Double bénéfice pour les policiers d'outre-Manche : les informations par source humaines sont certainement de meilleure qualité que celles obtenues par voie d'espionnage électronique, comme chacun sait depuis le 11 septembre 2001. Et les policiers britanniques sèment le soupçon parmi les "écolos". "Qui trahit parmi nos amis ? A qui peut-on faire confiance désormais dans ce monde vénal ?", doivent se demander les défenseurs de l'environnement.
Les révélations du journal britannique montrent en tout cas l'attention extrême que portent les polices et les services de renseignement du monde entier aux agissements des militants écologistes, pas toujours de doux rêveurs et souvent aux franges de la légalité.
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