Natixis va supprimer entre 700 et 1.000 postes en France d'ici à 2015

La filiale du groupe BPCE a annoncé aux syndicats la suppression de 700 à 1.000 postes dans l'Hexagone à horizon 2015. Ces réductions d'effectifs ne devraient concerner ni les filiales de la banque d'investissement ni l'international.
La banque d'investissement Natixis, filiale du groupe BPCE (Banque Populaire-Caisse d'Epargne) a annoncé aux syndicats la suppression de 700 à 1.000 postes en France d'ici à 2015.

C'est désormais acté. La banque d'investissement Natixis a annoncé ce lundi aux syndicats la suppression de 700 à 1.000 postes en France d'ici à 2015, conformément à ce qui était pressenti depuis cet été.

Entre 700 et 1.000 suppressions de postes

Les suppressions, au sein de la filiale du groupe BPCE (Banque Populaire-Caisse d'Epargne),  devraient toucher 700 postes, selon Les Echos. Interrogé par l'AFP, Patrice Chanvin, délégué syndical central SNB et délégué du CE du groupe, a estimé que le nombre de postes supprimés pourrait "monter à 1.000" au total. Les suppressions de postes seront "lissées" sur 2014 et 2015, selon lui.

"Cela a été annoncé hier (lundi) lors d'une commission de suivi de l'accord sur l'emploi", signé en septembre par les syndicats SNB, CFTC et CFDT, a déclaré à l'AFP Jean-Marc Plantier, délégué syndical CGT.

"Personne ne se retrouvera à Pôle Emploi"

Les principales suppressions devraient toucher l'activité de Banque de grande clientèle (BCG), indique le journal. Les autres métiers, en particulier ceux portés par les filiales, sont soit stables (l'épargne, la gestion d'actifs, le crédit-bail) soit en phase de recrutement (crédit à la consommation, affacturage), poursuit le quotidien.

"Personne ne se retrouvera à Pôle Emploi", a affirmé Patrice Chanvin. "L'accord sur l'emploi est basé sur le double volontariat, c'est-à-dire que seront concernées les personnes qui souhaitent partir et dont la direction accepte le départ", a-t-il ajouté.

Quelque 1.300 postes avaient déjà été supprimés entre 2008 et 2009

L'accord de sécurisation de l'emploi porte notamment sur la gestion des carrières, les conditions financières de départs en pré-retraite et sur des départs de l'entreprise de salariés ayant un projet professionnel. Cet accord doit intervenir avant la mise en œuvre d'un plan stratégique pour la période 2014-2017 qui doit être dévoilé le 8 novembre et concernera tout le groupe BPCE.

Quelque 1.300 postes avaient déjà été supprimés entre 2008 et 2009. Natixis intégré compte environ 14.000 salariés en France, selon son site internet.

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Commentaires 11
à écrit le 16/10/2013 à 19:29
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ACTIONNAIRE DE CETTE BANQUE PAR FORCE??CAR LA MIENNE A ETE RACHETEE PAR LES CAISSES D'EPARGNE???UN SOUHAIT TRES ANCIEN DE SON PDG????LA CAISSE N'EST ET NE SERA JAMAIS UNE BANQUE???C'EST IDEM POUR LA POSTALE ???L'UNE C'EST LE COURRIER ??L'AUTRE C'EST ...

le 17/10/2013 à 7:44
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il est vrai que natexis a une gestion catastrophique !! oust du balai et que ces gens rendent des comptes

à écrit le 16/10/2013 à 13:12
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J'ai acheté du Natixis a la 1e cotation à 20? Revendu 3,5 et ça n'a pas reaugmenté Les banquiers qui font payer leurs grigous de patrons ( hyper salaires et dividendes à 2 chiffres) par la déconfiture des d'un primes et la chute des cours sauvent san...

le 16/10/2013 à 14:34
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"tous les jours un pigeon se lève"

à écrit le 16/10/2013 à 12:29
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Natixis va couler hahahahahaahahahahaahahahaahahahaahahahahaahah

à écrit le 16/10/2013 à 11:48
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Natixis est très endettée dans des investissements 'pourris' cette banque aurait subie le même sort que daxia si elle n'était pas une filiale de la caisse d'épargne.....

à écrit le 16/10/2013 à 11:09
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ils vont sans doute délocaliser leur IT à Bangalore avant de la relocaliser au bout d'un an ou deux vu la "qualité" du travail made in India

à écrit le 16/10/2013 à 10:41
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Comme par hasard on utilise la crise comme prétexte pour virer du monde...

à écrit le 16/10/2013 à 10:29
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Supprime t il en France pour sous traiter ailleurs en Europe comme à la Société Générale?

à écrit le 16/10/2013 à 9:39
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Mais non, les signaux de la reprise sont au vert !

à écrit le 16/10/2013 à 8:32
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"L ennemi, c est la finance". Le gvt doit être satisfait.

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