Ce n'est pas la baisse du prix du préservatif, cette annonce électoraliste, qui va compenser la hausse générale des prix.
Le patron de Leclerc a du mal à accepter la hausse de la TVA prévue au 1er janvier. Michel-Edouard Leclerc explique dans le Parisien daté du 5 décembre, qu'il s'est donné pour mission de freiner les répercussions de cette hausse sur les prix des produits de consommation vendus dans ses magasins. "Mais au final, c'est toujours le consommateur qui paie", regrette-t-il. Et de prédire: "en 2014, le pouvoir d'achat va baisser".
Le ministère de la Santé a annoncé le 1er décembre que le taux de TVA applicable aux préservatifs ne passerait pas à 10% mais serait fixé à 5,5%, ce qui ne représente qu'une économie de dix à vingt centimes par paquet.
Non à la "banalisation" le travail le dimanche
Sur un autre sujet, les ouvertures dominicales des commerces, le PDG du réseau de distribution se montre un peu plus mesuré. Il se dit opposé à une "banalisation " du travail le dimanche.
Recruter des Bretons
Enfin, à propos de la situation en Bretagne, d'où il est originaire, Michel-Edouard Leclerc, a dit s'être engagé à recruter des personnes "laissées sur le carreau" après les plans sociaux. Il estime que la filière agro-alimentaire bretonne peut évoluer, notamment grâce à l'exportation. Plus généralement, il préconise une fusion des circonscriptions administratives en-dessous de la région dans toute la France.
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