La Grèce a le choix entre traitement de choc ou sortie de l'euro

Il y a peu de chance que la Grèce rembourse sa dette. Les différents gouvernements n'ont pas appliqué, comme en Irlande, la politique qui aurait pu permettre de renouer avec une croissance durable. Pire, celui d'Alexis Tsipras a engagé un bras de fer dangereux avec Berlin et Bruxelles qui ne peut qu'aggraver la situation de la république hellénique. Par Aurélien Véron, président du Parti libéral démocrate (PLD).
Aurélien Véron.

La Grèce ne remboursera pas sa dette. Même si elle le voulait, elle en serait bien incapable. Pourtant, elle ne lui coûte pas bien cher. La plupart des institutions prêtent à la Grèce à des taux très bas, voire nuls, ce qui maintient le poids de ses intérêts proche de celui de la France. Huit euros sur dix sont aux mains d'institutions publiques comme le FMI, la BCE ou le mécanisme européen de stabilité (MES) depuis qu'elle a bénéficié d'une aide de 347 milliards d'euros, deux prêts de 110 et 130 milliards et un effacement de dette de 107 milliards. Cela représente l'équivalent d'une fois et demi son PIB ou de 31.000 euros par Grec. A l'échelle de la France, cela représente plus de 3.000 milliards d'euros. Son endettement est remonté à 175% du PIB, car son addiction aux déficits n'a pas été soignée. L'économie grecque est restée plombée par une dépense publique excessive et une économie archaïque. Ce pays n'a toujours pas admis la réalité.

Tous les gouvernements grecs ont menti

Les gouvernements grecs nous ont tous menti bien avant même de rentrer dans l'euro. Entre 1997 et 1999, la Grèce trafique déjà les chiffres. Son déficit n'est pas tombé de 4% à 1,8%, sous la barre fatidique des 3%, mais de 6,6% à 3,4% grâce à une comptabilisation inventive des commandes d'armement et à des excédents surestimés des caisses d'assurance sociale. A la manœuvre, la banque américaine Goldman Sachs. Nous la retrouvons en 2001, juste après la rentrée d'Athènes dans l'euro, en train d'aider le gouvernement grec à emprunter des milliards sans rentrer dans le radar des autorités européennes. Pendant dix ans, la Grèce emprunte aux taux allemands.

Mais au lieu d'en profiter pour adapter son économie à la mondialisation, elle embauche des fonctionnaires et construit des infrastructures vides. Elle dépense 20 milliards d'euros pour les Jeux Olympiques de 2004 dont il ne reste pas grand-chose. Début novembre 2009, une équipe de Goldman Sachs propose à nouveau à Athènes un montage pour repousser à un avenir lointain le poids de la dette sociale. Il n'a pas été retenu cette fois. Trois mois après, la crise grecque menaçait de faire exploser l'euro. Qui a encore envie de faire confiance à un pays aussi irresponsable avec les chiffres... et l'argent du contribuable européen ?

L'Irlande, elle, a eu une croissance de 4,8% en 2014

L'arrivée du gouvernement d'Alexis Tsipras devait changer la donne. Nous avons surtout eu droit à un renforcement de l'addiction à la dépense publique. Quant aux mesures, elles sont toutes à l'opposé des préconisations faites par les pays tirés d'affaire : gel des privatisations en cours, limitation des licenciements collectifs, hausse du salaire minimum, etc. Egalement au bord de la faillite il y a cinq ans, l'Irlande a au contraire choisi la thérapie de choc pour retrouver une économie agile. Résultat, le tigre celtique rugit à nouveau avec une croissance de 4,8% en 2014.

Mais la Grèce préfère l'anti-jeu, forçant l'Allemagne à engager un bras de fer infernal avec son gouvernement pour lui faire comprendre qu'il doit respecter les engagements pris par les gouvernements antérieurs conformément aux règles de l'Union européenne. Après avoir failli oublier d'envoyer son programme officiel de réformes en temps et en heure à l'Eurogroupe - prétextant la perte du courrier officiel par la Poste -, la Grèce a transmis en urgence un texte flou, sans aucun chiffre, écrit sur un coin de table.

