Quand Dominique Strauss-Kahn joue sa carte pour 2012

En refusant tout « dogme » et en estimant logique de travailler au-delà de 60 ans « si on arrive à vivre 100 ans », Dominique Strauss-Kahn (DSK) a semé le trouble au PS. Mais le patron du FMI a surtout pris date pour 2012. Chouchou des sondages, DSK occupe le créneau d'un social-réformisme assumé. Il a reçu le soutien de Manuel Valls, représentant de l'aile droite du PS, mais aussi de proches de François Hollande. Martine Aubry, chef de l'opposition, campe naturellement sur une ligne plus à gauche, pour ne pas s'aliéner le courant Emmanuelli-Hamon ou les futurs partenaires de ce qu'elle appelle « la gauche solidaire ». Quant à Ségolène Royal, elle a, elle aussi, choisi de se radicaliser. H. F.
Commentaire 0

Votre email ne sera pas affiché publiquement.
Tous les champs sont obligatoires.

Il n'y a actuellement aucun commentaire concernant cet article.
Soyez le premier à donner votre avis !

-

Merci pour votre commentaire. Il sera visible prochainement sous réserve de validation.