
Déjà en mai, les salariés de l'usine Renault de Flins avaient senti le vent du boulet souffler très fort... Avec la crise du coronavirus, le groupe automobile français ne cache plus les difficultés de trésorerie qui avaient été entrevues par les marchés dès février, et est contraint de négocier un prêt garanti par l'Etat. Il engage également une revue stratégique de ses coûts de fonctionnement et prépare un plan d'économies de deux milliards d'euros à horizon trois ans.
Des usines sur-dimensionnées
La marque automobile n'ignore plus que le Technopôle de Guyancourt ne répond plus du tout aux standards d'efficience du secteur. C'est le premier constat de Gilles Le Borgne, le nouveau patron de la R&D, venu de chez PSA, et qui a donc engagé des ajustements d'effectifs. L'autre poste de coûts de l'entreprise, c'est son empreinte industrielle. La baisse des ventes de Renault, une lame de fond largement entamée avant la crise du coronavirus, a mis plusieurs usines hexagonales en situation de sous-production. L'usine de Douai aurait affiché un taux d'utilisation de ses capacités de...
le chômage continuera de sévir de plus belle .
Aussi en ce moment avec le passage aux électriques, en casse des bagnoles en parfait état de marche.
Et par qui ?! Churchill ? :D
Au moins on se marre...
ca va se faire dans la duree, en silence avec rien derriere
que le peuple de gauche assume ses choix, foutaises ecologiques compris ( oui parce qu'a priori ils n'ont pas bien vu qu'o n'a jamais consomme autant de charbon dans les pays du tiers monde...)
Décidément vous êtes trop vieux pour comprendre que le monde change inexorablement.
La preuve, vous en êtes encore à chicaner la gauche dont on sent bien qu'elle reste pour vous socialo/ communiste, alors qu'elle a quasi disparu e du paysage politique.
La pandémie + l'écologie vont bouleverser profondément le futur.
Rien n'est définitivement gravé dans la pierre, sauf le nom des morts.
Merci les dirigeant de faire de ce pays un tas de cendre. Grande vision industrielle, vraiment!!!!