 Menace d'une ouverture des frontières à l'immigration

Le ministre des Finances Yanis Varoufakis, l'homme qui tient le budget de la Grèce, n'a cessé de jouer, de mentir et d'insulter ses partenaires, en particulier les Allemands. Depuis qu'il est au gouvernement, il ne cesse d'envoyer des messages tantôt railleurs, tantôt insultants aux Allemands. Le ministre allemand des Finances, Wolfgang Schauble, ne peut tellement plus voir son homologue grec que les réunions se font à distance. Les Grecs reviennent aussi sur le conflit de la Seconde guerre mondiale, et exigent des réparations fantasques, brandissant des menaces tout aussi grotesques.

Pans Kamménos, le ministre de la Défense grec, a ainsi proposé le 9 mars d'ouvrir les frontières à l'immigration et de « détourner vers l'Allemagne le flot de réfugiés et de demandeurs d'asile », ajoutant « et tant mieux si, parmi ces migrants, se trouvent des djihadistes de l'État islamique. » Le 11 mars, c'est au tour du ministre grec de la Justice, Nikos Paraskevopoulos, de suggérer la saisie des biens immobiliers allemands à Athènes, en particulier l'Institut Goethe et l'Institut d'archéologie. Athènes prend avec autant de légèreté l'Union européenne. Très récemment, les Allemands ont même découvert que les retraites des Grecs étaient supérieures aux leurs... payées notamment avec leur argent.

 On ne fait pas décoller une économie en faisant payer beaucoup d'impôts

La première priorité du gouvernement grec, c'est la lutte contre la fraude fiscale. Mauvais pari, personne n'a envie de financer ces incapables, pas plus les Grecs que les Européens. Et nous sommes bien placés en France pour savoir que ce n'est pas en faisant payer beaucoup d'impôts aux contribuables qu'une économie décolle, bien au contraire. L'enjeu pour ce pays, c'est de simplifier massivement les réglementations du travail et la fiscalité - flat tax -, de trancher dans les bureaucraties pléthoriques surtout occupées à récolter de l'argent auprès des citoyens et des entreprises grecs dans un univers de corruption généralisée.

La Grèce a tout de même réussi une prouesse, faire rire les technocrates de Bruxelles avec sa proposition de faire des touristes des espions du fisc. Après tout, Arsitophane a bien fait de la Grèce le berceau de la comédie il y a presque 2000 ans.

Passer de l'Ouzo à la Guinness

Athènes se trouve devant une alternative. Basculer d'elle-même de l'ouzo à la fameuse bière pour avoir le courage de s'appliquer le traitement de choc de l'Irlande. Ou être sortie de la zone euro par une Allemagne qui commence à voir dans l'euro une source inépuisable d'ennuis. Compte tenu du comportement vicieux du gouvernement grec, le scénario du retour à la vertu est de plus en plus improbable. Et sa dette ? Nous savons déjà qu'elle ne remboursera pas.

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Commentaires 53
à écrit le 30/03/2015 à 17:47
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Ahurissant. Un tel tissu d inepties est à saluer. Ce monsieur ne connaît pas l économie grecque, car la Grèce dispose déjà d une des plus grandes brasseries européennes : Hellenic Brewery, qui produit sous licence (Amstel, Heineken...) ou en propre...

le 01/07/2015 à 13:36
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Joli troisième degré... enfin, espérons que ce ne soit pas tout ce que vous avez retenu de cet édito...

à écrit le 29/03/2015 à 18:47
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Ah, le bel exemple irlandais qui organise l'évasion fiscale à grande échelle de sociétés sans scrupules au détriment de ses voisins européens... Si nous devons exclure la Grèce, alors il faudra aussi exclure l'Irlande!

à écrit le 27/03/2015 à 9:28
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Un peu de bla bla, beaucoup d'ideologie, un soupçon de mauvaise foi ... Sans rire, vous arrivez a convaincre des gens comme ça ?

