Enquête : dans la tête d'un fasciste français

Gérald Darmanin a annoncé ce mercredi qu'il allait proposer au président la dissolution du GUD (Groupe union défense), tandis que Jordan Bardella a assuré qu'il dissoudrait « toutes les organisations d'ultragauche et d'ultradroite ». Très actif dans les années 1970, le syndicat étudiant d'ultradroite en sommeil depuis 2017 a été réactivé récemment. Connu pour ses actions violentes, le GUD revient régulièrement sous les feux de l'actualité. Marc de Cacqueray-Valménier est l’un des militants extrémistes les plus surveillés. Adepte de l’idéologie néonazie, ce jeune fiché S inquiète par sa détermination et sa capacité à rassembler.
Pauline Delassus
Lunettes noires et carrure de Musclor, Marc de Cacqueray-Valménier au tribunal de Paris en septembre.
Lunettes noires et carrure de Musclor, Marc de Cacqueray-Valménier au tribunal de Paris en septembre. (Crédits : © ALAIN GUILHOT/DIVERGENCE)

[Article initialement publié dans l'édition de La Tribune dimanche le 17 décembre 2023 et mis à jour le mercredi 19 juin 2024] Il est le jeune premier de la nébuleuse néofasciste, le noir espoir de l'extrême droite la plus violente. Pour lui et ses comparses - 3 000 militants toutes tendances confondues -, l'arrivée au pouvoir du camp « national » doit passer par la maîtrise de la rue et le combat physique contre la gauche radicale. Carrure de déménageur et ascendance aristo, à 25 ans, Marc de Cacqueray-Valménier est considéré comme le plus influent des activistes en blouson noir dits nationalistes-révolutionnaires, qui traquent et bastonnent ceux qu'ils nomment « gauchos ».

Ce brun surmusclé est devenu une « personnalité incontournable et un leader incontesté de son groupe parisien », décrit le journaliste de Libération Pierre Plottu. « Un chef de bande, un "mâle dominant" qui bénéficie de l'aura romanesque de son nom de famille », poursuit le chercheur Jean-Yves Camus. « Capable en un coup de fil de rassembler 300 personnes », assure l'un de ses proches. Un type « déter », - comprendre déterminé -, élevé dans un quartier résidentiel de Saint-Cloud, à l'ouest de Paris, dans une famille bourgeoise aux origines nobles. Les Cacqueray remontent au XVe siècle, lignée normande de l'aristocratie française catholique, où l'on compte une tripotée de militaires haut gradés, ecclésiastiques et partisans royalistes.

Un cousin de Marc de Cacqueray est candidat RN au Mans lors des municipales de 2020, et l'un de ses oncles est un prêtre traditionaliste aumônier pour le parti Civitas. Ses parents sont proches de l'Action française, lui-même découvre la politique dans la section lycéenne du mouvement de Charles Maurras, dont il prend la tête à 16 ans. Bon élève, il intègre après le bac une classe préparatoire à Paris puis s'inscrit en école de commerce à Reims.

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Dans la cité champenoise, il fait la connaissance des hooligans néonazis les MesOs, à qui on attribue de nombreuses agressions. Auprès d'eux, il s'essaie à des pratiques plus radicales, nourries par des sports de combat, dans un culte du corps assumé. Il se couvre de tatouages, marques indélébiles de son sinistre engagement, croix celtiques sur les coudes et soleil noir - un signe mystique nazi. En 2021, le site StreetPress révèle qu'il a ajouté sur sa jambe gauche une Totenkopf, tête de mort symbole de la SS. Sur les genoux, la couronne d'épines du Christ et un symbole guerrier, mélange chrétien et païen qu'affectionnent ces croisés nouvelle génération.

L'ex-étudiant, entré dans la vie professionnelle, a ouvert un profil LinkedIn où il se montre en photo, costume-cravate et crâne rasé sur les côtés. « Responsable ressources humaines », précise-t-il. Côté CV, il indique un passage chez Andros et Carrefour.

