilité de la dette grecque a été perçu comme un « soutien » aux demandes de restructuration d'Alexis Tsipras. Mais son mérite n'est pas là. Il met au jour avec une clarté bienvenue le nœud des six derniers mois de négociations, et pourquoi, au final, ces dernières se sont achevées par une reddition de la Grèce. Ce que le FMI répète (il en est convaincu depuis longtemps), c'est que sans travail sérieux sur le poids de l'endettement public grec, aucun accord n'est réellement raisonnable. Or, quoi qu'on en dise ici ou là, rien ne laisse présager que Berlin accepte d'ouvrir sérieusement le dossier dans les prochains mois, bien au contraire. L'accord du 13 juillet sur la dette ressemble aux engagements pris en novembre 2012 : vagues et sans doute faits pour être oubliés rapidement.

Qui a bloqué ?

Dès lors, lorsque l'on revient sur le déroulé des négociations, on se rend compte que  les blocages ne sont jamais réellement venus de la Grèce ou du FMI, qui demandaient précisément un accord global intégrant ce travail. Le blocage est venu des seuls partenaires qui refusaient toute discussion sur le stock de dettes grecques : les pays de la zone euro. Ce sont eux qui ont contraint le FMI à durcir sa position en exigeant davantage de garanties pour rembourser une dette délirante et, ainsi, à rejeter la proposition grecque du 22 juin, conduisant Alexis Tsipras à convoquer un référendum. Ce sont eux qui ont amené les Grecs à refuser des « réformes » stériles tant que le poids de la dette était aussi lourd. Autrement dit, à refuser une spirale du surendettement qu'ils ont finalement réussi à imposer.

La morale pour couvrir un montage de Ponzi

Les gouvernements de la zone euro, en se cachant derrière des arguments moraux qui ne soutiennent pas l'examen historique et économique (« il faut payer ses dettes »), ont ainsi imposé un nouveau tour de cavalerie financière : la Grèce s'endettera donc auprès du MES (Mécanisme européen de stabilité) pour rembourser les dettes dues à « sa » banque centrale et au FMI. Avec le rapport du FMI, c'est donc l'absurdité du nouveau « plan d'aide » à la Grèce qui éclate au grand jour. Nul besoin de s'interroger longtemps pour le comprendre : ce troisième plan ressemble furieusement aux deux précédents : faire financer ce montage à la Ponzi par des mesures d'austérité qui garantissent avec certitude l'augmentation du poids de la dette grecque et l'incapacité future de rembourser cette dette. Immanquablement, il faudra proposer un quatrième plan qui augurera d'un cinquième...

Pourquoi le poids de la dette a augmenté

On l'a souvent oublié sous la montagne de propos moralisateurs qui se sont déversés sur ce débat, mais le problème de la dette grecque, ce n'est pas son stock nominal qui a reculé depuis 2011, notamment après la restructuration de la dette privée en 2011 (le « PSI »), c'est son rapport à la richesse nationale grecque qui s'est effondré plus rapidement. Les créanciers estiment que cette baisse s'explique par un « manque de réformes. » C'est une position intenable au regard de la trajectoire des finances publiques grecques qui se sont redressées très rapidement, le pays dégageant même un excédent primaire structurel record. La réalité, c'est que ce sont ces « réformes » (en réalité des coupes aveugles) qui ont réduit le PIB et rendu insoutenable la dette. Une preuve suffira : toutes les projections d'impact de la consolidation budgétaire sur la croissance depuis 2010 ont été des erreurs grossières. Bref, c'est la logique à l'œuvre en zone euro qui a échoué. Raison de plus, pour les dirigeants européens, de la poursuivre en l'intensifiant.

Un plan voué à l'échec

Le nouveau plan échouera donc comme les autres puisqu'on se refuse à tirer les leçons du passé. C'est, pour le moment, la seule certitude dont on dispose. La volonté des créanciers de tenir en laisse le gouvernement grec en laissant les banques fermées jusqu'à la signature d'un accord et, sans doute, en laissant le financement de ses banques sous perfusion jusqu'à la réalisation des réformes, va continuer à peser sur le PIB et à maintenir les investissements et les dépenses non essentielles à l'état de projets. Dans un pays ravagé comme la Grèce, ces retards ne sont pas anodins, ils mettent en péril la croissance future. Viendra ensuite la mise en place des mesures d'austérité dans un pays où la demande intérieure est déjà comprimée, ce qui pèsera lourd sur la croissance. La Grèce, l'expérience l'a montré, affiche des multiplicateurs budgétaires importants. Certes, il y aura les 35 milliards d'euros promis par la Commission. Mais n'oublions pas que ces sommes sont en réalité dues à la Grèce. Ce n'est pas une aide, c'est une régularisation. Le poids de la dette va donc encore augmenter. Le FMI prévoit un « pic » pour cet endettement à 200 % du PIB, sachant que toutes ses prévisions passées étaient beaucoup trop... optimistes.

Un « fonds » de privatisation absurde

Sans parler évidemment de ce fameux « fonds » financé par le produit des privatisations que l'on estime à 50 milliards d'euros. Ce chiffre n'est basé sur aucune réalité. Longtemps, le gouvernement grec a demandé à ce que les privatisations soient mieux réalisées, en prenant en compte la valeur réelle des actifs vendus. On a crié au scandale, au manque de volonté. On a demandé d'aller vite. Mais dans un pays à l'économie en lambeaux comme la Grèce, obtenir rapidement des recettes élevées de la privatisation d'actifs ravagés par l'austérité budgétaire et disposant de faibles perspectives (en raison du poids de la dette) relève de l'impossible. Cela relève au mieux d'oeillères idéologiques, au pire d'une inconscience coupable. Entre 2010 et 2015, les privatisations grecques ont rapporté 5,4 milliards d'euros. Ce fonds ne sera donc pas alimenté, c'est un leurre. Mais, à coup sûr, on verra dans la non réalisation des objectifs une nouvelle preuve du manque de volonté hellénique et l'on demandera donc des coupes budgétaires supplémentaires pour compenser le manque à gagner...  Et cela permettra de ne pas évoquer la dette, puisque les Grecs "ne respectent pas les règles". Ce qu'on promet à la Grèce, ce sont, comme le titrait ce mercredi 15 juillet au matin le quotidien conservateur Ta Nea, des « années de plomb. » Le maintien du pays dans la zone euro se fera donc au prix fort.

