La légère hausse du marché automobile français (+ 1,8 %) sur l'ensemble du premier semestre dissimule un net ralentissement des immatriculations au deuxième trimestre. Après un bon début d'année, juin s'affiche en baisse de 28,5 % à jours ouvrables comparables, par rapport au même mois de 1995 artificiellement dopé par la fin des « balladurettes ». Renault recule sur le semestre de 13,9 % et PSA de 1,3 %. Parmi les constructeurs étrangers, VAG et Fiat progressent nettement. Principalement en raison des impacts monétaires sur les ventes de petites voitures. Voir Evenement
L'automobile française débordée
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