Premières poursuite judiciaires

En 2018, après avoir quitté l'Action française, il participe à la création des Zouaves Paris, butors cagoulés bien plus agressifs. « Marc Hassin », son surnom, devient le leader de la cinquantaine de jeunes hommes qui se font remarquer par leur brutalité dans les manifestations de Gilets jaunes, à l'encontre notamment des cortèges du NPA. Vingt ans à peine : Cacqueray connaît ses premières poursuites judiciaires. C'est à cette époque que le reporter Pierre Plottu le rencontre, pour France-Soir. Il est le seul journaliste à avoir échangé avec le jeune homme et se souvient d'une discussion tendue, un après-midi d'avril, près des Champs-Élysées.

« Il est venu pour me mettre un coup de pression. Ça s'est calmé, on s'est assis dans un café. Il s'exprimait bien. On sent qu'il a été formé, mais il a parfois des intonations de bagarreur des rues. Il exprime sa radicalité, qui est à un niveau élevé. Il prend garde à ne citer aucun parti politique d'extrême droite, pour ne pas leur porter préjudice, et se vit comme appartenant à une avant-garde radicale qui doit reconquérir la rue et empêcher les idées de gauche de s'y exprimer. » La rencontre dure deux heures, Cacqueray ne boit qu'une limonade, refusant en toutes circonstances de consommer alcool, tabac et drogue, selon les préceptes du mouvement américain puritain straight edge.

Il raconte ses bastons, fait part de ses lectures : Ernst Jünger, Robert Brasillach, Léon Daudet, Maurice Barrès... Sans surprise. Et lâche : « Je crois aux races [...]. La mienne a construit des cathédrales quand d'autres en sont encore à vivre dans des cases... » Son objectif ? « Renverser le système actuel. » Cette même année 2019, il se rend à un festival de métal national-socialiste en Ukraine. Sa force est sa mobilité, il quitte la capitale dès que du renfort est nécessaire pour des actions en province et se crée un fort réseau parmi les dizaines de groupuscules qui, à quelques nuances près, prônent les mêmes idées.

Marion Jacquet-Vaillant, maître de conférences à Assas et autrice d'une thèse sur le mouvement identitaire, cite, par exemple, Les Natifs, à Paris, Les Normaux de Rouen, Les Remparts, à Lyon, ou Furie française, à Toulouse. La chercheuse précise qu'un militant peut appartenir à plusieurs groupes. « Les Zouaves font partie des plus violents, précise-t-elle. C'est leur mode d'action et ils le revendiquent. Les violences d'extrême droite sont dirigées d'abord contre les antifas. Il y a aussi des agressions contre des personnes qu'ils identifient comme étrangères, à la manière des skinheads. » « Mis à part une haine de la démocratie, des Juifs, des francs-maçons, des homosexuels et des étrangers, ils n'ont pas d'idéologie », appuie Jean-Yves Camus.

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L'année 2020 est riche en événements. Cacqueray se rapproche de ses « homologues » suisses. Il passe aussi par le Haut-Karabakh avec le désir de combattre auprès de l'armée arménienne contre les musulmans d'Azerbaïdjan et poste sur Internet une photo de lui, fusil d'assaut entre les mains et tête de mort SS épinglée sur son treillis militaire. Manque de « chance », un cessez-le-feu est déclaré deux semaines après son arrivée, l'apprenti soldat rentre au pays sans avoir combattu. En juin, il participe, voir coordonne, l'attaque à coups de batte de baseball d'un lieu de réunion des antifascistes, Le Saint-Sauveur, bar du 20e arrondissement de Paris. Mediapart a publié les messages de Cacqueray envoyés à ses troupes au lendemain de l'assaut, preuve de l'esprit de stratège du jeune homme : « Débarrassez-vous des sapes et chaussures que vous portiez ce jour-là, effacez votre historique GPS, effacez les messages échangés sur Telegram et autres. »

Union fantasmée des groupuscules

Le chefaillon a plus de sang-froid que d'autres mais écope tout de même d'un an de prison ferme, peine pour laquelle il s'est pourvu en cassation avec ses avocats, Clément Diakonoff et Cyrille Dutheil de La Rochère. Ce dernier est aussi le conseil de Léo Rivière-Prost alias « Gros Lardon », « collègue » de notre Marc Hassin, interpellé à la suite de l'expédition punitive de Romans-sur-Isère. A aussi émergé sur le site d'investigation la vidéo d'une fête où Cacqueray et ses Zouaves entonnent un « joyeux naziversaire » ponctué du cri « Sieg Heil ».