L'objectif réel des créanciers : cacher leurs mensonges

Ce n'est donc pas la « Grèce » qui a été sauvée lundi 13 juillet, ce sont les non-dits des dirigeants européens qui, pour ne pas perdre la face, pour ne pas reconnaître devant leurs électeurs leurs erreurs, sont prêts à placer un pays de la zone euro dans une position sociale, économique et politique désastreuse. L'erreur d'Alexis Tsipras aura été de croire qu'il pouvait obtenir un « accord mutuellement favorable » comme il l'a martelé pendant cinq mois. L'objectif des créanciers n'étaient pas de trouver un tel accord, c'était de dissimuler leur choix d'avoir monté un monstre financier à partir de 2010 derrière un discours moral pour empêcher d'en assumer les conséquences logiques : le renoncement à une partie de la dette grecque. Irréalisme et populisme : ces deux critiques que l'on a tant appliquées à Alexis Tsipras auraient en réalité dû s'adresser aux créanciers.

Faire payer les générations futures

Les dirigeants de la zone euro sont comme ces « grands menteurs » qui se créent des vies parallèles et doivent en permanence ajouter de nouveaux mensonges aux anciens pour maintenir la cohérence d'une vie qui, au fil du temps, devient de plus en plus intenable. Ces affaires se terminent toujours mal, car le château de cartes finit par s'effondrer. Dans le cas grec, il faudra immanquablement, d'une façon ou d'une autre, en venir à l'annulation des dettes. Si les créanciers s'y refusent, les Grecs feront défaut unilatéralement. L'irresponsabilité des dirigeants de la zone euro éclatera alors au grand jour, car leurs « plans » continuels n'auront fait qu'augmenter la facture. En attendant, tout se passe comme si ces dirigeants ne poursuivaient qu'un seul but : faire porter la responsabilité de cet inévitable moment à leurs successeurs et le fardeau de ses conséquences aux générations futures. Voici où mèneront les leçons de morale de ces dirigeants inconscients.

Occasion perdue

Décidément, la zone euro a raté, durant ce premier semestre 2015, une occasion unique. Dès les premiers moments, Yanis Varoufakis, le ministre grec des Finances d'alors, a proclamé qu'il « ne voulait pas de l'argent des créanciers. » Son but était alors d'ouvrir un vrai débat sur la dette afin que la Grèce puisse rembourser ce qu'elle pouvait rembourser. On comprend alors mieux la haine qui l'a immédiatement entouré : il était celui qui voulait mettre à jour l'immense refoulé qu'il y a sur la dette, celui qu'il s'agit de cacher à tout prix. L'occasion d'en finir avec cette logique a été perdue. Les Grecs et tous les Européens le paieront, au final, très cher.

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Commentaires 156
à écrit le 21/08/2015 à 7:30
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Les analyses pertinentes, passionnantes, éclairantes de Mr Godin me manquent

à écrit le 21/07/2015 à 15:19
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"l'immense refoulé qu'il y a sur la dette, celui qu'il s'agit de cacher à tout prix." Mais de quoi parlez-vous donc, Romaric ?

à écrit le 19/07/2015 à 8:22
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Merveilleux Godin qui s'appuie essentiellement sur le généreux FMI...

à écrit le 17/07/2015 à 16:25
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Le Grexit serait une bonne chose pour la Grèce qui n'a rien à perdre; mais l'UE devra répondre de la fraude et des combines de ses politiques, ainsi que l' usurière G...... S... !!! Evidemment la Grèce est coupable d'avoir profité de la situat...

à écrit le 17/07/2015 à 9:16
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Vos articles sur la Grèce sont toujours brillants. Je rajouterai juste au mensonge de la Troïka ou de l'Eurogroupe, ses intérêts : privatiser la Grèce n'est pas négligeable. De nouveaux biens s'ouvrent à l'investissement juteux. Que la Grèce se sé...

à écrit le 17/07/2015 à 9:16
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Vos articles sur la Grèce sont toujours brillants. Je rajouterai juste au mensonge de la Troïka ou de l'Eurogroupe, ses intérêts : privatiser la Grèce n'est pas négligeable. De nouveaux biens s'ouvrent à l'investissement juteux. Que la Grèce se sé...

à écrit le 16/07/2015 à 22:38
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Ou en est le taux de recouvrement des impots en Grece !La position du FDG me fait doucement rigoler quand on voit que Tsipras n'attaque en rien les puissances d'argent en Grece .Elles rueraient dans les brancards si elle le faisait, mais on entend ri...

le 16/07/2015 à 23:54
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C'est bien un des problèmes structurels. Pour pouvoir faire rentrer l'impot, il faudrait une administration efficace. Elle est pléthorique (40% de fonctionnaires) mais assez peu efficiente. Pour les impots locaux, il faudrait déjà avoir un cadastr...

le 17/07/2015 à 9:47
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Le taux de recouvrement des impôts ... et bien figurez vous qu'il se porte tres bien, et se portait deja pas mal avant la crise, comme en témoigne les chiffres officiels de l'Europe : http://www.les-crises.fr/images/images-diverses/2012/taux-recet...

