
En attendant sa possible victoire, le 6 mai, François Hollande a au moins déjà gagné cela : remettre la croissance au centre du jeu en Europe. À sept jours du deuxième tour, dimanche prochain, le candidat socialiste a toujours une confortable avance dans les dernières enquêtes d'opinion (54 % contre 46 % selon LH2 pour Yahoo, avec une baisse de 2 points de Hollande et une remontée équivalente de Sarkozy). Mais c'est surtout sur le terrain des idées que les lignes ont bougé, en sa faveur, en Europe.
Cela a commencé mercredi 24 avril avec les déclarations de Mario Draghi en faveur d'un « pacte de croissance » pour compléter le pacte de stabilité budgétaire en cours de ratification. Des propos ambigus, et largement commentés, dans lesquels il ne faut voir aucun recul de la part du président de la BCE quant à la nécessité d'une réduction des déficits publics. Mais le simple fait de prononcer le mot « croissance » a visiblement désinhibé l'ensemble des responsables politiques européens.
Crainte d'un défaut sur la dette espagnole
Il faut dire que l'alerte est chaude. À tous ceux qui s'inquiètent de savoir si, oui ou non, la France sera attaquée le 6 mai, la réponse est déjà venue par l'Espagne, dont la crise a connu un nouvel accès de fièvre à la faveur d'une révision en baisse de ses prévisions économiques qui ne lui permettront pas d'atteindre ses objectifs de réduction des déficits. La crainte d'un défaut sur la dette espagnole a progressé de plusieurs crans, entraînant des attaques sur ses banques à la faveur d'une nouvelle dégradation de la note du pays. Avec son chômage digne de celui des années trente aux États-Unis et son marché immobilier en berne, l'Espagne est au c?ur de la tourmente et les marchés financiers pourraient bien profiter de la concomitance des élections présidentielle en France et législatives en Grèce dimanche 6 mai pour relancer une attaque contre la zone euro.
C'est sans doute cette menace qui a fait bouger les lignes ce week-end avec l'annonce, par la chancelière allemande elle-même, Angela Merkel, d'une initiative commune pour relancer l'activité. "Nous préparons un agenda croissance pour le sommet européen de juin", a-t-elle déclaré samedi dans un entretien au quotidien allemand "Leipziger Volkszeitung".
Une rencontre des chefs d'État après la présidentielle
Programmé de longue date, ce sommet, qui se tiendra les 28 et 29 juin à Bruxelles, s'annonce comme un moment charnière, juste après les législatives françaises. La chancelière allemande se convertirait-elle à l'idée de la relance ? N'allons pas trop vite. Comme Mario Draghi, elle ne renonce en rien à l'exigence de réduction des dépenses et des déficits publics. La chancelière a réitéré qu'il "n'y (aurait) pas de nouvelles négociations sur le traité budgétaire européen". Mais dans cet entretien, elle se dit favorable à un renforcement des capacités de prêt de la Banque européenne d'investissement (BEI), à une utilisation plus flexible du Fonds d'infrastructure de l'Union européenne et à des "mesures structurelles (...) qui ne coûteraient pas d'argent". Selon Angela Merkel, ces impulsions supplémentaires pour la croissance seraient en réalité « à l'agenda dans l'UE depuis l'an passé. Plusieurs conseils européens s'en sont déjà très concrètement occupés, pour le conseil de juin nous préparons un agenda croissance".
S'exprimant lors d'un colloque à Bruxelles, le président de l'Union européenne Herman Van Rompuy avait annoncé jeudi qu'une rencontre non prévue jusqu'ici des chefs d'État et de gouvernement de l'UE pourrait se tenir avant un sommet programmé lui de longue date les 28 et 29 juin. Une réunion pour commencer à définir les contours d'une stratégie de croissance alors que les appels se multiplient pour faire redémarrer l'économie de l'Union et équilibrer l'austérité budgétaire. "Je n'exclus pas d'organiser un dîner informel des chefs d'État et de gouvernement des 27 afin de préparer le Conseil européen de juin", avait-il affirmé, sans donner plus de précision sur le calendrier. Clairement, cette réunion extraordinaire interviendrait après le deuxième tour de l'élection présidentielle, selon une source diplomatique.
