« La consommation des ménages a nettement freiné depuis la crise financière. La récession qui l'a accompagnée, s'est en effet traduite par une forte dégradation du marché du travail, et donc un ralentissement des revenus d'activité. En outre, la crise a entraîné une forte baisse des prix des actifs et donc une réduction de la valeur du patrimoine des ménages », expliquent les économistes du Crédit Agricolegricole.Dans ce contexte, il est presque surprenant de constater que l'indicateur de l'Insee mesurant le moral des ménages soit resté stable en juillet, 20 points en dessous de sa moyenne de longue période. Seul point positif, les perspectives d'évolution du niveau de vie en France, en baisse depuis le début de l'année, ont un peu progressé. F. Pi.

latribune.fr

22 Juill 2010, 23:22

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