à écrit le 16/07/2015 à 19:59
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La Grece doit à chaque français 700 € ,2800€ pour un couple avec deux enfants .Effacer la dette des grecs c'est voler les français !L'auteur de l'article parle d'un excedent primaire ,ou est il passé ? C'est justement ce qui est demandé à la Grece ,d...

le 16/07/2015 à 22:36
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Je vous invite donc à placer votre argent sous votre matelas ou à le dépenser au jour le jour. On ne peut qu'être d'accord pour qu'un Etat grec se construise (ou un état européen avec toutes ses caractéristiques régaliennes) mais c'est une politique...

le 16/07/2015 à 22:53
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Bonne analyse. Je proposerai que les hommes politiques qui prennent les décision de dépenser le bien commun (i.e. notre argent) soient responsables en cas de problème sur leur biens propres (i.e. ils mettent leur maison en gage et doivent payer avec...

le 17/07/2015 à 15:17
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Selon le rapporteur de la Commission des finances du Sénat la France eétait déjà engagé pour 64,4 milliards avant le nouveau plan d'aide : Prêt bilatéral de 11,4 milliards d'euros accordé par la france à la Grèce en 2010-2011. Garanties de 29 mill...

le 17/07/2015 à 16:14
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Ce n'est pas exact, @quez,. Un état n'est pas à confondre avec un particulier. Les prêts d'état à état sont faits de création monétaire, elle rapporte peu, parfois très peu mais ne coûte rien. Cependant leur base est constituée de confiance et du r...

le 25/07/2015 à 0:05
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Voir le 17e point de l'article de Pascal Riché, publié dans le Nouvel Obs, "Que répondre à votre ami de droite qui vous bassine sur la Grèce ?": ... "17. Pourquoi les Français renonceraient-ils à 700 euros chacun, en cas d'annulation de la dette ...

à écrit le 16/07/2015 à 18:11
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Merci, encore une fois, à Romaric Godin qui est l'un des rares à analyser la crise grecque avec lucidité

à écrit le 16/07/2015 à 16:58
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merci monsieur Godin avec cet article tellement claivoyant et extremement documenté ce qui m'oucvre des horizons nouveaux sur la chose extremement compliquée sur la Grèce. Merci et encore merci. ^_^

à écrit le 16/07/2015 à 15:39
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La tabou de la valeur nominale de la dette n 'est rien d'autre que celui des frais financiers que les états versent aux banques: une gabelle que les états imposent aux peuples au bénéfice des rentiers.

le 16/07/2015 à 17:50
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Exactement!

à écrit le 16/07/2015 à 13:23
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Godin ne comprendra décidément jamais ce ui se passe rééllement ici. Si tout cela avait pour seul but de "cacher" aux opinions publiques ce que Godin décrit, alors j'ai un scoop pour lui: c'est raté et depuis des années. Si c'etait vraiment le but, ...

le 16/07/2015 à 17:11
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Parce que vous, vous avez tout compris? Permettez moi de rire, jaune hélas! http://www.liberation.fr/monde/2015/07/15/joseph-stiglitz-l-allemagne-n-a-ni-bon-sens-economique-ni-compassion_1348536?xtor=EPR-450206&utm_source=newsletter&utm_medium=em...

le 16/07/2015 à 19:53
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Forme péremptoire qui ne parvient pas à masquer les contradictions d'une démonstration aussi creuse qu'à "l'emporte-pièces".Pourquoi ne pas dire avec simplicité qu'une oligarchie neoliberale, clone européen des neocons US, ne peut tolérer un autre m...

le 16/07/2015 à 22:45
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@Mokir: et sinon, hormis le proces d'intention vous qvez des qrguments ou des contre arguments? Ou alors ces 4 lignes d'attaque hominem tiennet lieu de toute reflexion?

le 16/07/2015 à 22:52
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@Coquette: ce que dit Stiglitz ne contredit en rien les contraintes politiques que je mentionne. Ceci dit Stiglitz, en economiste americain loin de la realite grecque et europenne, ne comprend pas l'europe et cela depuis bien longtemps. Pour nourri...

le 17/07/2015 à 9:45
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Godin a parfaitement raison et le scoop, c'est l'étalage sur la place publique des fourberies ou mensonges des réunions d'oligarques de la fausse Union de l'Europe, bâtie avec le ciment de la cavalerie financière et monétaire en pyramide de Ponzi, et...

le 17/07/2015 à 10:49
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@yokikon: les oligarques dont vous parlez sont les représentants élus des démocraties d'europe. Vous semblez faire un bien grand cas de l'expression démocratique. Mais a vous lire je suppose donc que vous etes en faveur de laisser les banques gre...

à écrit le 16/07/2015 à 12:50
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Cela ne va pas plaire pas a tout le monde mais Romaric Gaudin a raison. Il reprend ce que pensent beaucoup de personnes dont des économistes réputés en particulier un prix Nobel d’économie dont j’ai oublié le nom Certes, les grecs sont les seuls re...

le 16/07/2015 à 17:08
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Le nom du prix Nobel en question c'est Joseph Stiglitz. Mais il y a aussi Paul Krugmann. http://www.liberation.fr/monde/2015/07/15/joseph-stiglitz-l-allemagne-n-a-ni-bon-sens-economique-ni-compassion_1348536?xtor=EPR-450206&utm_source=newsletter&utm...

le 16/07/2015 à 22:20
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@gerard 71;La Californie a fait faillite ........Elle a appelée à l'aide la FED banque centrale américaine .Celle ci lui a prêtée de l'argent à la condition qu'elle présente un projet de redressement de ses comptes publics trés severe ,ce que le gouv...

le 16/07/2015 à 22:56
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Krugman et Stiglitz pense que le grexit serait la situation miracle. Sauf que leur point de vue a ete balaye par Varoufakis lui meme, ainsi que par plus de 200 economistes grecs qui eux connaissent la realite de la structure economique grecque. La g...

le 16/07/2015 à 23:39
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Si on part du postulat que la Grece ne remboursera jamais, pourquoi continuer à Prêter sans rien imposer ? 1) Par genérosité et altruisme : parceque les Français, comme les Allemands, les Finlandais ou les slovènes ont de l'argent en trop, pas de...

à écrit le 16/07/2015 à 12:16
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L'Europe de la paix se mue en Europe de la guerre. Terrible, je suis pessimiste sur l'avenir d'un régime aussi autoritaire...

