Des contrôles high-tech pour l'accès à vos bureaux

écuritéà la différence des sites industriels majoritairement protégés par un système de contrôle d'accès, les bureaux tertiaires font encore figure de parents pauvres de la sécurité. Or, nul n'est à l'abri d'un vol, voire d'une agression de personnes. Pour parer à ces éventualités, il existe un arsenal impressionnant de solutions pour contrôler les accès et surveiller les alentours des bâtiments. à commencer par les centrales d'alarmes qui savent gérer différents détecteurs (infrarouge, radar, vibration, ou encore thermique). Certains dispositifs infrarouges savent même reconnaître la présence d'un animal?! Ce qui évite d'avoir à se déplacer pour dissiper d'éventuels doutes.Autre tendance forte, la capacité de certaines centrales de sécurité à communiquer par un modem GSM. Très pratique en cas de coupure de courant, car la liaison est maintenue avec le poste de télésurveillance. Idem pour les systèmes de vidéosurveillance grâce aux technologies Internet qui permettent aux caméras d'acheminer les images sur un écran distant. Le responsable de la sécurité peut non seulement visualiser un site, mais aussi désactiver des cartes d'accès perdues ou appartenant à un ancien salarié. Ce qui évite d'avoir à changer les verrous?! à noter qu'il existe désormais des serrures électroniques pilotables à distance.Le contrôle d'accès continue de progresser auprès des structures de plus de 50 personnes, selon Yves Ackermann, directeur des ventes pour l'Europe de l'Ouest chez HID, un fabricant d'identifiants et de lecteurs sans contact. Ce dernier recommande d'ailleurs de préférer du matériel interopérable (autrement dit capable de communiquer avec d'autres systèmes) et de choisir pour leur installation un spécialiste de proximité.reconnaissance digitaleDu contrôle d'accès aux systèmes biométriques, il n'y a qu'un pas. Le plus en vogue est aujourd'hui la reconnaissance digitale, qui oblige toutefois les entreprises à y associer une carte à puce ou RFID (étiquette électronique) sur laquelle est stockée l'empreinte du salarié. Néanmoins, la lecture de l'empreinte digitale ne sied guère aux activités salissantes ou poussiéreuses? « En outre, il faut savoir qu'il existe un taux de rejet allant de 1 % à 3 % », avertit Eric Ruty, directeur de Bodet Software, qui lance un nouveau lecteur de reconnaissance digitale baptisé Bioentry Plus fonctionnant avec des cartes RFID. Eliane K
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