"Plan Marshall" à l'échelle européenne
Pour sa part, le quotidien espagnol El Païs a évoqué dimanche une sorte de "Plan Marshall" à l'échelle européenne sur lequel travailleraient les services de la Commission européenne et qui serait capable de mobiliser 200 milliards d'euros d'investissements publics et privés pour des projets d'infrastructure, les énergies renouvelables et les technologies de pointe. À en croire le journal, cette initiative inclut plusieurs pistes déjà discutées depuis plusieurs mois par les Européens: de grands emprunts européens (sous forme d'euro-obligations), un rôle accru de la Banque européenne d'investissement (BEI) et l'intervention du Mécanisme européen de stabilité financière, une enveloppe gérée par la Commission européenne et gagée sur le budget de l'Union. Selon El Pais, l'Union européenne pourrait opter pour deux voies de financement. La plus probable passe par un "montage financier" qui s'appuierait sur la Banque européenne d'investissement (BEI) et le Mécanisme européen de stabilité financière (EFSM). Il s'agirait ainsi d'utiliser 12 milliards d'euros encore non utilisés du EFSM pour attirer des fonds privés qui viendraient renflouer la BEI et serviraient de "garantie pour lancer des projets d'infrastructures publics-privés". Pour y parvenir, le montage s'appuierait sur des "instruments financiers sophistiqués et des obligations" garanties par l'UE et servant à financer ces projets qui seraient destinés "à des fonds de pensions et autres investisseurs", poursuit le quotidien. L'autre option de financement passe par l'injection, de la part des pays membres, de 10 milliards d'euros au capital de la BEI. Une voie moins probable compte tenu de l'"asphyxie" de leurs comptes publics. Selon le quotidien, ce plan devra être présenté lors de la rencontre, non prévue jusqu'à cette semaine, des chefs d'État et de gouvernement de l'UE qui pourrait se tenir avant un sommet programmé lui de longue date les 28 et 29 juin. La Commission européenne a démenti lundi la préparation de ce "plan Marshall" pour la croissance. "Les chiffres avancés ne se fondent sur aucune réalité", a ainsi déclaré Pia Ahrenkilde, porte-parole de la Commission européenne, lors d'une conférence de presse à Bruxelles.
Merkel opposée à l'approche "keynésienne"
L'idée des eurobonds est défendue par la France de longue date, mais Nicolas Sarkozy avait renoncé à y faire référence depuis l'accord passé avec Merkel cet hiver, pour ne pas froisser l'Allemagne. François Hollande en a en revanche fait l'une de ses propositions phare pour relancer la croissance. L'une des difficultés à laquelle se heurte cet appel concerne le mode de financement de ce plan d'investissement. Pour que la BEI puisse prêter plus, il faudra en effet augmenter son capital, ce qui est difficile compte tenu de la disette budgétaire. Une des pistes envisagées consisterait à mobiliser une partie de l'argent prévu pour financer le mécanisme européen de stabilité qui se substituera en juillet au Fonds européen de stabilité financière (FESF). Mais il ne sera pas facile de convaincre les parlements des pays riches de donner au MES une telle orientation.
Sur le fond, la chancelière a réitéré son opposition à une approche "keynésienne" de relance par les dépenses publiques. "La croissance ne coûte pas forcément de l'argent" et doit passer par des "réformes structurelles", notamment en flexibilisant le marché de l'emploi, selon elle. Une approche à l'évidence à contre-courant de celle de François Hollande qui n'a pas fait campagne sur une réforme du marché de l'emploi, à la différence de Nicolas Sarkozy. Le candidat socialiste gagne néanmoins des alliés en Europe. L'italien Mario Monti a relancé lui aussi la semaine dernière le débat sur une évaluation plus différenciée des déficits publics des pays européens. À ses yeux, les pays réalisant des investissements stratégiques d'avenir devraient obtenir une certaine clémence. Il y a quelques années, au début du deuxième mandat de Jacques Chirac, la France avait milité en ce sens pour tenter d'obtenir une modification du Pacte de stabilité européen. Mais elle s'était heurtée à l'opposition catégorique de l'Allemagne. La crise est depuis passée par là et face à l'impasse économique qui est en train de l'emporter, l'Europe pourrait briser certains tabous, en se rendant à l'évidence. Comme l'a récemment écrit le prix Nobel d'économie américain Paul Krugman, la course actuelle de l'Europe à l'austérité s'apparente à un véritable « suicide collectif ». Seule une initiative de croissance, parallèle à une programmation sérieuse de réduction des déficits et de la dette, est de nature à crédibiliser les objectifs annoncés, y compris, et c'est tout le paradoxe de la situation, aux yeux des marchés financiers...