à écrit le 16/07/2015 à 12:16
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L'Europe de la paix se mue en Europe de la guerre. Terrible, je suis pessimiste sur l'avenir d'un régime aussi autoritaire...

le 25/07/2015 à 0:08
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Toute institution rigide et non reformable est vouée à la disparition. Et, côté rigidité, on peut faire confiance aux Allemands qui gouvernent l' Europe

à écrit le 16/07/2015 à 11:52
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Vous avez oublié la vraie nature du capitalisme ?

le 16/07/2015 à 19:29
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@gruezka ;Capitalisme ? mais au fait la Grece doit de l'argent aux états et non pas aux banques .Elles doit 40 milliards à la France qui a empruntée pour lui preter ,augmentant ainsi sa propre dette .Hors qui remboursera la dette française si ce n'es...

à écrit le 16/07/2015 à 9:38
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Excellent. Chapeau bas Monsieur GODIN. Stiglitz et Krugman pensent de même. Allais était lui contre l'euro. Relire de notre prix Nobel "L'impôt sur le capital".

le 16/07/2015 à 23:01
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Et Varoufakis, le nouveau heros de la gauche radicale, a explique en detail pourquoi il pensait que Stiglitz et Krugman se trompent lourdement. Krugman n'a jamais rien compris a l'europe, lui qui predisait que les pays d'europe centrale ne rejoindra...

le 17/07/2015 à 10:23
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Varoufakis n'as pas LOURDEMENT rétorqué Stieglitz et Krugman, il a juste dit qu'a son avis, les conditions n'étaient pas réunies a un instant T.

à écrit le 16/07/2015 à 9:31
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Merci à l'auteur pour ses analyses sur la Grèce, c'est l'un des rares journalistes à montrer clairement les mensonges des créanciers européens . L'intoxication médiatique a réussi a tromper une bonne partie de l'opinion publique, on le voit ici au tr...

le 16/07/2015 à 12:18
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Ouvrez les yeux ... Un referendum pour faire pression (on croit rêver), 1 semaine après bafouer le vote populaire. L’Europe a toujours dit que faire un référendum c'était si non (défaut sur la dette et sortie de l'Euro) oui accepter les mesures des ...

le 16/07/2015 à 17:54
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Absolument. On peut aussi lire Stiglitz ou Alternatives Economiques. http://www.liberation.fr/monde/2015/07/15/joseph-stiglitz-l-allemagne-n-a-ni-bon-sens-economique-ni-compassion_1348536?xtor=EPR-450206&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_c...

à écrit le 16/07/2015 à 9:23
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Les remarques de Mr Romaric ont été entendus, comme la Grèce ne pourra pas rembourser toute seule, un fond qui existe déjà de compensation entre pays de la zone euros va être renforcé par un impôts ou taxe spéciale selon les pays qui sera payé par le...

le 16/07/2015 à 19:33
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Le fond est mis en oeuvre le temps que les mesures fiscales prises portent leurs effets

à écrit le 16/07/2015 à 9:19
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C'est la faute à l'Allemagne si les grecs ne paie d'impôts, pas de TVA, pas de droits de succession, si l'église prémière institution par le patrimoine n'est pas taxé, si les armateurs première richesse ne sont pas imposable. Comment l'état grec arri...

le 17/07/2015 à 10:25
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Non, avec l'argent des impôts. D'ailleurs c'est simple, ça fait un an que la Grece paye ses dépenses avec ses recettes. Et c'est probablement le seul pays européen le faire !

à écrit le 16/07/2015 à 9:14
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En tout les cas ce qui est sur c'est que Hollande porte une lourde responsabilité dans ce chaos. Sarkozy le nerveu serait monter dans son avion des Mars pour faire sauter la ligne rouge du gouvernement Grec (en fait une volonté de non réforme). Notre...

à écrit le 16/07/2015 à 5:49
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Cher Romaric, il faut mettre des réalités derrière vos mots. Ce que vous appelez « austérité » est simplement la réduction des dépenses publiques, qui excédaient largement la capacité de l’Etat grec, qui avait donc recours à la dette pour payer ses f...

le 16/07/2015 à 7:09
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La verite n'est pas la priorité de Mr Godin il est plutôt militant Les grecs avaient un déficit courant de 15 % du PIB avant qu'ils appellent le FMI et l'Europe revenir à un excédent c'est un effort énorme qui entraîne une baisse du PIB Il n'y pa...

le 16/07/2015 à 9:19
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Ce qu'il y a de bien dans cet article, c'est la photo : c'est sympa de nous mettre trois jolies jeunes femmes sur fond d'Acropole...

le 16/07/2015 à 12:40
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Oui pour que le projet européen puisse se poursuivre il faut respecter une discipline. Mais pour que ce projet soit viable, il faut des règles économiques similaires dans tous les pays. On ne peut pas faire cohabiter des pays qui sont en réalité des ...

le 16/07/2015 à 18:09
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@Brutus La Grèce n'a rien volé aux allemands! arrêtez ce bourrage de crâne! l'Allemagne c'est gavée pendant des années pour ne pas dire des décennies sur le dos des grecs et de la Grèce, à travers le crédit à la consommation dispensé généreusement ...

à écrit le 16/07/2015 à 4:16
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M. Godin, ce que vous dénoncez car vous écrivez toujours à charge contre l'Europe est très intéressant. Cependant, je reste sur ma faim. Dois je souscrire à votre point de vue alors que vous n'apportez aucune preuve? Pourquoi ne pas vous transformer ...

le 16/07/2015 à 12:42
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Quand on ne veut pas voir on ne voit rien. La vérité n'est jamais unique. Il faut accepter que d'autres ne pensent pas la meme chose que vous

le 16/07/2015 à 23:24
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Mr Godin n´est pas militant, il comprend simplement se qui se cache derrière les déclarations de facade, avec leur enchènement de mensonges, leur volonté de ne pas accepter leurs erreurs, de ne pas vouloir reconnaitre que l´austérité est une erreur e...

le 17/07/2015 à 13:52
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Merci Oreste, Gérard 71 et Cat4. Certains qui réclament "des preuves" sont incroyablement péremptoires et dogmatiques, sans aucun argument, ou alors des faux (ex: le prétendu nombre d'économistes grecs cité par l'un des "débatteurs".