à écrit le 26/03/2015 à 19:17
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Ce mélange de suffisance, d’arrogance héritier des thèses d’Hayek est en fait ce qui sous tend l’idéologie en vogue chez nos élites gauche droite confondues....que cela nous plaise ou non. si je n’approuvé évidemment pas je salue l’efficacité de la ...

à écrit le 26/03/2015 à 12:12
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Le cathéscisme du "Libéral" primitif. Ces gens là sont les némésis parfaites des feux commissaires politque du NKVD. Des Tchékistes version Wallstreet en gros.

à écrit le 26/03/2015 à 12:07
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La pauvreté des arguments est ahurissante. Il y a encore 2 mois, l'action du précédent gouvernement grec était louée et saluée par tout le monde, Maintenant, on apprend qu'il n'a rien fait.....Comparer l'Irlande et la Grèce n'a rien à voir, mais ce m...

à écrit le 26/03/2015 à 10:56
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"La première priorité du gouvernement grec, c'est la lutte contre la fraude fiscale. Mauvais pari" Vive la kleptocratie !

à écrit le 26/03/2015 à 10:40
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Pour rembourser la dette il faut d'abord arreter de perdre de l'argent et financer exclusivement ses deficits par l'emprunt .Un plan d'économie (en augmentant les recettes ) permet de degager un excedent primaire avec lequel on rembourse la dette .No...

à écrit le 26/03/2015 à 10:25
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difficile d'incriminer le peuple grec, les seuls responsables sont les deux clans qui se sont succedés aux commandes (un peu comme chez nous), on peut pas demander aux grecs de vendre leurs organes ou de prostituer leurs enfants, par ailleurs la d...

le 26/03/2015 à 11:10
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Il est certe juste de dire que les pouvoirs politiques grec ont une grande responsabilité sur la dette. Mais qui ne payent jamais leurs impots? Qui travaillent au noir? Qui abusent des prestations sociales en se faisant passer pour de faux handicapés...

à écrit le 26/03/2015 à 10:05
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Aurélien Véron, ancien président du parti "Alternative libérale", est un liberal pur jus donc son opinion est forcément idéologiquement biaisé !

à écrit le 26/03/2015 à 9:21
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"Le tigre celtique rugit"...En faisant du dumping social et financier sur les dos de ses voisins. Si justement les voisins faisaient comme le "tigre celtique", celui-ci ne rugirait plus, il ferai ron-ron comme le chat-chat à sa mémère.

à écrit le 26/03/2015 à 9:17
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La Grèce va avoir la chance de sortir de l'euro avant qu'il ne s'effondre. "Ce pays n'a toujours pas admis la réalité." La réalité pour un pays, c'est que son peuple vivent décemment, avec un toit sur la tête, de quoi se nourrir et se soigner. La ré...

le 26/03/2015 à 10:29
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Comment vous pouvez nourrir votre peuple si vous ne produisez rien ? Vous pouvez faire comme les romains dans l antiquite et vous faire entretenir par vos provinces (a l epoque l egypte) mais la grece ne domine plus le monde depuis 2000 ans ! L...

le 30/03/2015 à 17:57
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@cdf La Grèce ne produit rien ? Pas d électro-ménager, pas de meubles, pas de médicaments, pas de véhicules, pas de logiciels, pas de boissons ou de produits alimentaires conditionnés ??? La Grèce, partie de presque rien dans les années 20 a connu ...

à écrit le 26/03/2015 à 7:54
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Un traitement de choc ne veut pas dire qu'elle ne sortira pas de l'euro par la force des choses et l'inadéquation du traitement!

à écrit le 26/03/2015 à 6:05
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Il n'y aura ni austérité nouvelle ni sortie de l'euro. La seule certitude c'est que la dette ne sera jamais remboursée et que de prêts en prêts la Grèce remboursera les intérêts d'une dette perpétuelle et fera vivre en petite vitesse une socièté de ...

à écrit le 26/03/2015 à 2:27
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et la presse francaise dans la situation de ce pays? juillet 2004, la grece venait de remporter le championnat d europe de football et s appretait a organiser les jeux olympiques. grand titre du point sur sa couverture '' le renouveau de la ...

