Entendu sur BFM Business

« La crise n'est pas fini et le risque inflationniste qui est l'obsession de la BCE est encore faible, car il y a des centaines de millions d'êtres humains qui veulent entrer sur le marché du travail dans les pays émergents, ce qui constitue une pression à la baisse des salaires. Par ailleurs, en termes de capital, on n'a jamais autant créé d'usines, donc il y a une surcapacité de production à l'échelle mondiale qui tire les prix à la baisse. [...] Donner un signal de hausse des taux, ce n'est pas une bonne idée. »
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