à écrit le 16/07/2015 à 3:35
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Quoiqu'en dise Mr Godin et ses tentatives de justifications face à ses précédentes analyses erronées, le gouvernement grec a voulu réglé le problème de la Grèce en faisant de la politique plutôt que de l'économie. L'Europe leur a donc répondu par une...

le 16/07/2015 à 23:08
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faux. le gouvernement grec, par l´intermédiaire de Mr Varoufakis ( qui est un économiste) a depuis le début posé le problème sur le plan économique. mais il n´ a eu en face de lui qu´un mur. et il a fini par comprendre que le problème est politique,...

à écrit le 16/07/2015 à 2:03
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Le oui du parlement grec a gagné; la cour constitutionnelle grecque va sans doute faire sauter certaines des réformes votées de ce texte rédigé en anglais. Quand on pense que toute cette histoire est causée par l'Allemagne qui a constamment refusé d...

à écrit le 16/07/2015 à 1:36
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marre des rafraichissements de la page qui foutent le commentaire en l'air. En tout cas, M Godin, sur la question du remboursement, vous avez tout faux, il ne s'agit jamais d'un remboursement de la dette, mais de la capacité d'assurer le service de l...

à écrit le 16/07/2015 à 0:32
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Le FMI demande aux européens d'alléger tout, ou une grosse partie de la dette grecque, alors que lui-même ne ferait aucun geste, pour des montants de créances le concernant pourtant près de 7 fois moindres que les engagements européens. Quel crédit a...

le 16/07/2015 à 7:08
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Le FMI c'est 180 créanciers, l'euro 19. Donc impossible pour le FMI d'effacer une dette.

à écrit le 16/07/2015 à 0:25
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Il y a pourtant des solutions. Le probleme de la Grece est un probleme bancaire et un probleme de liquidite. L'Etat n'est pas un debiteur comme les autres parce qu'il a le pouvoir de legiferer sur le credit bancaire. Les banques grecques sont en q...

à écrit le 16/07/2015 à 0:04
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Toutes ces péripéties nous font oublier l'essentiel et c'est heureux que Romaric mette le doigt sur le principal à la fin du fin : la dette ! Mais plus, précisément , il serait plus précis et surtout exact, de parler des raisons de la dette ou des de...

à écrit le 15/07/2015 à 23:52
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J'adore les commentaires de Mr Godin. "Les blocages ne sont jamais venus du FMI et des Grecs." Curieuse façon de récrire l'histoire quand on sait que le FMI à été mis dehors par les grecs (Troika) et que les accords possibles ont été systématiquemen...

à écrit le 15/07/2015 à 23:27
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Brillant résumé de la situation. Pas grand-chose à ajouter n'en déplaise à Peaudane...

à écrit le 15/07/2015 à 23:17
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Ce projet d'accord n'est ni plus ni moins qu'un grexit qui ne dit pas son nom! Merci les SCHAUBLE , MERKEL end Co !

le 16/07/2015 à 0:04
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Et Hollande...Qui n'a pas fait pression sur la Grèce pendant 5 bons mois ...Pour trouver un accord laissant l'extrême gauche grec devant les Allemands... droit rigide ...

à écrit le 15/07/2015 à 22:59
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L’Europe envoyée par le fond, tel le Naufrage du Bugaled Breizh, pris dans les filets du « lucre »

à écrit le 15/07/2015 à 22:30
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Très bon article. J'avais commencé un com assez long, mais votre foutu site qui rafraichit automatiquement la page me l'a fait perdre.

à écrit le 15/07/2015 à 22:19
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Cet article met en lumière l absurdité, l absence totale de discernement des dirigeants de l UE et pour ne pas dire l imbécilite des dirigeants de l UE. La palme de l hypocrisie revient à Hollande. C'est un désastre pour l idée européenne.

à écrit le 15/07/2015 à 21:52
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Alléluia, austérité est ressucitée, alléluia..!

à écrit le 15/07/2015 à 21:08
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Je tire mon chapeau à M. Godin qui est capable de refaire l'histoire (dans son cas avec un h minuscule) en fonction des jours ou de l'air du temps !!! Un jour c'est Tsipras qui refuse à Varoufakis un accord trouvé avec les créanciers lors d'un somme...

le 15/07/2015 à 22:35
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vous avez du style ;)

le 15/07/2015 à 23:12
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@peaudane: il n'y a que pour des esprits binaire que les articles de RG se contredisent. Pour ma part, je ne vois pas en quoi Godin dans les articles qu'il signe depuis Janvier sur le sujet serait la girouette que vous prétendez. Il est au contraire ...

le 15/07/2015 à 23:33
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Oui je me fais la même réflexion. Incroyable ces articles mais tellement intéressant de voir les commentaires de certains qui boivent ça comme du petit lait. très intéressant pour comprendre comment certains peuvent aller aux extrêmes simplement mani...

le 15/07/2015 à 23:33
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Oui je me fais la même réflexion. Incroyable ces articles mais tellement intéressant de voir les commentaires de certains qui boivent ça comme du petit lait. très intéressant pour comprendre comment certains peuvent aller aux extrêmes simplement mani...

le 15/07/2015 à 23:33
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Oui je me fais la même réflexion. Incroyable ces articles mais tellement intéressant de voir les commentaires de certains qui boivent ça comme du petit lait. très intéressant pour comprendre comment certains peuvent aller aux extrêmes simplement mani...

à écrit le 15/07/2015 à 19:30
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" Si les créanciers s'y refusent, les Grecs feront défaut unilatéralement. L'irresponsabilité des dirigeants de la zone euro éclatera "... Je partage cet avis .... et la politique anti-inflationniste de la BCE ne fait qu' aggraver le ...

à écrit le 15/07/2015 à 18:43
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Dans ce dossier de l'agonie de la Grèce, le gouvernement Valls a organisé un vote en France sur des faits qui concernent la Grèce. Ainsi dans cette guerre financière le gouvernement Valls et les Parlementaires traitres français se sont rangés allè...

le 16/07/2015 à 11:55
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@Vichy. Plutôt que de raconter n’importe quoi sortez de votre rêve d'extrémiste de gauche et n’appelez ceux qui sont pas de votre bord Nazie. La Grèce a joué avec ces créancier 18 autres états Européens et au moins 108 autres à travers le FMI. D'ar...

