Sarkozy

Le président français estime avoir obtenu gain de cause sur l'essentiel de ses demandes lors du sommet du G20 : reprise des propositions initiées par la France et l'Allemagne, puis adoptées par l'Union européenne, pour encadrer les primes dans la finance, sanctions contre les paradis fiscaux devant entrer en vigueur en mars 2010, renforcement des fonds propres obligatoires pour les métiers les plus risqués des banques et adoption par les États-Unis des normes prudentielles de Bâle 2 à l'horizon 2011. Autant de points qui, en dépit des compromis consentis, constituent des avancées aux yeux du chef de l'État. Dans l'opposition, la lecture des résultats du sommet de Pittsburgh est beaucoup plus critique. « Il ne s'est rien pass頻 à Pittsburgh, a jugé Martine Aubry, première secrétaire du Parti socialiste. E. C.
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