à écrit le 26/03/2015 à 1:07
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Merci pour cet article très lucide et honnête .

à écrit le 25/03/2015 à 23:31
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Comment peut-on écrire ça et prétendre vouloir construire une union des peuples européens ?

le 26/03/2015 à 2:08
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L'union européenne des peuples commence par la discipline. La grece a manqué de respects a ces partenaires en depensant comme une cigalle.

le 26/03/2015 à 9:18
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Oui la " discipline " ..comme la France qui emprunte pour payé les intérêts de sa dette....conclusion ?? regarder la "poutre " que vous avez dans l'œil...et ailleurs, avant de critiquer la Grèce

le 26/03/2015 à 10:20
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Selon l’OCDE, les dépenses publiques de la Grèce représentaient en 2011 42% du PIB contre 45% (Allemagne) et 52% (France). Qui dépense comme une cigale ?

à écrit le 25/03/2015 à 23:22
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J'espère que Romaric Gaudin n'est pas remplacé par ce monsieur..dans la Tribune

à écrit le 25/03/2015 à 22:10
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On l'aura très bien compris ces menteurs et incapables grecs sont responsables de leurs malheurs et ils doivent maintenant payer. Mais s'ils sont coupables, et M. Véron le signale sans s'y appesantir longuement, alors Goldman Sachs est complice et de...

à écrit le 25/03/2015 à 22:08
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On l'aura très bien compris ces menteurs et incapables grecs sont responsables de leurs malheurs et ils doivent maintenant payer. Mais s'ils sont coupables, et M. Véron le signale sans s'y appesantir longuement, alors Goldman Sachs est complice et de...

à écrit le 25/03/2015 à 22:07
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La plus ridicule des propagandes libérales à l'heure où plus personne n'y croit, même le FMI! Pas étonnant que je n'avais jamais entendu parler de ce type et de son parti.

à écrit le 25/03/2015 à 21:48
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La Grèce, l’Italie, le Portugal, l’Irlande, la Belgique, Chypre, l’Espagne, la France, le Royaume-Uni sont en faillite. Chiffres Eurostat publiés le jeudi 22 janvier 2015 : 1- Médaille d’or : Grèce. Dette publique de 315,509 milliards d’euros,...

le 25/03/2015 à 22:21
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Et le royaume Uni a toujours un déficit qui fait rêver la Grêce : 6% !!! En zone Euro pour un tel déficit le pays serait mis a sac par les Teutons. En dehors de la zone Euro il se félicite de sa croissance payée par ce déficit honteux.

à écrit le 25/03/2015 à 20:53
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La Grèce doit sortir de l'euro...et la France devrait lui emboiter le pas. D'autres encore : Italie, Espagne, Portugal, Chypre etc. A moins que l'Allemagne les précède ? L'implosion de l'euro : simple question de temps.

le 25/03/2015 à 23:55
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Et cet euro, c'est Mitterrand qui l'a voulu. Petit rappel des faits ?

à écrit le 25/03/2015 à 20:24
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C'était comment la Grèce avant l'Ue ..?? !! Sortir, partir, courir et pour ne plus jamais ..revenir.! https://www.upr.fr/videotheque-upr/la-grece-avant-lunion-europeenne

à écrit le 25/03/2015 à 20:20
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Excellente synthèse qui prend bien en compte tous les éléments. Oui la situation grecque est dramatique et la priorité est de sortir la Grèce de l'euro. Ce n'est que comme ça que son économie pourra peut-être repartir et non en prolongeant une assist...

à écrit le 25/03/2015 à 19:34
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Cet article est d'une ignorance crasse, qui ne tient compte d'aucune donnee economique ou sociale. Si encore le traitement de choc avait permis a ce pays de s'en sortir et rembourser sa dette, passe encore. La, le pays s'enfonce, sans espoir de rembo...

le 25/03/2015 à 20:39
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C'est tout à fait la réaction d'un rouge bling bling, la vérité qui dérange, il faut arrêter avec cette victimisation et se rendre au principe de réalité, et pas sortir de cette niaiserie teintée d'idéalisme bling bling - les rouges on leur donne 10 ...

le 25/03/2015 à 23:05
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@ellg: Le scandale, c'est surtout que les Grecs demandent toujours plus sans jamais aucun effort de leurs parts :-)

le 26/03/2015 à 8:03
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Faire des effort quand on a les mains liées est très difficile mais on peut toujours "l'ouvrir" pour adoucir la situation ... pour l'instant!