Avec le cursus politique de cet homme là, il est entré en politique en1972, à l'âge de 21 ans, soit 40 ans, on peut-être sidéré qu?il puisse parler de bonne gestion, mais encore plus de croissance. Il plaide ce 30-04-2012 pour plus de croissance, il y a une semaine il pensait à quoi ? Pourquoi ne s?est-il pas exprimé plus tôt ? Parce qu?il n?en avait pas l?idée, c?est tout. Qu?est-ce qu?il y connaît en croissance ? A-t-il eu un jour à créer une entreprise, à trouver l?argent pour trouver son premier client, son premier stock, sa première machine, la paye des employés ? Jamais, alors il ne parle pas de ce qu?il ne connaît pas. Il est passé du poisson à la réglementation intérieure de l?Europe, il y eu un docteur Peter qui donna son nom au principe de Peter?
Après les Quantitative Easing, les LTRO, pourquoi pas "projets bonds ", les "Eurobonds ", ils ne connaissent que la dépense d?argent que l?on n?a pas. Pourquoi ne laissent-ils jamais l?initiative aux seuls créateurs de richesses : les entrepreneurs et à l?épargne ? C?est le même homme qui tantôt s?occupe du poisson, tantôt des rémunérations de banquiers et des réglementations dans la finance. Cela s?appelle l?omniscience.
Combien ça lui rapporte ? Selon le site http://www.tuxboard.com/retraites-des-politiques/
Alors qu?on critique le cumul des mandats des politiques, on parle moins des retraites en or de ces personnes. Michel Barnier figure à la première position devant Jacques Chirac et Valéry Giscard d?Estaing.
Michel Barnier touche 32.728 ? brut mensuels : 23.503 ? en tant que commissaire européen aux Finances et au Marché européen et 9.225 ? de retraite pour ses mandats en France.
Jacques Chirac et Valéry Giscard d?Estaing touchent 12.000 ? brut par mois en tant que membre de droit et à vie du Conseil constitutionnel et 19.000 et 18.000 euros bruts respectivement pour leurs anciens mandats locaux et nationaux.
Alain Juppé est l?un des seuls à avoir refusé de toucher son indemnité de 11.700 ? due à sa retraite de député et d?inspecteur des finances. Il gagne actuellement 14.000 ? brut mensuels en tant que Ministre et 14.000 ? brut/mois pour son poste de maire de Bordeaux.
Nom Retraite en ? brut/mois
Michel Barnier 32.728
Jacques Chirac 31.000
Valéry Giscard d?Estaing 30.000
Jacques Barrot 28.050
Michel Charasse 23.000
Jacques Delors 14.000
Pierre Mauroy 11.200
Michel Rocard 11.000
Laurent Fabius 9.730
Jack Lang 5.800
Alain Juppé 11.700*
Qu?il ne se batte pas trop, car j?ai peur de l?addition qu?il va nous laisser
De toute façon les "ronds de cuir" préfèrent être mal payés plutôt que de travailler dans le bâtiment ou ils gagneraient le double.
passons la blague digne de courteline ,je pense qu'avec l'arrivée de Hollande à la tête de l'état ,à tord ou a raison ,va relancer l'activité ,les prises de risques des créateurs d'entreprise ,le retour à la paix avec les syndicats ,car cette guerre larvée entre le monde ouvrier et Sarkozy a un impact totalement négatif sur l'activité.
Logique ,quelqu'un comme moi technicien de maintenance bac+2 + des années d'expérience ,pourquoi s'investir à 100% si des politiques prétentieux qui n'ont jamais sali leurs mains blanches nous méprisent autant.
