
Cela ressemble fort à un carnage annoncé. Pas une semaine se passe sans qu'une banque européenne n'annonce de lourdes restructurations dans son réseau d'agences. Le mouvement n'est pas nouveau mais il semble s'emballer avec la crise sanitaire.
Dernière annonce en date, Commerzbank, deuxième banque allemande, envisage la suppression de la moitié de ses agences d'ici 2024 (de 790 agences à 450) et la suppression de 10.000 postes dans le monde (soit près d'un poste sur trois en Allemagne). De quoi réduire sa base de coûts de 20 % en quatre ans ! Raison invoquée : mettre le paquet (1,7 milliard d'euros) sur la numérisation des services. En septembre dernier, Deutsche Bank avait déjà provoqué un coup de tonnerre en annonçant la réduction de 20 % de ses agences.
La semaine dernière, en Irlande, Allied Bank annonçait également vouloir remodeler ses activités. Objectif : réduire ses coûts de 1,3 milliard d'euros. Là encore, le virage numérique est mis en avant. « Le Covid a considérablement changé la façon dont les clients utilisent les services bancaires, ce qui s'est traduit par une baisse de 50% de la fréquentation des agences », justifie Colin Hunt, directeur général d'Allied Bank.
Au...
La proportion d'étrangers est de 47,4%.
Chiche, on leurs envoie, Méluche ou Marine pour rompre l'harmonie...
T'as oublié cette phrase, c'est bizarre hein ? Comme toute banque le Luxembourg s'enrichi en apauvrissant les autres.
Un employé avec 14 ou 15 ème mois, diplômé à minima, maitrisant la bureautique
aura beaucoup plus de chance qu'un manant près d'un haut-fourneau enfumé.
celui de paysan : utile, celui de banquier: nuisible !
.
mais il faut de tout pour faire un monde . . . .