« Avec une augmentation de la consommation de pétrole de 1,5 à 2 millions de barils par jour cette année, normalement ça devait passer sans trop de problème. Le problème, ça a été un peu l'Égypte mais ce n'était pas trop grave. Là, c'est la première fois que la révolte touche un vrai pays de l'Opep : la Libye. Si, derrière, l'Algérie éclatait, là nous ajoutons à la balance plus de 2 millions de barils par jour. [...] Personne n'imaginait la possibilité d'une chute de Kadhafi. C'est tout le problème ensuite de la déstabilisation d'un émirat pétrolier. »Philippe ChalminPrésident de Cyclope, spécialiste du marché des matières premières

latribune.fr

22 Févr 2011, 21:28

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