Sébastien Bourdon, journaliste qui enquête sur ces groupuscules, explique : « Cacqueray est central dans la communication entre ces militants, des éléments laissent penser qu'il est l'un des administrateurs d'Ouest Casual, principal canal de revendication de l'extrême droite sur la messagerie Telegram. À Paris, ils sont historiquement implantés dans le 15e, et fréquentent certains bars dans le secteur entre Dupleix et Cambronne. Il y a entre autres les Versaillais d'Auctorum, les Pitbull Paris, liés aux hooligans, et la Division Martel, dissous comme Génération identitaire et Bastion social. Ils usent aussi d'étiquettes qui leur permettent de revendiquer des actions comme Waffen Assas par exemple. » Les dissolutions ralentissent quelque temps les activistes, grâce aux gels des avoirs et aux fermetures de locaux. « C'est un signal politique, mais il est illusoire de penser que l'on viendra à bout de leur violence », insiste Jean-Yves Camus. Ces brutes bodybuildées combattent parfois entre elles, à mains nues, lors d'excursions en forêt. Des photos de ces « raids » pédestres sont postées sur les réseaux, éléments de propagande pour recruter.

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Autre fait d'armes notable de ces nostalgiques du IIIe Reich : l'agression de militants de SOS Racisme lors du meeting d'Éric Zemmour, en 2021 à Villepinte. Repéré sur place, Cacqueray est mis en examen pour violences volontaires aggravées et renvoyé en correctionnelle. Dans la foulée, pour avoir enfreint son contrôle judiciaire, il est détenu deux mois à la Santé, une expérience carcérale qui n'a pas refroidi ses ardeurs.

Son « coup de maître » vient après la dissolution des Zouaves en 2022 : la résurrection de la plus célèbre des bannières d'extrême droite, une « marque » que l'ex-étudiant en marketing brandit comme un étendard, le Groupe union défense, ou GUD. « Leur notoriété est bâtie sur une légende urbaine, précise Camus, celle de jeunes fascistes déterminés qui parcouraient le Quartier latin des années 1970 à 1990 pour cogner leurs adversaires. » Ils sont à peine une cinquantaine aujourd'hui, arborant comme autrefois l'emblème du rat noir. Cacqueray a-t-il lu Les Rats maudits ? Ce récit à la gloire des « gudards », écrits par plusieurs d'entre eux en 1995, retrace l'histoire de ce qui était au départ un syndicat étudiant anticommuniste déjà amateur d'échauffourées violentes.

« Ils ont un côté irrévérencieux, ce sont les mauvais garçons de l'extrême droite et Marc de Cacqueray reprend leur flambeau en orientant le combat contre l'immigration et ce qu'ils nomment l'islamisation », continue Marion Jacquet-Vaillant. Leur dernier tract, distribué devant l'université d'Assas en décembre, revient sur le meurtre du jeune Thomas à Crépol, évoque un « assassinat », du « racisme antiblanc », met en cause une « immigration débridée » et appelle au « réveil » de la « jeunesse de France ».

L'union de l'ensemble de ces groupes violents, théorisée il y a quarante ans par les têtes pensantes du GUD, n'a jamais abouti « car ils ne supportent pas d'avoir un chef », précise Camus. « Identitaires, royalistes, nationalistes-révolutionnaires : jusqu'aux années 2000, il y avait des lignes de fracture, ils n'avaient pas le même projet ; aujourd'hui, ils se recentrent sur des sujets communs, les guerres de chapelle disparaissent », nuance Marion Jacquet-Vaillant. Leur alliance derrière un seul patron les rendrait plus faciles à surveiller, tandis que les dissolutions successives entravent la possibilité de les avoir à l'œil.

Déçus par Zemmour

Du côté des forces de l'ordre et du renseignement, on craint principalement une nouvelle affaire Clément Méric, du nom du jeune militant antifasciste tué en 2013 lors d'une rixe avec un groupe nationaliste-révolutionnaire. Le 28 novembre, Éric Dupond-Moretti lançait à l'Assemblée nationale : « Chassez de vos rangs les "gudards", les identitaires, les nazillons, les racistes, les antisémites. » Le garde des Sceaux s'adressait aux députés du Rassemblement national. Éric Zemmour, avec sa ligne identitaire et ses idées de « remigration », fut un temps l'homme providentiel de ces délinquants antimondialisation qui reprochent à Marine Le Pen sa proximité avec « le système ».

