La rumeur court depuis le début de l'année. Dans le milieu de l'industrie aérospatiale et de défense, des sources concordantes confirment l'évocation d'un départ à l'été prochain du président du groupe européen qui détient notamment Airbus. Louis Gallois, nommé en août 2007 seul à la tête d'EADS pour un mandat de cinq ans, aurait passablement agacé à l'Élysée et aurait aussi eu maille à partir avec le ministre de la Défense, Hervé Morin. Pour autant, faire partir Louis Gallois n'est pas forcément la bonne solution. Un départ pourrait raviver les tensions franco-allemandes au sein du groupe EADS. Page 13

latribune.fr

20 Mars 2009, 1:27

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