émoi à la société générale

Il a suffi d'un courriel, de l'un de ces e-mails internes qu'un collaborateur adresse aux autres salariés de la maison, pour qu'une tour de la Société Généralecute; Générale à La Défense s'embrase. « Qui a oublié les clés de sa Porsche ? » interrogeait le salarié, déclenchant une avalanche de réactions. « Cela restera entre nous ! », « Qui va prévenir ?Libé? ? »? Les bonus et leur emploi restent des sujets sensibles.Désireuse de calmer la tempête sociale qui agite France Télécome;lécom depuis cet été, la direction de l'opérateur a décidé de renforcer son service de médecine du travail. Pour épauler ses 70 médecins, qui dénoncent depuis des mois leurs propres conditions de travail, France Télécome;lécom a donc ouvert 40 postes. Des emplois qui n'ont pour l'instant pas trouvé preneur. Malgré ses efforts ? et l'intérêt de la tâche ? le groupe n'a reçu qu'une seule candidature à ce jour.Le choix des 15 membres de la commission Stiglitz en 2008 pour réfléchir, à la demande de Nicolas Sarkozy, à de nouveaux indicateurs pour mesurer la richesse ne fut pas sans grincements. L'économiste Jean-Paul Fitoussi ne souhaitait pas intégrer Jean Gadrey, professeur d'économie à l'université de Lille. Ce n'était pas tant son profil de chercheur ? ses recherches portent sur les indicateurs de richesse ? que son profil de membre du Conseil scientifique d'Attac qui faisait problème. C'est finalement Joseph Stigliz qui l'a imposé.
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