Mais si la maintenance ne s'investit pas ,les boîtes ne sont pas prètes de faire des bénéfices et recruter.
Idem pour les techniciens recherche et développement.
oui c'est évident :
*60000 fonctionnaires de plus dans l'Education Nationale alors qu'aujourd'hui même 45000 d'entre eux ne voient jamais un élève,
*vote des étrangers,
*régularisation des sans-papiers,
ce serait la croissance à la clé ? ! Mais il nous prend vraiment pour des guignols le triste sir !
http://wp.me/p1cLQP-ML
End of folks
il faur tout remettre à plat
La reprise de la croissance va passer par plusieurs volets :
1 - Le développement de l'économie verte. (Réduction voir élimination des émissions de CO², chimie respectueuse de l'environnement, produits de consommation 100% collectable, recyclable et dégradable, généralisation des énergies dites renouvelables, agriculture respectueuse des sols et de la vie ...)
2 - Lancement de la nouvelle révolution industrielle comportant trois volets :
A - L'intelligence artificielle comme aide au diagnostique et aide à la décision dans un contexte technologique de plus en plus complexe.
B - La généralisation de la robotique et son entrée dans la vie courante
C - Le lancement de la conquête spatiale afin de palier le déficit de matières première sur Terre grâce à l'exploitation minière des astéroïde.
D - Réintégrer une dimension de l'objet réparable et upgradable dans l'économie et non plus du jetable. Faire plus de software sur un support hardware universel, performant et efficace.
En dehors de cette révolution industrielle il faut également :
A - maitriser la natalité au moins jusqu'au papy-boom indien et chinois donc dans 40 ans maximum.
B - Développer l'Afrique et l'amérique latine en se concentrant en premier lieu sur l'agriculture et la préservation des zones naturelles comme la savane ou l'amazonie.
C - Lutter contre les flux migratoires intenses en développant localement les pays pourvoyeurs d'immigrés désespérés.
D - Nettoyer nos océans qui sont en train de voir apparaitre deux nouveaux continents de plastiques ce qui pollue l'eau et tue la vie.
Tout cela représente de la recherche, de l'industrie, des emplois et du dévelopement donc il suffit de se retrousser les manches et de s'y mettre ... .
Le financement bien évidemment sera publique ET privé avec des retours sur investissements sur 20-30 ans concernant le spatial et la dépollution mais il faut le faire car notre espace vital est devenu trop limité pour développer plus la croissance il faut de nouvelles ressources et de nouvelles zones de commerce tout simplement.
En même temps il va véritablement falloir faire un effort sur la qualité de vie, le recyclage et la rentabilité des produits fabriqués : Du Réparable/Upgradable et finit le jetable !!!
La production diminue en permanence.
Il y a de moins en moins à se partager.
Jusqu?à ce qu'il n?y a plus rien à se partager.
Et la mort survient.
Même les écolos ne parlent plus d?une décroissance mais d'une croissance durable.
En l'absence de possibilité de dévaluation, on voit qu'en zone Euro, le chômage devient la variable d?ajustement à la crise.
Seules des réformes structurelles profondes améliorant la productivité des secteurs Privés et Publics en France peuvent permettre, sur une plus longue période, de réduire le déficit sans augmentation du chômage.
Une relance artificielle par des investissements Européens à la rentabilité incertaine venant concurrencer sur le plan du financement des investissements spontanés est totalement insuffisante.
Elle détourne surtout chaque pays de ses propres problèmes.
et il nous queqlqu'un qui respecte LE PEUPLE pas que les gens du cac 40 ok
Dans l'esprit de nos "vertueux amis et voisins européens", la croissance s'obtient par l'augmentation de l'offre. Il faut dans ce cas baisser les coûts, et en particulier celui du travail. En gros, on oublie toute la réglementation contraignante du travail et on laisse salariés et employeurs seuls dans un "mano à mano". Plus question de CDI, de SMIC ou autres amuse-gueules... On augmente ainsi la croissance en raison des gains en compétitivité.
Reste à savoir quelle sera la préférence de nos concitoyens?
