À son arrivée à Copenhague, le chef d'État a poussé un coup de colère, estimant que la conférence allait « droit à la catastrophe », et réclamant une réunion des dirigeants de la planète « pour enfin négocier sérieusement sur un texte de compromis ». Un compromis dont Nicolas Sarkozy a esquissé les contours : les 193 pays participants pourraient se mettre d'accord sur un « chapeau politique », tout en se donnant six mois « pour transformer ces engagements politiques en texte juridique ».Nicolas sarkozy, le pragmatique
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