à écrit le 15/07/2015 à 18:41
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L'UE avec l'euro se révèle tel quel est; non pas coopérative mais contraignante sous la tutelle de Washington et de l'OTAN

à écrit le 15/07/2015 à 18:28
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Formidable démonstration de ce qu'est L'UE: Un "machin", comme en son temps aurait dit le Général de Gaulle à propos de l'ONU. Et à la tête de ce "machin", nous avons des Merkel, Hollande, Schaüble, Juncker, Dijsselbloëm, ou le mariage de la carpe et...

à écrit le 15/07/2015 à 18:18
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Personne n'a jamais complètement tort ni complètement raison. M. Godin a raison quand il prévoit que la situation pourrait être intenable. Car elle le sera si les Grecs persistent dans leur laisser-aller désormais historique, qui est quand même, ne l...

le 15/07/2015 à 23:25
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@olkatab: les grecs n'ont jamais prétendu que leurs ennuis financiers n'étaient du fait que des autres. Vous racontez absolument n'importe quoi!! Relisez ou écoutez les déclarations de Tsypras et de Varoufakis et vous retrouverez les mêmes distinctio...

à écrit le 15/07/2015 à 18:14
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Moi, en tant que Grec, je n'aurai qu'une seule chose à dire : TSIPRAS DEHORS !!

le 15/07/2015 à 20:14
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Ca paraîtrai le minimum !! Apres autant d'erreurs et de trahison Sauf pour Mr Godin qui sera sans doute le dernier a le soutenir

le 16/07/2015 à 10:23
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Peut-être que vous n'avez pas compris : Tsipras est le vrai cheval de Troie des banquiers de l'Eurogroupe, c'est de la cinquième colonne la plus infiltrée au gouvernement grec. En le défendant, M. Romaric Godin ne fait que défendre les intérêts RÉELS...

à écrit le 15/07/2015 à 18:02
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Merci et encore merci! Comme quoi il existe encore de vrais journalistes dans la presse mainstream!

à écrit le 15/07/2015 à 17:57
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Bravo Monsieur Godin, encorne fois un article clair, concis sur la tragédie qui est entrain de se jouer sous nos yeux. Les Grecs et leurs dirigeants ont une part non-négligeable dans cette affaire, mais comme vous le démontrer l'UE a joué un rôle c...

à écrit le 15/07/2015 à 17:32
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Bref, le nouveau plan d'aide est pire que l'ancien... tout est perdu des deux cotés !

à écrit le 15/07/2015 à 17:25
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Monsieur Godin, Votre plume, la justesse de vos propos et votre clairvoyance m'époustoufle chaque jour davantage. Je vous remercie de tant soutenir le peuple grec grâce à votre compréhension globale de ce qui l'étouffe un peu plus chaque jour...

à écrit le 15/07/2015 à 17:24
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Au moins dans le parti de tsipras on est honnête on appelle à voter non Tsipras est le pire des hommes politiques il trahi ces engagements de début d'année , le référendum ,les grecques auxquels il a fait croire à un retour de la vie à crédit Il ...

le 15/07/2015 à 18:16
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@ Réalisme: Il est bien possible que Mr Godin ait déjà commencé à manger son chapeau…. discrètement.

à écrit le 15/07/2015 à 16:58
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Fallait avoir le courage de faire sortir la Grèce en 2005 .Qui était au pouvoir en 2005 ? eh bien en taule pour malversation et dissimulation de déficit comptable ou la qualification exacte de ce délit doit bien exister.

à écrit le 15/07/2015 à 16:45
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Le gouvernement grecque vend les originaux des musées et mets des copies à la place.Les touristes ne verront pas la différence et les vrais collectionneurs auront des joyaux dans leurs caves qu'ils auront payé la peau des fesses pour pouvoir les cont...

le 15/07/2015 à 23:42
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@yoyo: Même si un des buts ultimes de la mise à genoux de la Grèce est d'accéder à des richesses du patrimoine national, pour l'instant vous speculez lorsque vous suggérez que l'état grec va vendre ses originaus et les remplacer par des copies dans l...

à écrit le 15/07/2015 à 16:29
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Encore un article absurde de Romaric Godin. Personne ne doute que la dette grecque n'est pas remboursable. S'il ne peut pas avoir d'annulation de la dette maintenant, c'est pour maintenir la pression afin les Grecs mettent enfin en ligne leurs recett...

le 15/07/2015 à 18:36
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Vous êtes dans la même situation que les dirigeants européens en fait : incapable de voir que les politiques appliquées sont en échec total et incapable de vous remettre en cause encalminé dans vos croyances. A tel point que lire la contradiction sur...

le 15/07/2015 à 19:01
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@Picnicdouille: Qui parle de TINA ? Certainement pas moi (et même pas Schäuble). Il y a une alternative, c'est le Grexit. C'est Tsipras et dans leur majorité les Grecs qui ne l'ont pas voulu.

à écrit le 15/07/2015 à 16:13
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Brillant ! Rien à ajouter.

à écrit le 15/07/2015 à 16:10
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C'est n'importe quoi Mr Godin essaye de broder des histoires Tous le monde sait qu'il faudra restructurer la dette Le probleme n'est pas d'actualité c'est une manœuvre de tsipras C'est en 2023 que les grecs commenceront à rembourser la dette Le...

le 15/07/2015 à 17:46
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Vous avez probablement mal comprit le problème de la dette grec: le remboursement des INTERETS ont été suspendus a 2023...mais pas le remboursement du CAPITAL ! Et il y a plusieurs milliards a payer la tout de suite...dans les prochains mois.

à écrit le 15/07/2015 à 16:00
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Romaric Godin a vu juste lorsqu’il parle de montage de Ponzi payable par les générations futures. Cependant, les votes dans les parlements est révélateur. Le parlement Français vote comme un coup d’épée dans l’eau car la France est un pays à souverai...

à écrit le 15/07/2015 à 15:59
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Pour une fois je trouve l'artcile de R. Godin quelque peu radical. Cet accord est un compromise, accepte de justesse. Par ailleurs, le sort de la dette grecque est prise en compte, ce que refusait les faucons auparavant. Il faut donc analyser cette s...