à écrit le 25/03/2015 à 19:18
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Il y a quelques années, j'avais pu constater que les Grecs avaient un niveau de vie très supérieur à celui des Français et des autres touristes étrangers. Les Grecs ont pris l'habitude de vivre dans une bulle financière alimentée par les subventio...

le 27/03/2015 à 9:00
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vous n'allez pas dans les mêmes endroits que moi, dans les petits villages de Grèce, que l'on dit profonde, vous n'aurez pas vu que des riches. Oui il y a les riches, qui méprisent et rejettent les gamins attirés par leurs bateau de 30 m accostés au...

le 27/03/2015 à 9:34
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PNL > Je ne comprends pas dans quel but vous pouvez écrire des inepties pareilles. Je veux dire, les gens qui connaissent la Grece savent tres bien que vous racontez absolument n'importe quoi. Les gens qui ne connaissent pas la situtation vont peut ê...

à écrit le 25/03/2015 à 18:58
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Vous allez dire que je radote, mais la solution pourrait être d'augmenter le prix de l'énergie pour réduire le cout du travail, ce qui permettrait de créer des emplois. Ce serait l'occasion d'essayer cette solution et de juger de son efficacité. Pour...

le 25/03/2015 à 22:02
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...ce sera difficile, vu que l'énergie en Grèce est déjà la plus chère d'Europe! C'est un monople d'Etat (qui bien sûr permet tous les copinages & combines). On peut rêver bien entendu...

à écrit le 25/03/2015 à 18:48
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En revanche, que la banque Goldman Sachs ait toujours le droit d'exercer et qu'elle place les siens partout à la tête de l'UE ne vous interpelle pas ?

à écrit le 25/03/2015 à 18:41
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Et ce Mr est contre la lutte contre l'évasion fiscale, il doit probablement avoir 1 ou 2 comptes dans ces parasites fiscaux. Comment peut on dire autant d'aneries?! Ok alors que personne ne paye d'impôts, que les "sans dents" fraudent l'etat sans êt...

à écrit le 25/03/2015 à 18:40
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La Grèce doit se remettre sur une voie rationnelle pour sortir de ses problèmes économiques et d'endettement au même titre que la France, n'en déplaise aux économistes chevronnés, l'Europe qui a admis ce pays dans la CEE, si elle s'est trompée dans l...

à écrit le 25/03/2015 à 18:40
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Ça nous change de M. Godin et de l'Agence France Propagande (AFP).

à écrit le 25/03/2015 à 18:38
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Si tel est le cas, alors il vaudrait mieux remettre toutes les pendules à l'heure et recentrer la zone euro sur les états européens acceptant les règles...au passage, la France devra elle aussi se décider car on ne peut pas être en union monétaire et...

à écrit le 25/03/2015 à 18:32
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avec un titre comme ca vous allez vous faire etriper par romaric godin !!! ;-) concernant les impots, ca sert a rien d'avoir des taux lourds en facade quand personne ne paie in fine le pb de la grece c'est qu'elle ne rentre pas les impots vu que il...

le 27/03/2015 à 9:36
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Ah churchill et ses lubies ... chacun les siennes comme on dit ! Enfin heureusement grâce aux statistiques europeennes, les gens qui s'intéressent un peu au sujet savent que le taux de collecte de l'impot est comparable aux autres pays européens, do...

à écrit le 25/03/2015 à 18:13
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Comparer la Grece et l'Irlande est juste monstrueux. Concernant le traitement de choc, on a l'impression que cet article a ete ecrit il y a 3 ou 4, sauf si l'objectif est de ramener la grece au niveau du PIB du Mali!

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