Pékin favorable à une réforme des institutions financières

Le G20 approche et la Chine a commencé à émettre ses attentes. « La croissance doit être au sommet de l'agenda de la rencontre de Pittsburgh », a assuré, hier à Pékin, Zhu Guangyao, un ministre adjoint des Finances. « Nous pourrons seulement penser à un possible retrait des plans fiscaux extraordinaires et des politiques de soutien monétaires et financières lorsque la reprise sera solidement établie. » Le deuxième axe des revendications chinoises tourne autour des institutions financières. « Le G20 doit se concentrer sur le transfert du pouvoir des votes des pays développés aux pays en voie de développement », a assuré Guo Qingping, un gouverneur adjoint de la banque centrale. Un point de vue soutenu par son collègue Zhu Guangyao : « Ces derniers possèdent 44 % des droits de vote contre 56 % aux pays développés, nous devrions arriver à un équilibre en la matière. » T. de B.
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