Profondément dépendant de son agriculture, le Maroc devrait avoir en 1997 un taux de croissance négatif de 0,8 % à cause d'une récolte céréalière qui ne devrait pas dépasser 27 millions de quintaux, selon une étude du Centre marocain de conjoncture. L'agriculture influe de moins en moins chaque année sur le PIB et la croissance d'autres secteurs, industriels, permet de limiter les dégâts.
La croissance marocaine sera négative en 1997
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