Remarquons que personne ne veut envisager la sortie de l'euro qui pourrait pourtant apporter une solution, analogue à ce qui se fait aux USA ou en GB en laissant filer l'inflation... Il parait qu'on ne doit pas prononcer ce mot-là !!!!
Si il y a suppression de la monnaie unique, il y aura des baisses et des hausses plus ou moins importantes selon les pays. Mais comme pour la construction de l'?uro, ca se fera de manière équilibrée. Et la France est loin d?être celle qui verra le plus baisser sa monnaie... certainement pas de 50%... sinon, que dire de la Grece, l'Espagne, le Portugal et les autres... et ca voudrait aussi que l'Allemagne, la Finlande et le Luxembourg verront la leur monter de façon phénoménale.
Ou alors.... ca voudrait dire que l'?uro actuel est très largement surévalué....
La relance par la prime à la casse, l'augmentation des salaires , l'embauche de fonctionnaires (diminution du chômage) génère la dette PAR LA CONSOMMATION. les effets sont immédiats, ça rassure le peuple et l'électeur ! KEYNES s'est opposé à ce type de relance lors de sa participation aux travaux de BRETTEN WOODS en 1944 où il représentait le Royaume Uni. KEYNES préconisait la dette des états pour l'INVESTISSEMENT. Les effets n'en sont pas immédiats, voila le tort ! Exemple, les autoroutes. C'est très cher. La France n'assure pas l'investissement nécessaire et fait appel aux capitaux privés, en leur accordant la concession d'exploitation; idem le tunnel sous la Manche, les investisseurs privés (entre autres les petits épargnants) escroqués par Mitterand-Thatcher. Nos ports devenus obsolates par manque d'investissement; l'abandon de la mise de notre réseau fluvial (le plus important d'Europe) aux normes internationales "Grand Gabarit", avec en particulier la liaison "Mer du Nord - Méditerranée" par le canal "Rhin - Saône - Rhône" (la liaison "Rhin - Main - Danube" inaugurée le 25.09.1992 a été faite par l'ALLEMAGNE), et la liaison Atlantique - Méditerranée par le canal du Midi. Etc... Tout cela s'appelle "Les Grands Travaux" et génère de la richesse et de l'emploi (Singapour semble l'avoir bien compris). Bien que très utiles et agréables ce ne sont pas la BN, ou Beaubourg qui créent la richesse de la France.
La relance par la prime à la casse, l'augmentation des salaires , l'embauche de fonctionnaires (diminution du chomage) génère la dette PAR LA CONSOMMATION. les effets sont immédiats, ça rassure le peuple et l'électeur ! KEYNES s'est opposé à ce type de relance lors de sa participation aux travaux de BRETTEN WOODS en 1944 où il représentait le Royaume Uni. KEYNES préconisait la dette des états pour l'INVESTISSEMENT. Les effets n'en sont pas immédiats, voila le tort ! Exemple, les autoroutes. C'est très cher. La France n'assure pas l'investissement nécessaire et fait appel aux capitaux privés, en leur accordant la concession d'exploitation; idem le tunnel sous la Manche, les investisseurs privés (entre autres les petits épargnants) escroqués par Mitterand-Thatcher. Nos ports devenus obsolates manque d'investissement; l'abandon de la mise de notre réseau fluvial (le plus important d'Europe) aux normes internationales "Grand Gabarit", avec en particulier la liaison "Mer du Nord - Méditerranée" par le canal "Rhin - Saone - Rhone" (la liaison "Rhin - Main - Danube" inaugurée le 25.09.1992 a été faite par l'ALLEMAGNE), et la liaison Atlantique - Méditerranée par le canal du Midi. Etc... Tout cela s'appelle "Les Grands Travaux" et génère de la richesse et de l'emploi (Singapour semble l'avoir bien compris). Bien que très utiles et agréables ce ne sont pas la BN, ou Beaubourg qui créent la richesse de la France.
La croissance et la démographie des 150 dernières années étaient dépendantes d'une source d'énergie d'accès facile et peu chère.
Actuellement, les champs géants d'hydrocarbure sont tous en déclins plus ou moins importants.