à écrit le 15/07/2015 à 15:53
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Cher Monsieur Godin, Tout simplement vous remercier de la pertinence et de l'intelligence de vos interventions dans les pages de "La Tribune". Il est heureux, grâce à vous et quelques autres (Jorion, Médiapart et d'autres encore) de pouvoir échapp...

à écrit le 15/07/2015 à 15:46
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visiblement, Bruno Le Roux et Michel Sapin ne vous lisent pas ...

à écrit le 15/07/2015 à 15:45
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D’accord avec cet article qui passe sous silence le fait qu’Alexis Tsipras et d’autres dans Syrisa mériteraient de se voir décerner un grand prix de la nullité, dans la conduite des affaires de la Grèce. La capitulation en rase campagne d’Alexis Tsip...

le 15/07/2015 à 17:34
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Vous croyez que c'est facile lorsque vous voyez augmenter le nombre de sans-abris dans les rues, le nombre de suicides explosés, les personnes non soignées faute d'argent, les personnes dans l'incapacité de se nourrir par manque de moyens ? Tsipras ...

à écrit le 15/07/2015 à 15:43
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Excellent article m.Godin.C'est la fuite en avant,probablement que le défaut grec aurait fait trop de dégats notamment au niveau des cds.Les marchés ne peuvent que monter sinon le système se vaporise.

à écrit le 15/07/2015 à 15:43
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Il n'y a qu'une solution ami grecs, sorti de cette Union mortifère avant qu'on ne vous montre le chemin.. La poursuite de cette sordide expérience européenne illustre l'état de dépendance des dirigeants européens servile vis à vis des usa, véritab...

à écrit le 15/07/2015 à 15:34
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La seule solution pour les Grecs est de préparer leur sortie de la zone Euro avec les aides à venir , cela me parait un choix judicieux compte tenu des difficulté à se financer dans l'avenir.Giscard à encore raison en bon économiste .

à écrit le 15/07/2015 à 14:51
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Excellent article. Il suffit de voir l'évolution de l'euro face au dollar et de la livre sterling pour se rendre compte que personne ne croit en cet accord. Comment peut-on comparer une Allemagne industrielle et ayant des ressources minières de longu...

à écrit le 15/07/2015 à 14:24
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Le billet de R. Godin ignore (pour la n-ième fois) que les grecs refusent l' "austerité" au nom d'un soi-disant droit démocratique de vivre au crochet des autres. Attitude singuliére et qui méconnaît toutes les règles de la monnaie commune. D'aill...

le 15/07/2015 à 15:22
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Vous avez des oeillères vous aussi. Ce plan d'aide va enfoncer la Grèce un peu plus et la dette ne sera jamais remboursée. Il ne s'agit pas de savoir sils ont la volonté de rembourser, c'est arithmétique, ils ne pourront pas ! Perso, je pense qu'ils...

à écrit le 15/07/2015 à 14:20
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Pour s'en tenir à de simples considérations morales par delà les arguments économiques, ces quelques observations: Varoufakis, si injustement décrié, a montré sans doute du courage et de la lucidité. Je suis par contre effaré par l'extraordinaire ma...

le 15/07/2015 à 15:46
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Effectivement,les travailleurs du privé allemands vont aider au recrutement de nouveaux fonctionnaires grecs(comme chaque année),c'est le seul moyen de sauver les banques ,assurances et autres milieux financiers.Un accord plus que bancal!

à écrit le 15/07/2015 à 14:17
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Il faudra surtout un travail sérieux de la Grèce et de son gouvernement pour remettre le pays en ordre: - que les impôts soient payés - que l'état arrête la fraude galopante - que la TVA soit corrigée - que les retraites soient réellement diminué...

le 15/07/2015 à 15:48
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encore quelqu'un qui n'a pas lu ce que comptait faire Syryza .......

le 15/07/2015 à 16:16
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C est le programme de Syriza !

le 15/07/2015 à 16:16
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C est le programme de Syriza !

le 15/07/2015 à 17:17
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Alors commençons par la France ! - Nos gouvernements ne nous mentent jamais, sans aucun doute, - Nos élus ne pratiquent pas l'exil fiscal, même pas le ministre le finances, - Baissons drastiquement les retraites (si vous êtes retraité, bonne chanc...

à écrit le 15/07/2015 à 14:08
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Monsieur Godin, dans toute discussion creancier/debiteur, le creancier n'acceptera de consentir a une perte. Il faut que le debiteur utilise l'arme du defaut de paiement pour arriver que le debiteur se retrouve en position de force. En clair, Mons...

à écrit le 15/07/2015 à 14:08
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Et voilà, c'est le début de la fin. Nous rappellerons dans 6 mois à notre "courageux" président à quel point son action a maintenir la Grèce dans l'Euro a été "historique". Pourtant, TOUT LE MONDE savait comment sauver la Grèce en 2 temps : 1) Réduct...

à écrit le 15/07/2015 à 14:00
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Bravo au journal la Tribune qui écrit ce qu'il pense. Ce que pense toute personne censée en final. La Grèce sortira de toute façon, avec une addition encore lourde. Une addition qui appartient aux banques PRIVEES, qu'elles auront réussi, via un to...

le 15/07/2015 à 17:45
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Voyez-vous richard78, parfois je me demande si ce ne sont pas les coupables qui ont demandé à ce que la peine de mort soit abrogée. https://www.youtube.com/watch?v=bOROJuSz4v0 La spéculation n'est JAMAIS remise en cause !

à écrit le 15/07/2015 à 13:54
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Et je voulais rajouter les seuls pays serieux et responsables viv a vis des electeurs sont les allemands et autres pays du Nord dont les politiques ne choisissent pas la fuite pour en profiter eux memes...comme en France ou ils font carriere...

le 15/07/2015 à 16:19
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Sérieux ? Schauble et ses casseroles ? Le Parti des vrais Finlandais ? Ha, ha, ha !

le 17/07/2015 à 0:04
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allemands, pays sérieux? qui ont introduit hartz 4, qui profitent des ex pays de l´est pour faire fabriquer à bas prix des produits qu´ils exportent en faisant du bénef sur le dos des polonais, bulgares etc....un pays a qui on a fait cadeau de 60& de...