Mais ils se sont détournés de l'ex-journaliste, déçus par sa défaite sans appel. Aujourd'hui, Marc de Cacqueray, qui selon la rumeur se ferait désormais appeler « la Loutre », est en attente de deux décisions judiciaires. Il aurait décroché un nouvel emploi et vivrait toujours chez ses parents, à Saint-Cloud... Blouson noir et cagoule à portée de main.

Pauline Delassus
Commentaires 32
à écrit le 20/06/2024 à 13:09
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Habitant St Cloud... comme c'est étrange... "Asinus asinum fricat'; c'est bien ça, non ?

à écrit le 19/06/2024 à 20:32
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un descendant du bon roi Philippe le Bel sans doute, qui etait lucide et qui voyait loin...

à écrit le 19/06/2024 à 16:48
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Le médiatique recherche ses scoops, ses polémiques, ses feuilletons pour attirer, encore et toujours, le chaland afin de lui diffuser sa publicité !

le 25/06/2024 à 19:17
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3000 personnes un vrai danger en effet...Merci La Tribune pour l'info. Au fait? l'ultra droite en France...Combien de Bataclan ? Combien d'écoles juives visées ? Combien de policiers égorgés ? Plus vous essayez d orienter et de manipuler, moins vous...

à écrit le 19/06/2024 à 14:50
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Quant on voit l efficacite de ces gens a crepol (ils sont venus faire une ratonade et le seul blessé serieux est un des leurs qui s est fait tabasser par les "locaux" et qui a du son salut a ... l iman local) on se dit qu ils sont pas bien dangereux

à écrit le 19/06/2024 à 14:40
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Musclé ou pas, tu peux finir en taule ou prendre un mauvais coup. Ce genre de personnage et ses adeptes sont à retirer de la circulation. Ce qui aurait dû être fait depuis bien longtemps. On achève bien les chevaux, alors les "bourrins": Sans regrets...

le 20/06/2024 à 0:47
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Retirer de la circulation ce genre d'individus est tout sauf évident car ce sont ils sont généralement issus de familles ayant le bras long. C'était le problème avec Génération Idenditaire, dont les militants étaient des enfants de notables lyonnais ...

le 21/06/2024 à 0:53
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@reponse de o - Il faut Parfois savoir prendre des décisions brutales...avant qu'il.ne soit trop tard. L'Etat de Droit s'il veut rester un Etat de Droit doit s'occuper en priorité de ce genre d'individus qui veulent le chaos et ne reculeront dev...

à écrit le 19/06/2024 à 13:20
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Mr Macron jure à qui veut (encore) l’entendre qu’il a compris le message envoyé par les Français. Dans ce cas, et pour montrer qu’il est de bonne foi, il pourrait, entre autre, annoncer la tenue d’un referendum sur l’immigration.

à écrit le 19/06/2024 à 13:18
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Bonjour, comme toujours dans notre pays ons aime placer les individus dans des groupes pour mieux les divisés... 90% des électeurs du RN ne sont pas des extrémités ou des fanatiques ultra-violent.... Bien sûr ils ne faut pas le dire....

à écrit le 19/06/2024 à 13:08
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Quelqu' un peut il m' expliquer CLAIREMENT ce que SERAIT le TECHNO-FACISME ? Jusqu' alors je n' ai connu dans la France contemporaine que la TECHNOCRATIE au service de la PLOUTOCRATIE, si de " Droite " et de la FONCTION PUBLIQUE, si de " Gauche " ......

le 26/06/2024 à 17:01
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Lisez La Tribune https://www.latribune.fr/economie/france/legislatives-2024/asma-mhalla-l-extreme-droite-c-est-l-autoroute-vers-le-techno-fascisme-1000179.html. En fait d'autoroute, c'est aussi l'idée qu'on ne sait pas où l'on va - mais on y va- ...

