Après Didier Lombard, mercredi, au tour de l'ancien numéro 2 de France Télécom d'être mis en examen. Lui aussi soupçonné de pour harcèlement moral, Louis-Pierre Wenes, est placé sous contrôle judiciaire avec une caution de 75.000 euros, a précisé son avocate, Frédérique Beaulieu.
Après une vague de suicide au sein du groupe de télécommunication en 2008 et 2009, un rapport de l'Inspection du travail a pointé des défaillances dans la gestion du personnel. Le syndicat Sud avait déposé une plainte et une information judiciaire avait été ouverte en 2010. Des perquisitions ont été menées au siège parisien de France Télécom en avril dernier.
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