à écrit le 15/07/2015 à 13:49
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il eut fallu être audacieux et même courageux .Tous nuls dans notre marigot politiques !

à écrit le 15/07/2015 à 13:41
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Merci pour ce billet qui ose appeler un chat : un chat. Et peu importe si ça défrise des illusionnistes et manipulateurs de tous poils.

à écrit le 15/07/2015 à 13:39
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Un énième article à côté de la plaque, qui ignore royalement que le problème de la Grèce, ce n'est pas l'Europe mais bien la Grèce et surtout les grecs. Quelqu'un a compté les milliards versés dans la Grèce depuis 74 ou même 82 ? Ils sont passés o...

le 15/07/2015 à 14:23
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vous posez sans le vouloir une bonne question. L'argent visiblement n'est pas allé en Grece. Alors ou ? Et est-ce vraiment la faute des grecs dans ce cas ?

le 15/07/2015 à 15:30
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Ok pour le constat. Et alors on fait quoi ? on laisse la Grèce se tourner vers la Chine et la Russie ?

le 15/07/2015 à 16:22
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La Grèce était un pays industrialisé quand elle est rentrée dans la CEE en 1981 : elle fabriquait téléviseurs, voitures, tracteurs, autocars, etc. Aujourd'hui tout ca a disparu... Merci l Europe, merci l Allemagne...

le 15/07/2015 à 16:24
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Les bienfaits du marché commun et de la suppression des barrières douanières.

le 15/07/2015 à 16:27
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L Allemagne s est goinfree en exportant ses produits industriels en Grèce, grâce à Bruxelles et grâce à la corruption. Le retour de boomerang est pour bientôt.

à écrit le 15/07/2015 à 13:26
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il aurait effectivememnt mieux valu que la grece quittat l'euro, ca aurait eviter 2 ans de turpitudes quant a la morale, effectivement, si les grecs n'avaient pas gave l'ensemble de leurs interlocuteurs avec la ' democratie' ( dont ils sont les seul...

à écrit le 15/07/2015 à 13:19
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Et oui, je comprends que la désillusion soit dure à encaisser mais il ne pouvait en aller autrement lorsqu'on considère l'UE dans son ensemble et les conditions préalables à la création de l'euro que l'Allemagne a imposées. Conditions acceptées alors...

à écrit le 15/07/2015 à 13:11
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Excellent article, bravo et merci !

à écrit le 15/07/2015 à 13:00
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Mr Hollande a commis une erreur politique au début de son quiquénat : il n'a pas voulu aller au clash avec l'Allemagne pour réorienter la politique Européenne. Le résultat est là : Les Allemands pensent que seul le respect des règles doit être impose...

à écrit le 15/07/2015 à 12:55
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Dans toute la propagande médiatique française, les journaux réellement sérieux se comptent sur les doigts d'une main, La Tribune en fait parti et vous pouvez en être fier. La Tribune, Le Figaro ( de temps en temps) et l'excellentissime Monde Diplomat...

le 15/07/2015 à 14:01
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Et Jean Pierre Pernaut ....

à écrit le 15/07/2015 à 12:55
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Je pensais, naïf, que La Tribune était un journal neutre, sans parti pris. Or, que lisons-nous? Une charge de cavalerie contre les institutions européennes, qui ne seraient là que pour humilier, couler et détruire ce qui reste de la Grèce!

le 15/07/2015 à 14:06
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Naif! L'€urope n'a pas les moyens financiers pas plus que le courage de prendre ses pertes, alors on fait rouler la dette et plus tard plus triste... ce sera comme d'habitude nos enfants et petits enfants qui payeront, nous et nos politique ne savent...

le 15/07/2015 à 16:10
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C'est vraiment trop naïf de croire que LT est un journal neutre, sans partis pris. Justement ! Dans nos forums, faites comme chez vous, vous pouvez insulter Poutine et parler mal des Chinois à votre aise, vos commentaires seront tous publiés, sans pr...

le 15/07/2015 à 16:16
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Ce que vous lisez : juste la vérité ! Mais elle vous dérange apparemment...... sans doute préférez-vous les petites magouilles en coquins/copains !

à écrit le 15/07/2015 à 12:53
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C'est ça la Zérope. La faillite assurée

à écrit le 15/07/2015 à 12:49
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Un excellent billet comme d'habitude, félicitations, M. Godin. La dette grecque est une dette illégitime résultant de manigances de banquiers véreux, même payée sur 50 ans, reste une dette illégitime… Il est à craindre que lorsque les banques grecque...

à écrit le 15/07/2015 à 12:46
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Encore un excellent article Mr Godin merci mille fois pour votre travail !

à écrit le 15/07/2015 à 12:39
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Les dirigeants politiques sont toujours le produit d'une époque. La notre est celle d'un capitalisme financier qui se développe sur la généralisation du conflit d'intérêt et de la corruption, un système sans autres visions que les gains que rapport...

le 15/07/2015 à 14:09
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Et de reporter la dette sur les futures générations (retraite,sécu,dette ...)

le 15/07/2015 à 17:41
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Mais le ver est dans le fruit depuis le début https://www.youtube.com/watch?v=GizWAkMddsg

à écrit le 15/07/2015 à 12:38
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Cet article accumule les arguments absurdes. Soyons clairs : la problématique grecque ne date pas de ces derniers mois : le pays était en faillite depuis longtemps. Les européïstes se sont pris pour le père Noêl, soit, mais ils n'ont fait que révéle...

le 15/07/2015 à 14:34
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«Cet article accumule les arguments absurdes». Lesquels ? Pour vous distinguer de l'absurdité dons vous accusez l'article, avez-vous vous même autre choses à nous proposez qu'une explication psychologisante superficielle (ils avaient un attitude v...

le 15/07/2015 à 17:47
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Au contraire "les gauchistes du gouvernement grec" ont tout compris !

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