Réveillez-vous, nous en sommes à racler les fonds de tiroirs (schistes bitumeux et puits en eaux très profondes) pour faire perdurer un système qui est de toute façon condamné.
Il n'y a actuellement aucune autre source d'énergie ayant le même ratio de rendement que le pétrole.
concevables, c'est, en fait, surtout une mesure de l?inefficience industrielle et de la dégradation sociale. Elle vous fera en tant qu'aux hommes, à petit feu, et vos enfants aussi..
C'est comme pour la question des débats. En 2007, Ségo demandait 2 débats, Sarkozy a refusé sèchement. Et il vient pleurnicher à présent qu'on lui refuse 3 débats.
Pathétique.
Vite du changement! Je dis pas que ce sera meilleur, mais ça pourra pas être pire que le pétrin dans lequel la droite nous à mis. Quand on est au pouvoir depuis 10 ans, l'heure est au bilan plus aux promesses. Et le bilan est déplorable.
par décret en date du 21 mai 2012, la croissance est décrétée par l ' Elysée, en France, à un niveau restant à définir, avec M. Mélanchon, les désorganisations diverses et varièes..
Un bilan de cette mesure, sera régulièremnt donné et ce avant mars 2017 ..
Qu' on se le dise !!!
Personne ne remboursera la dette, une grande purge se chargera de rétablir un ordre, mais pas sûr qu'il soit logique.
Oh wait ce n'est pas ce qu'on fait deja depuis 30 ans?
Refaire toujours la meme chose en esperant un resultat different, cela ne s'apparentrait-il pas a de la folie?
Je cite:
"Toutefois, il existe de nombreux exemples de pays sous étalon-or qui ont connu des crises de surendettement ou des dépressions."
Partout ou Hollande passe les finances trépassent.
La loi interdit aux candidats de dépenser plus de 22,5 millions d?euros pour le second tour, mais comme François Hollande se sait pas gérer un budget (il a fait de la Corrèze la région la plus endettée de France souvenez-vous) il a grillé tout ce qu?il avait, soit 20 millions, et il n?a plus de quoi aller jusqu?au 6 mai ? et bien entendu il ne peut pas emprunter. Mais ne vous inquiétez pas, il est très capable de gérer le budget de l?Etat ? enfin? s?il embauche Madame Soleil.
Sur Europe 1, François Hollande a avoué avoir « un petit souci, l?argent ». Pas grave, la France est riche ! S?ils votent socialistes, c?est que les Français veulent lui donner leur argent n?est-ce pas ? En faillite avant d?être élu, il va pas se priver de le prendre.
François Hollande, en bon socialiste, a appris à prendre aux riches pour donner aux pauvres, et il souhaite donc piocher dans les fonds du très riche Parti socialiste, qui a une cagnotte de 55 millions d?euros, mais pas de chance, c?est interdit par la loi.
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© Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info
Si on remet un peu les choses dans l'ordre, ca va aller beaucoup mieux. chaque fois que l'euro baisse un peu trop, les chinois achetent des masses d'euro pour le faire remonter, mais avec une dévaluation massive, ils pourront pas faire grand chose, c'est ce qu'il font avec les usa avec le yuan, si on ne fait rien toute l'Europe ira pointer au chômage.
Le petrole tant mieux, on sera incité a s'en passer rapidement, on l'a déjà fait en construisant les centrales nucléaires, tôt ou tard on va devoir s'en passer, et il va augmenter de plus en plus, c'est reculer pour mieux sauter.
un effort partagé et quelques lueurs de reprise redonnerait le moral à un pays miné par la peur de la mondialisation et du chômage.
Que les politiques fassent moins d'idéologie et laissent les créateurs de richesse tranquiles et on aura de la croissance. Aujourd'hui tout ce qu'on a c'est une économie Potemkine et des gens payés pour contrôler, surveiller et tondre ceux qui produisent.
intelligente ! ne vous en prenez pas aux exclus et chomeurs ...au monde entier !
Ou: on se rend compte qu'on approche un mur ... et on met toute la gomme!!!
Comme quoi une petite annonce peut toujours permettre de trouver ce qu'on cherche.