L'Europe et les États-Unis ont salué l'issue du référendum constitutionnel en Turquie, présenté par Ankara comme un atout sur la voie de son intégration dans l'UE. Le ministre espagnol des Affaires étrangères, Miguel Angel Moratinos y a vu « un signal clair de la vocation européenne » de la Turquie. Un point de vue partagé par son homologue suédois, Carl Bildt. Le chef de la diplomatie allemande Guido Westerwelle a évoqué « un pas supplémentaire important sur le chemin de la Turquie vers l'Europe ». Toutefois, il est connu pour être plus ouvert à l'idée de l'adhésion de ce pays musulman que la chancelière Angela Merkel, qui y reste opposée. A l'instar de la France, elle lui préfère l'idée d'un « partenariat privilégi頻 avec Ankara (lire page 27). L. C.
Le référendum turc vu comme un atout pour l'intégration à l'Europe
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