STRONG>EMI dans une mauvaise passeLa maison de disques EMI, reprise en LBO par le fonds Terra Firma en 2007, a enregistré en 2009 une perte nette de 1,6 milliard de livres, reflétant notamment une importante dépréciation, pour un chiffre d'affaires presque équivalent, de 1,57 milliard de livres. Selon le « Financial Times », le patron du fonds britannique, Guy Hands, a demandé à ses investisseurs d'injecter 120 millions de livres dans EMI pour éviter que l'entreprise n'enfreigne ses clauses bancaires, ce qui pourrait entraîner sa prise de contrôle par sa banque Citigroup. Hachette veut des prix plus souples sur le Kindle Comme l'éditeur américain Macmillan, Hachette a indiqué qu'il souhaitait mettre en place une politique de prix plus souples des éditions électroniques de ses ouvrages sur le lecteur Kindle commercialisé par Amazon. Plusieurs éditeurs reprochent au numéro un mondial du commerce en ligne d'imposer des prix trop bas pour les ouvrages numériques, afin de favoriser son lecteur. Panasonic retrouve de l'élanLe fabricant japonais d'électronique grand public a dégagé un résultat d'exploitation de 101 milliards de yens (821 millions d'euros) sur son troisième trimestre fiscal clos fin décembre, presque quadruplé sur un an, alors que son chiffre d'affaires est resté quasi stable. La société a relevé de 120 à 150 milliards de yens sa prévision de bénéfice d'exploitation annuel, contre 73 milliards en 2008-2009.Denis Ranque pressenti pour la présidence de TechnicolorL'ancien PDG de Thales devrait devenir le futur président non exécutif de l'ex-Thomson, selon « Le Figaro ». L'actuel PDG de Technicolor, Frédéric Rose, avait annoncé la semaine dernière son intention de découpler les rôles de président et de directeur général de l'entreprise, pour ne garder que ce dernier. Calyon conseillera « Le Monde » pour sa recapitalisationSelon « La Correspondance de la presse », la banque d'affaires du Crédit Agricolegricole accompagnera le quotidien du soir sur le dossier de sa recapitalisation. BNP Paribas, la banque historique du « Monde », détient des obligations remboursables en actions (ORA) du groupe Le Monde, ce qui représente un risque de conflit d'intérêts. Comcast et NBC Universal cherchent à rassurerLes dirigeants des deux groupes ont pris 17 engagements devant les parlementaires américains pour les rassurer sur les conséquences de leur rapprochement, que les autorités de la concurrence n'ont pas encore approuvé. Parmi eux : ne pas diminuer la quantité ni la qualité des programmes télévisés sans péage, développer des programmes pour enfants, ou ne pas remetttre en cause les garanties d'indépendance journalistique existant actuellement chez NBC universal.

latribune.fr

05 Févr 2010, 23:39

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