à écrit le 19/06/2024 à 13:01
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Le GUD a-t-il fait récemment quelque chose de répréhensible qui justifie sa dissolution ? C'est ça l'unique question. Le pouvoir discrétionnaire du ministre qui veut donner des gages de sainteté, ça n'existe pas : c'est un abus ou un détournement de...

le 19/06/2024 à 14:27
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L'article parle d'agressions en groupe et d'apologie du nazisme, ce qui sont des délits. A noter que le GUD était le prolongement d'Occident, dissout par De Gaulle dans les années 60 et de ces groupes que viennent certains cadres de LR ayant pu avoir...

le 21/06/2024 à 0:58
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@Britannicus- Le GUD est un danger objectif pour la démocratie. Le GUD, c'est la violence, l'intimidation par des racistes bas du front bodybuildes supremacistes blanc. Il a déjà été assez attendu pour interdire ces groupuscules néo nazi.

le 26/06/2024 à 11:51
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Pousser ses convictions à l'extrême, fussent-elles libérales, c'est aussi aller sur le chemin du totalitarisme.

à écrit le 19/06/2024 à 13:01
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Mr Macron jure à qui veut (encore) l’entendre qu’il a compris le message envoyé par les Français. Dans ce cas, et pour montrer qu’il est de bonne foi, il pourrait, entre autre, annoncer la tenue d’un referendum sur l’immigration.

à écrit le 19/06/2024 à 12:43
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C'est dommage que l'on ne traite pas la question du deep state, autrement dit ces gens ne sont simplement qu'une pensée de l'état profond. Traiter la question des individus sans traiter la question du contexte, c'est une manière d'expliciter que cel...

le 19/06/2024 à 15:34
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Ce n'est évidemment pas une coïncidence car le contrôle drastique de la parole des députés RN peut amener à nourrir de sérieux doutes quant à la sincérité de la "dédiabolisation" et il est tout à fait envisageable que le RN aux affaires donne aux for...

à écrit le 19/06/2024 à 12:42
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"dans la tête d'un fasciste français" On ne se sent pas à l'étroit au moins ! ^^

à écrit le 18/12/2023 à 9:44
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Donc le sarcasme est autorisé mais pas l'analyse, ni la pensée ni la réflexion ? Vous êtes parfaitement raccord avec cette idéologie bravo !

à écrit le 18/12/2023 à 8:16
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Ah mince j'ai oublié ma carte du RN je peux pas commenter du coup... LOL !

à écrit le 18/12/2023 à 4:36
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Heeu...on est sur le site de La Tribune ou sur celui de Libération ici?

le 18/12/2023 à 8:17
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L'aberration est de droite, elle nous a même traité de c.. après que nous ayons voté non au traité constitutionnel européen vieux.

le 20/06/2024 à 8:42
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J'ai aussi un doute depuis quelques jours

à écrit le 17/12/2023 à 21:31
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Pouvons-nous maintenant avoir maintenant le portrait de vrais criminels ? ceux de crepol par exemple ? Par ailleurs il est intéressant que la tribune ne soit plus un journal économique mais une caisse de résonnance de libération dorénavant.

le 18/12/2023 à 8:17
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"DuBonSens" A savoir le mien ! LOL !

à écrit le 17/12/2023 à 14:41
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Il faudrait faire le meme article sur le neoislamisme...c’est beaucoup plus grave,mais ça demande du courage !

le 17/12/2023 à 20:39
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vous avez raison corsia , mais dans ce domaine peu de médias s'y aventurent

le 18/12/2023 à 8:18
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Ah non vieux j'attends avec impatience de savoir ce qu'est le néotruc,, vas y explique nous stp ! LOL !

à écrit le 17/12/2023 à 11:45
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Il a repris les codes du look des rappeurs sur qui ils crachent sans arrêt. Le fameux "en même temps" ! LOL ! Comment peut on prendre ces gens au sérieux ? Notons d'ailleurs que la racaille de Nietzsche et celle des médias de masse ont exactement les...

à écrit le 17/12/2023 à 9:06
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C'est la différence entre un fasciste et un militant d’extrême gauche, un fasciste on lui fait un article, un militant d'extrême gauche on le persécute. Sa capacité à rassembler ne vient essentiellement que des médias français et européens qui propag...

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